dimanche 20 août 2017

C'est dimanche, on joue !


J'ai, au premier coup d'œil, reconnu huit des neuf écrivains de cette couverture ; mais le dernier, celui qui se trouve tout en bas de la colonne centrale, m'a résisté quelques heures. Je pense pourtant avoir fini par l'identifier. À votre tour, hypocrites lecteurs, mes semblables, mes frères, saurez-vous accrocher un nom à chacun de ces visages ? (Pour faire durer un peu le jeu, je ne publierai vos éventuelles réponses qu'en fin de journée.)

40 commentaires:

  1. Nerval, Tartempion, Loti, Barrès, Appolinaire, Bernanos, Cocteau, Tartempion 2, Aragon.

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    1. Vos Tartempion étaient donc Barbey d'Aurevilly et Ernst Jünger.

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    2. Et Aragon était en fait André Breton.

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    3. J'avais pensé à Barbey D'Aurevilly pour Tartempion, mais j'hésitais. Ernst Junger ? Inconnu au bataillon. Quand à Breton et Aragon, c'est bonnet rouge et rouge bonnet.

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  2. Anna Lambert-Ruperti20 août 2017 à 10:13

    Ce doit être Mikhaïl Boulkagov, à mon avis, (pas autorisé). Mais alors aucune idée pour celui qui a l'épaisse et longue moustache noire et le chapeau conique.

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    1. C'était Loti. Et pas plus de Boulgakov que d'amiral Woland…

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    2. Oui, c'est bien ça ! Et dire que j'ai, contrairement à vous cher Didier, beaucoup apprécié les journaux de guerre d'Ernst Jünger !
      Tiens à propos l'amiral Woland ne vient plus très souvent ici.

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  3. Bonjour,

    J'ai d'abord reconnu Ernst Jünger parmi les neuf auteurs et je vous ai laissé magnanimement découvrir les autres !

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    1. De Jünger, j'ai eu le plus grand mal à me procurer "Eumeswill" et je cherche encore "Le traité du rebelle" à un prix décent. Je vous recommande son journal de guerre "Jardin et Routes". A ce propos, les critiques de Michel Onfray sur son passé fasciste sont totalement injustes, au même titre d'ailleurs que votre remarque à mon encontre.

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    2. J'ai essayé de lire le journal de votre Teuton et j'y ai renoncé au bout de deux ou trois cents pages. Même chose pour ses autres livres (Orages d'acier, Falaises de marbre…) d'ailleurs. Je n'en tire aucune conclusion le concernant, sinon celle que lui et moi sommes visiblement incompatibles.

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  4. Eh bien, puisqu'on me traite d'"hypocrite lecteur", et bien qu'on soit dimanche, je ne joue pas ! Na !

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  5. Ah! Maître Goux, vous êtes vraiment trop cruel : nous faire transpirer ainsi par un agréable et paresseux dimanche du mois d'août, et si tôt le matin qui plus est (10:43 au secours !) c'est un pur scandale.
    Pour l'instant je n'en tiens que deux : Jean Cocteau et Pierre Loti.
    J'ai bien tenté de me faire aider par Google, mais ce dernier ne veut rien savoir de ma quête...

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  6. C'est effectivement très facile de les identifier du premier coup d'oeil :

    1. Gérard de Nerval
    2. Jules Barbez d'Aurevilly
    3. Pierre Loti
    4. Maurice Barrès
    5. Guillaume Appolinaire
    6. Georges Bernanos
    7. Jean Cocteau
    8. Ernst Jünger
    9. André Breton

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  7. De gauche à droite : Nerval, Barbey d'Aurevilly, Pierre Louys, Barrès, Apollinaire, Bernanos, Cocteau, Gracq, Breton. Amusant votre jeu, merci

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    1. Vous n'étiez pas loin du podium : Loti à la place de Louys y aurait suffi…

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  8. Eh bien voilà :

    Gérard de Nerval - Barbey d'Aurevilly - Pierre Loti

    Maurice Barrès - Guillaume Apollinaire - Georges Bernanos

    Jean Cocteau - Ernst Jünger et André Breton bien sûr.

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  9. J'en suis à trois portraits supposément devinés...

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  10. Fastoche : Nerval, Barbey d'Aurevilly, Loti, Bruant, Apollinaire, Bernanos, Cocteau, Junger, Breton.
    Bon, j'avoue, j'ai triché pour l'avant-dernier, avec la méthode expliquée dans un précédent commentaire, après avoir isolé l'élément énigmatique dans Photoshop. Même pas honte.

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    1. Même pas besoin de vous disqualifier pour tricherie, puisque vous avez confondu Barrès avec Bruant…

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    2. On me souffle à l’oreille que celui en bas à droite ne s’appelle pas André Breton mais La table ronde, « Même que c’est marqué dessus comme le Port-Salut ». Qui croire ?

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    3. Votre manœuvre de diversion ne trompera personne !

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  11. Mais où donc avez-vous trouvé cette photo de moi, déjà un peu ancienne ?

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  12. Nous avons donc deux médailles d'or (en plus du gars moi-même…) : Mme Grammaticopoulos et M. Bar ; mais ce dernier est disqualifié, pour avoir entaché d'une impardonnable faute le nom de Barbey d'Aurevilly.

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    1. " Jules Barbez d'Aurevilly " MDR !!

      Pour le coup, oui, on s'amuse à ce jeu.

      Merci Didier, moi ça m'a plu en tout cas.
      ( pour Jünger, c'était facile, je viens de relire Orages d'acier)

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    2. Oh ben je ne suis pas le seul. Regardez , , et là (fin du deuxième paragraphe) !
      La jurisprudence plaide en ma faveur.

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    3. Je passe l'éponge pour cette fois. Rompez !

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  13. J'adore votre tripot clandestin, Maître Goux !
    Je reviendrai en catimini les dimanches après-midi en prenant bien soin de déjouer d'éventuelles filatures...

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  14. On voit que vous n'êtes pas un lecteur assidu de la revue "Éléments", laquelle publie au moins un portrait de Jünger dans chaque numéro.

    Bon, à part ça : j'avais bien entendu identifié tous ces portraits, mais il est vrai que ma culture est immense. C'en est même un peu effrayant, tiens, maintenant que j'y pense.

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    1. Proposant ce petit jeu, je rougissais de honte à l'idée que vous puissiez en avoir vent, me doutant bien, connaissant votre puissante intimité avec la véritable littérature (que vous camouflez habilement derrière une fausse appétence pour les palinodies amphigouriques que l'on vous paie pour enseigner), que vous alliez identifier ces neufs personnages comme en vous jouant.

      (Sinon, je ne vois aucune raison de lire une revue qui m'emmerderait systématiquement avec un écrivain qui m'emmerde.)

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  15. Je lis: "Il est en particulier un des rares écrivains à avoir consacré une œuvre à l'ivresse au sens large, celle donnée par les drogues les plus diverses (éther, haschich, opium, cocaïne, LSD…) et les boissons traditionnelles (bière, vin, thé)" et j'en suis affligé... Mais où est donc le pastis?

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.