Catherine va partir. Catherine est partie. Catherine n'est plus là. Au secours ! Le nom de Catherine apparaît 24 fois dans le journal d'Août ! Quant à moi, me trouvant au fin fond de la Bretagne, quasiment en état de "manque", j'ai acheté le dernier FD du magasin de presse, histoire de voir si, malgré ces rumeurs lancinantes de retraite, vous écriviez toujours pour ce vénérable magazine. C'est fou, si on y réfléchit, où peut se nicher l'e-amitié !
"Pourquoi écrit-on ?" ; la vraie question est peut-être "Pourquoi publie-t-on? (sur internet ou ailleurs)", parce qu'on pourrait écrire un journal intime comme les adolescentes d'autrefois, destiné à rester secret; et je crois que vous apportez la réponse lorsque vous écrivez, à propos de votre 2 ème journal, "Néanmoins, il me manquait quelque chose : un lecteur.": on publie pour prouver aux autres qu'on existe (encore?). Et puisque vous parlez longuement de votre retraite, vous verrez que le phénomène devient de plus en plus nécessaire avec le temps: il est très difficile de passer du stade de celui qui émet des signaux à celui d' éponge, d'"ingurgitateur totalement passif" ( de lectures, de films, de musique, de musées, etc.)
je pense que vous avez poussé le vice jusqu'à exiger une copie de la vidéosurveillance pour savoir si elle était réellement partie ........ pour Québec
Une sorte de fébrilité sous-jacente traverse ce journal du mois d'août, sans doute l'absence de Catherine en plus de l'imminence d'une retraite bien méritée. Et puisqu'il y est aussi question de Renaud Camus, dont j'adore lire la "Chronologie" grâce à l'aimable lien d'Emmanuel F., quelqu'un aurait-il une explication plausible concernant le remarquable engouement qu'il manifeste à l'égard des poires à la vapeur et des framboises. Tous les jours au dessert, quelle punition...
Chez Fauchon, probablement. (Comment peut-on habiter hors de Paris ? C'est une question que je me suis toujours posée et à laquelle je n'ai pas de réponse.)
Amusant le commentaire d'Alexandre Boisjoli, juste au dessous de la vidéo de Renaud Camus : "quelqu'un a dû grand-remplacer votre verre d'eau par de la gnôle."
J'ai suivi votre lien vers la vidéo de Renaud Camus, et vraiment cela confirme que cet homme est un génie (je parle sérieusement : les parties chantées en style d'opérette sont à se tordre). Votre Journal est bien aussi, même si vous ne répondez pas vraiment à la question finale de M. Arié. Pourquoi écrire et publier ? Ne s'agirait-il pas de donner un peu plus de profondeur et d'intérêt à la vie, qui à l'état brut est assez pauvre ?
Merci, j'ai vu. C'est en effet, hilarant ! Pour ceux qui n'auraient pas trouvé le lien, il est sur la première ligne du 2ème paragraphe du jeudi 4 août. Renaud Camus, qu'il soit rassuré, n'enlèvera pas une voix à Marine Le Pen. Mieux : il risque de lui en amener. Le principal étant qu'il a l'air de s'être amusé à faire cette vidéo. J'ai retenu la psalmodie disant : certains imams parlent tellement mal le français qu'on dirait qu'ils ont fait leurs études en France ! J'en ris encore !
Ah! merci Mildred. J'avais vu le lien, mais je tiens à souligner l'aimable efficacité dont vous faites preuve ici. Il n'est que trop rare de rencontrer de vraies initiatives généreuses et spontanées dans le monde virtuel !
Par exemple par l'emploi erroné de ou bien ? N'en faites pas trop ça va finir par se voir. J'ai renoncé à intervenir dans la controverse de Charlebois entre deux malentendants, dont un est amateur de Boulez et l'autre immunisé au charme de Louise Forestier en duo dans Lindberg... Alors pour commenter le one-man-show de Camus, je suis très faiblement motivé. Verstanden oder ?
Pour cette fois je veux bien mettre encore vos difficultés en suisse-romand sur le compte de vos débuts difficiles à l'école primaire de Shanghaï, mais il ne faudrait quand même pas pousser trop souvent mémé dans les orties. J'espère que ça ne tombera pas dans l'oreille d'une malentendante. Je suis un Hell's Angels à pied, je roule à bille sur du papier.
Au fait : il peut être dangereux d'écrire son journal; mon grand-père l'avait fait ( son autobiographie à 40 ans, puis son journal pendant les 36 ans qui ont suivi) ,le tout manifestement destiné à être lu, puisqu'écrit sans la moindre rature; 2 historiens s'y sont intéressés et l'ont publié :(essai de lien raté...), mais les modes changent, et l'image flatteuse de lui qu'il voulait donner (mort en 1939) se transforme aujourd'hui en celle d'un homme imbu de lui-même, hypocrite et fabuleusement égoïste...Attention à la postérité !
j'ai pas lu les autres com' ils sont trop verbeux vos lecteurs. mais j'adore cette chanson. titre à la con, je vais boucler sur les strophes suivantes toute l'après midi Si j'avais plus de gazoline,Je monterais touts les belles collines,Quand la noirceur sera venue,J'allumerais des lumières pour ma vue quel joli pays chez les cousins. je vous remercie pas de faire des trucs comme ça.
Vous n'avez jamais été fou de Charlebois dites-vous. A cela peut-être une explication: Vous ne l'avez jamais rencontré en vrai. Ca m'est arrivé une fois dans un bar du côté de St Sulpice, un vrai grand moment ! A part ça ? Je préfère quand vous nommez Catherine " L'Irremplaçable ", j'adore cet irremplaçable , preuve d'un incommensurable amour. Pardonnez, je m égare !
Dans votre journal vous évoquez l'envie d'écrire un nouveau roman mais avouez craindre qu'il reste confidentiel lui aussi. La notoriété est une affaire de réseau, qu'on ait du talent ou que l'on n'en ait pas. Il ne fait aucun doute que si vous ré-écriviez votre dernier roman, avec les mêmes personnages, la même histoire, peut-être même les mêmes dialogues, mais en utilisant un langage et des idées progressistes pour la narration du récit, alors vous auriez accès à plus de notoriété, voire même seriez invité sur les plateaux de télévision, au lieu de vous contenter de votre plateau TV.
Corto a raison de parler d'amour ! Voilà la chanson que votre "Si j'avais les ailes d'un ange" m'a remise en mémoire. Je vous la dédie ainsi qu'à l'Irremplaçable :
Il est vrai que le Suisse, tel le dahu, solidement accroché au flanc de sa montagne est très peu perméable à la chanson d'amour. Si on entre "Poésie d'amour suisse" sur Google, on tombe vite sur : "C'est quoi l'amour ? Comment ça marche ?" Donc avant que jazzman ne nous fasse une crise, voici pour lui :
Catherine va partir. Catherine est partie. Catherine n'est plus là. Au secours !
RépondreSupprimerLe nom de Catherine apparaît 24 fois dans le journal d'Août !
Quant à moi, me trouvant au fin fond de la Bretagne, quasiment en état de "manque", j'ai acheté le dernier FD du magasin de presse, histoire de voir si, malgré ces rumeurs lancinantes de retraite, vous écriviez toujours pour ce vénérable magazine.
C'est fou, si on y réfléchit, où peut se nicher l'e-amitié !
Compter les mots de mon journal, acheter FD sans y être contrainte : vous êtes vraiment sur la mauvaise pente !
SupprimerJ'ai la réputation d'avoir bien trop souvent choisi la mauvaise pente ! Mais quand le pli est pris...
Supprimer"Pourquoi écrit-on ?" ; la vraie question est peut-être "Pourquoi publie-t-on? (sur internet ou ailleurs)", parce qu'on pourrait écrire un journal intime comme les adolescentes d'autrefois, destiné à rester secret; et je crois que vous apportez la réponse lorsque vous écrivez, à propos de votre 2 ème journal, "Néanmoins, il me manquait quelque chose : un lecteur.": on publie pour prouver aux autres qu'on existe (encore?).
RépondreSupprimerEt puisque vous parlez longuement de votre retraite, vous verrez que le phénomène devient de plus en plus nécessaire avec le temps: il est très difficile de passer du stade de celui qui émet des signaux à celui d' éponge, d'"ingurgitateur totalement passif" ( de lectures, de films, de musique, de musées, etc.)
Oh, vous savez, ma vocation d'éponge est très ancienne !
Supprimerje pense que vous avez poussé le vice jusqu'à exiger une copie de la vidéosurveillance pour savoir si elle était réellement partie ........ pour Québec
RépondreSupprimerJe suis le maître de la vidéo-surveillance ! La Machine est entièrement à mon service…
Supprimerpourriez vous me dire ce que font mes pu... de Co.... de voisins quand je ne suis pas là ?
SupprimerMon réseau n'englobe que la Normandie…
SupprimerUne sorte de fébrilité sous-jacente traverse ce journal du mois d'août, sans doute l'absence de Catherine en plus de l'imminence d'une retraite bien méritée.
RépondreSupprimerEt puisqu'il y est aussi question de Renaud Camus, dont j'adore lire la "Chronologie" grâce à l'aimable lien d'Emmanuel F., quelqu'un aurait-il une explication plausible concernant le remarquable engouement qu'il manifeste à l'égard des poires à la vapeur et des framboises. Tous les jours au dessert, quelle punition...
Je me suis déjà posé cette question… à laquelle je n'ai pas de réponse.
SupprimerQuestion corollaire : où trouve-t-on des poires et des framboises en plein hiver ?
Chez Fauchon, probablement.
Supprimer(Comment peut-on habiter hors de Paris ? C'est une question que je me suis toujours posée et à laquelle je n'ai pas de réponse.)
Les poires en bocaux, sinon en "frais venu d'ailleurs" dans les rayons, les framboises au congélateur ou au Maroc...
SupprimerIl reste que, quand on est le théoricien du "Grand Remplacement", on devrait s'abstenir de manger des framboises marocaines !
SupprimerAmusant le commentaire d'Alexandre Boisjoli, juste au dessous de la vidéo de Renaud Camus : "quelqu'un a dû grand-remplacer votre verre d'eau par de la gnôle."
SupprimerMoi, ce que j'aime dans les aéroports, c'est leur poésie et leur sens de l'accueil...
RépondreSupprimerMoi pareil. C'est d'ailleurs pour cela que j'y vais le plus souvent possible…
SupprimerAu fait, je n'ai jamais lu FD, d'ailleurs ai je déjà lu une autre que sur l'automobile?
RépondreSupprimerJ'ai suivi votre lien vers la vidéo de Renaud Camus, et vraiment cela confirme que cet homme est un génie (je parle sérieusement : les parties chantées en style d'opérette sont à se tordre). Votre Journal est bien aussi, même si vous ne répondez pas vraiment à la question finale de M. Arié. Pourquoi écrire et publier ? Ne s'agirait-il pas de donner un peu plus de profondeur et d'intérêt à la vie, qui à l'état brut est assez pauvre ?
RépondreSupprimerMais oui, ils sont souvent très bien, ses touittes !
SupprimerOserais-je demander où est le lien vers les "véritables pépites" en question, ou bien ?
SupprimerDans le journal de ce mois-ci (vers le début si je me souviens bien), au moment où je parle de Renaud Camus : il y a un lien ver sa vidéo.
SupprimerMerci, j'ai vu. C'est en effet, hilarant ! Pour ceux qui n'auraient pas trouvé le lien, il est sur la première ligne du 2ème paragraphe du jeudi 4 août.
SupprimerRenaud Camus, qu'il soit rassuré, n'enlèvera pas une voix à Marine Le Pen. Mieux : il risque de lui en amener.
Le principal étant qu'il a l'air de s'être amusé à faire cette vidéo.
J'ai retenu la psalmodie disant : certains imams parlent tellement mal le français qu'on dirait qu'ils ont fait leurs études en France !
J'en ris encore !
Ah! merci Mildred.
SupprimerJ'avais vu le lien, mais je tiens à souligner l'aimable efficacité dont vous faites preuve ici. Il n'est que trop rare de rencontrer de vraies initiatives généreuses et spontanées dans le monde virtuel !
Ne seriez-vous pas en train - et par tous les moyens y compris les plus pervers - d'essayer d'exciter "l'aimable efficacité" de qui vous savez ?
SupprimerVous me prêtez là un génie retors qui ne saurait appartenir qu'au serial killer des salons littéraires, j'ai nommé l'unique Jazzman !
SupprimerPar exemple par l'emploi erroné de ou bien ? N'en faites pas trop ça va finir par se voir.
SupprimerJ'ai renoncé à intervenir dans la controverse de Charlebois entre deux malentendants, dont un est amateur de Boulez et l'autre immunisé au charme de Louise Forestier en duo dans Lindberg...
Alors pour commenter le one-man-show de Camus, je suis très faiblement motivé.
Verstanden oder ?
"Très faiblement motivé", ne veut pas dire : pas motivé du tout, ou bien ?
SupprimerLà, j'ai juste ?
Pour cette fois je veux bien mettre encore vos difficultés en suisse-romand sur le compte de vos débuts difficiles à l'école primaire de Shanghaï, mais il ne faudrait quand même pas pousser trop souvent mémé dans les orties. J'espère que ça ne tombera pas dans l'oreille d'une malentendante.
SupprimerJe suis un Hell's Angels à pied, je roule à bille sur du papier.
Jazzman et l'art d'emballer les fées...
SupprimerQuel magicien !
Y a une allusion sexuelle dans l'illustration ?
RépondreSupprimerAu fait : il peut être dangereux d'écrire son journal; mon grand-père l'avait fait ( son autobiographie à 40 ans, puis son journal pendant les 36 ans qui ont suivi) ,le tout manifestement destiné à être lu, puisqu'écrit sans la moindre rature; 2 historiens s'y sont intéressés et l'ont publié :(essai de lien raté...), mais les modes changent, et l'image flatteuse de lui qu'il voulait donner (mort en 1939) se transforme aujourd'hui en celle d'un homme imbu de lui-même, hypocrite et fabuleusement égoïste...Attention à la postérité !
RépondreSupprimerJ'ai simplement commencé à la reconstituer de mes petits bras musclés.
RépondreSupprimerj'ai pas lu les autres com' ils sont trop verbeux vos lecteurs. mais j'adore cette chanson.
RépondreSupprimertitre à la con, je vais boucler sur les strophes suivantes toute l'après midi
Si j'avais plus de gazoline,Je monterais touts les belles collines,Quand la noirceur sera venue,J'allumerais des lumières pour ma vue
quel joli pays chez les cousins.
je vous remercie pas de faire des trucs comme ça.
Je n'ai jamais été fou de Charlebois. Je préfère Leclerc et Desjardins.
SupprimerVous n'avez jamais été fou de Charlebois dites-vous. A cela peut-être une explication: Vous ne l'avez jamais rencontré en vrai. Ca m'est arrivé une fois dans un bar du côté de St Sulpice, un vrai grand moment !
SupprimerA part ça ? Je préfère quand vous nommez Catherine " L'Irremplaçable ", j'adore cet irremplaçable , preuve d'un incommensurable amour. Pardonnez, je m égare !
Dans votre journal vous évoquez l'envie d'écrire un nouveau roman mais avouez craindre qu'il reste confidentiel lui aussi.
RépondreSupprimerLa notoriété est une affaire de réseau, qu'on ait du talent ou que l'on n'en ait pas.
Il ne fait aucun doute que si vous ré-écriviez votre dernier roman, avec les mêmes personnages, la même histoire, peut-être même les mêmes dialogues, mais en utilisant un langage et des idées progressistes pour la narration du récit, alors vous auriez accès à plus de notoriété, voire même seriez invité sur les plateaux de télévision, au lieu de vous contenter de votre plateau TV.
Charlebois n' est il pas propriétaire à 20% de la brasserie Unibroue.
RépondreSupprimer@grandpas: absolument !
SupprimerCorto a raison de parler d'amour ! Voilà la chanson que votre "Si j'avais les ailes d'un ange" m'a remise en mémoire. Je vous la dédie ainsi qu'à l'Irremplaçable :
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=uLGcsqwE6v8
Charlebois peut aller se rhabiller, ou bien ?
Pfhhh...
SupprimerIl est vrai que le Suisse, tel le dahu, solidement accroché au flanc de sa montagne est très peu perméable à la chanson d'amour. Si on entre "Poésie d'amour suisse" sur Google, on tombe vite sur : "C'est quoi l'amour ? Comment ça marche ?"
RépondreSupprimerDonc avant que jazzman ne nous fasse une crise, voici pour lui :
http://www.dailymotion.com/video/xqtf4_rossini-ouverture-guillaume-tell_music