mardi 29 avril 2014

Complainte d'un phoque au Plessis-Hébert


C'est celle que se fredonne à voix basse, entre pastis et pastis, le phocidé abandonné, lorsqu'il imagine sa blonde faire un show au bord du Saint-Laurent – comme ce fut le cas au mois de mars.

3 commentaires:

  1. Concernant le peu d'entrain des collègues à vous féliciter pour l'écriture d'un "vrai" bouquin, je crois que ce n'est pas de la jalousie mais une véritable et immense indifférence à la chose écrite, qui n'a plus aujourd'hui le moindre prestige. J'en suis moi-même la désormais amusée victime en salle des profs, où il n'est jamais question d'autre chose que de course à pied et de problèmes de tondeuse à gazon (ce qui montre que Jacques Etienne est bien un ancien de l'Educ' Nat'- rapport à la tondeuse en tout cas).

    Les élèves s'en moquent aussi, d'ailleurs, et les CDI (les bibliothèques d'établissements scolaires) n'achètent même plus les livres des auteurs-maison.

    Je me demande bien qui cela peut encore impressionner, un livre.

    Bon, blague à part, je vais aller commander le vôtre sur Amazon, ce que j'aurais dû faire depuis longtemps, mais vu qu'il en reste si peu il est temps d'agir.

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    1. Pour ce qui concerne l'indifférence au livre lui-même, je m'y attendais et cela ne m'a pas pris de court. Ce qui m'a davantage surpris, c'est que ne se manifeste même pas un "intérêt de courtoisie", si je puis dire, envers moi plutôt qu'envers le livre, de la part de gens avec qui je travaille pour certains depuis près de 20 ans et avec qui je crois avoir d'excellents rapports (mais peut-être que non, finalement…)

      Enfin…

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  2. Phoque, you ? quel beau dommage. Ok je sors

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