vendredi 5 février 2010

Passage de l'écureuil

Il y a un peu plus d'une heure, alors que je me débattais sur mon clavier avec une bande de partouzards nains (doit-on dire : adeptes de l'amour groupé de petite taille ?), un écureuil a traversé le jardin en diagonale pour , se dérobant à ma vue, grimper le long du tronc du tilleul. Le temps que je m'extraie de mon fauteuil et sorte de la Case, il avait disparu – sans doute passé du tilleul au cerisier et, de là, dans le verger des voisins.

Quelques minutes plus tard, j'apprenais chez d'autres que c'était également aujourd'hui le réveil des escargots. Ensuite, j'ai vu une abeille, qui a bien failli finir dans la gueule de Bergotte. Et encore ensuite, c'était l'heure de déjeuner.

10 commentaires:

  1. Rien de plus difficile que de prendre en photo un écureuil. J'en vois parfois traverser la rue devant chez moi alors que c'est en plein centre-ville avec beaucoup de circulation, mais ils disparaissent aussitôt dans un des grands parcs voisins. Ils sont tellement rapides que c'est un plaisir de les avoir seulement vus.

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  2. C'est à cause du classement Wikio ?
    :-))

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  3. Février prépare mars qui prépare en secret le printemps.

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  4. Vous avez une vie passionnante, moi j'dis.

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  5. Dominique : c'est bien pourquoi je suis allé chercher celle-ci sur internet...

    Nefisa : voir le commentaire de Suzanne, après le tien...

    Poireau : oui, je pense : l'écureuil est venu voir ce qu'il en était.

    Suzanne : voir le commentaire de Nefisa, avant le vôtre...

    Audine : celle de l'écrivain en bâtiment, présentement enchaîné à son clavier pour cause de bourre grave (Les Bourre-grave, d'après Victor Hugo...).

    Gaël : gosh ! j'ai oublié de vous faire un lien ! D'un autre côté, comme je suis démikotisé depuis un bout de temps...

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  6. oh mais ce n'était pas pour avoir un lien, mais parler d'écureuil avec une si jolie photo, le jour où je suis détrôné de la première place et que je vais enfin découvrir qui sont mes vrais ami(e)s, je vous en remercie :)


    ( je déconne : je n'ai pas de tube de xanax ni de corde à noeud coulant à la main, hein ?)

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  7. Est-ce la queue de l'écureuil qui vous laisse pantois,
    la bave de l'éscargot qui vous entraine à votre descente inexorable vers les abîmes,
    ou le constat désabusé que d'avec l'abeille, à présent, vous partagez la seule passion possible, celle du butinage ?
    A votre place je m'engagerais illico dans la légion étrange pour aller éclater quelques bougnoules afghans !

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  8. 23h50 : c'est de l'heure du commentaire du gros. Ceci explique...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.