vendredi 30 mai 2014

Un dernier tour du côté de chez Swann


C'était au mois d'avril

19 commentaires:

  1. Il avait vraiment une bonne tête, ce brave Swann.

    Est-ce que la cellule de soutien psychologique vient toujours jouer avec Bergotte chaque mercredi ?

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    1. Mais oui, la cellule était encore là avant-hier !

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  2. Ce n'est pas bientôt fini de dire du bien de moi ? Et ma réputation '

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    1. Je vais tenter de vous mettre plus bas que terre dans l'entrée d'aujourd'hui : ça compensera un peu…

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  3. Vs faites des progrès, un chien noir et un autre multicolore
    Faites attention à votre réputation

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    1. Je vais aggraver : j'ai horreur des chiens blancs.

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    2. Comme quoi, vous avez quand même un peu de bon en vous

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  4. Nicolas fin... Il ne risque quand même pas de passer entre les barreaux d'une bouche d'égout hein (je fais ce que je peux pour sauvegarder sa réputation à gauche, ne me remerciez pas).

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    1. D'un autre côté, s'il passait entre les barreaux d'une bouche d'égout, ce ne serait pas dramatique pour lui : il se retrouverait simplement au parti socialiste.

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    2. Les barreaux de la bouche de Goux, ce sont vos dents ? Je ne tiens pas à passer entre même pour une pipe.

      (Ça apprendra à l'Amiral à soigner ses plaisanteries).

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    3. Monsieur le directeur de la voirie communale31 mai 2014 à 12:19

      Les bouches d'égout n'ont pas de barreaux, ce sont les bouches du pluvial qui ont des barreaux. Sinon, quelle odeur nauséabonde en ville !

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  5. Robert Marchenoir30 mai 2014 à 16:18

    C'est l'équipe de laveurs de carreaux polonais ?

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    1. Non, ce sont les gentils cireurs de souliers de Broadway de ce con de Prévert. Ils tirent la langue pour dire qu'il commence à faire soif, Bwana.

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  6. Une inexactitude s'est glissée : l'absurde sobriquet dont je me suis affublé est "cui cui FIT l'oiseau" au passé simple et non "cui cui FAIT l'oiseau" au présent.

    Je tiens beaucoup à cette nuance car les jours et les lendemains d'un innocent volatile sans défense sont semés d'incertitudes funestes.

    Pour le reste, l'importance excessive que vous attribuez à mes stridulations dérisoires me laissent pour le moins pantois et interrogatif...
    .

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    1. Votre rectification sera faite dès ce soir et prendra donc place dans le journal de mai.

      Pour le reste, je n'accorde pas spécialement d'importance à cet échange, mais il se trouve que c'est ce qui s'était produit ce jour-là. Or, un journal sert précisément à garder trace de ce genre de choses.

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  7. C'est curieux. Je ne suis pas la Christine (il y a autant de dames nommées Christine que d'ânes qui s'appellent Martin) qui écrivit à propos de l'oiseau, mais j'ai cependant récemment commenté à son propos (avec un sous-entendu que je suis sans doute la seule à avoir compris, ça va c'est bon j'ai l'habitude) au sujet de la hiérarchie dans l'alimentation an moyen âge. Comme quoi, cet oiseau...
    Je retourne au journal.

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  8. Encore un bon moment de lecture même si le panégyrique consacré à M. Jégou me laisse un rien perplexe. Mais que sait-on des blogueurs ? Après tout, peut-être est-il aussi pudique que fin et se refuse-t-il à nous dévoiler ses meilleurs côtés ?

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.