samedi 1 janvier 2022

Tentative de poésie transatlantique

 

En décembre, on a fait rimer Québec et Balzac.

36 commentaires:

  1. Triste début de ce journal : soit Vargas Llosa n'a pas perçu le ridicule d'être élu à l'Académie française, soit il a été incapable de refuser un honneur dont il comprenait pourtant le ridicule. Dans aucun des deux cas, le bonhomme n'en sort pas grandi.

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    1. D'autant qu'il n'attendait pas après ce hochet pour vendre très confortablement ses livres…

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    2. ...et qu'il était déjà prix Nobel.
      À propos de Sollers : j'ai parié avec un ami de mon âge (83) que notre réveillon d'hier serait notre dernier ( il est persuadé du contraire ), mais nous ne savons comment le perdant payera le gagnant.

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    3. Ça sent le pari "conjuratoire"…

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    4. Je ne suis pas certain que la mort puisse ètre conjurée, contrairement à l'âge plutôt ridicule de 84 ans.

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  2. Charlus chez l'esthétichienne, il y a un truc qui m'échappe.
    C'est son côté « autre » qui lui vaut ça ?

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    1. Esthéticienne pour chiens -----> esthétichienne. Logique, non ?

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    2. Ah bah non. Un chien de chasse qu'on interdit de sentir mauvais, ça vaut émasculation. Pardon mais il y a bien un côté « autre ».

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    3. Je n'ai rien contre l'odeur naturelle des chiens. Mais quand ils se sont roulés dans une charogne, il est tout de même délicat, ensuite, d'aller les faire parader dans les salons mondains…

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    4. Cet après-midi, j'ai vu un faucon crécerelle faire la peau d'un geai. Ça a été réglé en une minute et il y avait des plumes partout.
      Dites de ma part à votre Charlus qu'il faut qu'il accepte la shampouineuse car, manifestement, c'est pas son odeur de charogne qui le fera passer inaperçu.

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    5. Je viens de transmettre votre avis à Charlus, qui a accepté de s'y ranger sans barguigner outre mesure.

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  3. Catherine Goux est une super battante !
    J’ai un beau souvenir de Veules les Roses, dommage pour l’hôtel quand même.

    Hélène

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    1. Je ne perds pas grand-chose, connaissant déjà assez bien Veules. Et puis, les histoires de muselières, d'ausweis sanitaire, etc. ont suffi à me dégoûter de l'escapade.

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  4. Il y a pire : depuis cet unique verre du 24 décembre, je n'en ai plus pris un seul !

    La vieillesse est un naufrage, comme disait l'autre…

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  5. ...mais nous ne sommes pas tous le Titanic pour que l'on parle si longtemps fu nôtre.

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  6. C'est un phénomène bien connu en biologie animale : la sur-adaptation, comme pour le Dodo sans saumure de l'ile Maurice, ou le détestable et agressif poney des iles Shetland, ou un nain politique, hongrois et cogneur.
    Cet Anglo-saxon imbécile de Charles Darwin n'a rien compris sur le sujet en visitant les iles Galapagos.
    Que le diable emporte les Anglois !
    Mais on trouvera toujours en France un traitre et raté comme le stupide agronome Michel H. pour mettre le darwinisme à la disposition et portée des caniches.

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    1. Mais de quoi parlez-vous, exactement ?

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    2. S'il vous plaît, ne l'interrompez pas : c'est tellement amusant !

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  7. Bon, un peu de sérieux : comment fait-on pour mettre à jour les bloguerolles, maintenant ? Je peux ouvrir la fenêtre de machin, ajouter des trucs, modifier les options... mais impossible de sauvegarder les modifications. Sauf si je crée un bloguerolle neuve.

    C'est bien vous l'expert, non ? Faudrait voir à être pédagogue...

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  8. A noter (pour les commentaires du 25) qu'il ne faut plus dire "Hollande" à partir du 1er janvier 2020 mais "Pays-Bas".. Enfin, je dis ça ... (Et le premier qui parle de François Pays-Bas a un gage !)

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    1. Vous dites ça à un type qui parle encore de Formose et de Ceylan, et qui écrit Stamboul à la française plutôt que Istanbul à l'anglaise, comme le font désormais tous les crétins incultes.

      Alors, hein, vos Pays-Bas, vous pouvez vous les accrocher quelque part…

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    2. Ah bon ? on dit plus Formose ni Ceylan ? à moi on me dit rien ...

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    3. Wikipédia ne partage pas votre avis :

      "La plupart des langues européennes ont adopté le nom « Istanbul » au xxe siècle pour désigner la ville moderne, suivant l'usage en vigueur dans la République turque. Les Grecs continuent à désigner la ville comme Constantinople (Κωνσταντινούπολη, Konstantinupoli) ou simplement « la Ville » (η Πόλη, i Poli). Parmi les langues utilisant des formes basées sur « Stamboul » : le russe, le polonais (bien que la forme alternative  Istambuł est universellement acceptée et employée dans de nombreuses traductions), le letton, le lituanien, le géorgien et l'albanais. l'espagnol utilise Estambul et le portugais Istambul, avec un « m » au lieu d'un « n ». Le hongrois utilise Isztanbul avec l'addition d'un « z » parce qu'avec son omission, les Hongrois prononceraient mal le nom « Ichtambul ». L'arménien utilise Bolis, basé sur le grec Polis, « ville ». L'islandais conserve la forme Mikligarður. En slovène, Carigrad reste largement utilisé et souvent préféré au nom officiel "


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    4. Je crois qu'en français, on utilise stambouliote comme adjectif, et Istamboul pour désigner la ville... Plus simple de dire Constantinople ou Byzance.

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    5. Le problème est que "Byzantin" risque d'induire en confusion et que "Constantinopolitain" est un peu longuet…

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  9. J'en déduis que vous parlez du royaume d'Arabie séoudite et non saoudite ...

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  10. J’aimerez comprendre un jour l’étonnante collusion entre le conservatisme politique contemporain (ou « la réaction », l’anti-modernisme, le Murayisme, appelons ça comme on voudra), et le sentiment « anti-vaccinal » (qui fait dénicher dans d’obscures zones du « cloaque » de la toile les hideuses hystéries de pro-vaccins, alors qu’il y a tant à observer et moquer des glapissements crétins de leurs adversaires à tous les coins de rue et sur toutes les ondes). Car enfin, la « variolisation » a été inventée au XVIIIème siècle, Pasteur a conceptualisé la vaccination au XIXème, les vaccins contre la diphtérie, la poliomyélite etc. ont été mis au point et généralisés dans les années 50 à 70 du XXème, avec le degré d’adhésion populaire et les effets spectaculaires qu’on sait. Autant dire que la vaccination, c’est le bon vieux temps. Que s’est-il passé pour que les signes s’inversent, et que cette version élémentaire et incontestée du bien se transforme dans l’esprit de certains en figure grimaçante de l’infâme "Empire du Bien" ?

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    1. Je n'en ai aucune idée, me désintéressant totalement de la question. Je note cependant deux choses : 1) qu'il y a toujours eu des gens pour qui l'aiguille de vaccination était plus ou moins l'équivalent de la fourche du Malin ; 2) qu'à l'heure actuelle la bêtise et l'intolérance – et donc l'agressivité qui résulte immanquablement de leur amalgame – me paraissent assez également réparties entre les deux camps.

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  11. Vos piques ne sont certainement pas également réparties à l'encontre des deux camps.

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    1. Je ne crois pas avoir jamais adressé de "pique" aux anti-vaccins, vu que je m'en fous. Et encore moins aux vaccinés… puisque je le suis moi-même.

      En revanche, la façon qu'ont les uns et les autres de ferrailler sur le sujet a parfois un peu tendance à m'accabler.

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    2. La problématique est pourtant simple: " Pourquoi préférer ne rien faire ( ne pas se vacciner) plutôt qu'utiliser la seule arme médicale actuellement à notre disposition, les vaccins, à l'efficacité bien décevante mais indiscutable ?"

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  12. Je réagissais à vos fréquentes piques — une petite musique assez cohérente — contre ce que certains appellent une "dictature sanitaire" et ses thuriféraires, ici ou dans votre journal. Par exemple: "L'hystérie vaccinolâtre donne à beaucoup de gens, malgré les masques qu'ils arborent, l'occasion de montrer des visages de plus en plus répugnants [...] Je crois que je vais finir par déserter totalement les cloaques d'internet." Mais puisque vous vous en foutez suffisamment pour les oublier au fur et à mesure, laissons tomber.

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    1. Les hystériques me paraissent assez également répartis entre les deux camps ! Dison que la différence est que les opposants au vaccin n'empêchent personne d'aller au restaurant, de pénétrer dans un aéroport, etc., alors que dans l'autre sens, oui.

      Quant à m'en foutre, j'essaie mais sans y parvenir tout à fait, dans la mesure où, dès qu'on met son ordinateur sous tension, on n'entend parler à peu près que de ça.

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  13. Mais c'est quoi, ce Covid dont vous ne cessez de parler ? Pas trouvé dans mon dictionnaire.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.