dimanche 18 janvier 2009

Les yayas sont partout

C'est une petite comédie sans prétention. Le fait qu'elle ait explosé le box-office aux États-Unis ne plaide guère en faveur du bon goût cinématographique de nos amis américains, mais enfin, c'est amusant, plaisant à regarder, le temps file sans ennui. De toute façon, même nanti de 372 chaînes, il ne faut pas se montrer trop exigeant, le samedi soir, à la télévision. Donc, va pour Mariage à la grecque.

En fait, la meilleure surprise du film, pour l'Irremplaçable qui le découvrait et pour moi qui le revoyais, fut de s'apercevoir que la famille Portokalos était affligée d'une véritable yaya alzheimerisée (en bas à gauche sur la photo), et que ses petits-enfants l'appelaient effectivement Yaya (mot orthographié "yiayia" dans les sous-titres français).

Du coup, nous avons eu une pensée mi-émue, mi-amusée pour ma nièce adoptive, la lointaine Nefisa.

8 commentaires:

  1. Pour les fans du film :
    Donne authentique yaya grecque. urgent. je paie même les frais de port. Pièce unique ayant servi de modèle à celle du film.

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  2. Eh, oh, déconne pas, gamine : c'est pas une poubelle, la France !

    Quoique...

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  3. T'as bien des lecteurs canadiens non? le plus loin de notre prochaine destination serait le mieux.

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  4. Ah, oui, pas con, on pourrait essayer de la refiler aux Canadiens. D'ailleurs, dans le film, les Portokalos sont censés être canadiens, bien que vivants à Chicago (j'ai l'impression qu'un truc m'a échappé, là...).

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  5. Je saurais pas t'expliquer tonton, j'ai pas vu le film, heureusement avec un nom pareil j'aurais rigolé tout le temps. ( portokali = orange) ...

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  6. Oui, c'est largement expliqué dans le film !

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  7. Ça avait pourtant l'air bon, tous leurs trucs cuisinés à l'huile d'olive...

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  8. Oh purée je suis destinée à en devenir une.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.