dimanche 31 octobre 2010

Didier Goux ouvre un nouveau blog

Il arrive régulièrement que, lisant ou entendant une phrase, une remarque, un avis péremptoire, etc., particulièrement ébouriffants, j'ai envie de les reproduire immédiatement ici, simplement parce qu'il n'y a aucune raison pour que je sois seul à rire. Parfois je le fais, mais parfois non, parce que je n'ai pas envie d'envoyer tout de suite aux oubliettes le billet publié juste avant.

C'est pourquoi je viens de créer ce nouveau blog, qui servira de remise pour ce genre de petite chose et devrait, à terme, s'il prend vie, forces et santé, constituer un assez joli florilège de la connerie modernodale (mais pas seulement). Le blog en question restera en lien dans la colonne de gauche, rubrique “Les Robinsons du Plessis”. Pour l'instant, il est tout basique et tout moche – et il n'est pas exclu qu'il le demeure. On verra.

18 commentaires:

  1. Je pense que vous pourriez citer en entier cet article de Corto, sur votre nouveau blog : « Lorsque des élections pointent à l'horizon, la tentation est grande de vouloir ratisser large avec un seul objectif: gagner. Là, où cela craint c'est quand, à vouloir conserver ou prendre le pouvoir, on est tenté de pactiser avec les diablotins de la politique, quitte à en perdre son âme. () »

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  2. Ah, mais c'est que si je commence à taper dans les blogs, je vais vite être submerger, moi !

    C'est que j'ai tout de même quelques activités annexes...

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  3. Vous avez raison, j'aurais mieux fait de me taire. Je ne sais pas ce qui m'a pris d'aller jeter un coup d'œil là-bas… Le changement d'heure, sans doute, et mon homophobie légendaire également.

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  4. Georges,
    vous me feriez grand plaisir en allant vous faire voir ailleurs ! okay ?

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  5. M'enfin, Corto, vous n'allez pas vous mettre à virer les gens de chez moi, tout de même ?

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  6. Mais c'est, mon brave Corto, que je n'ai nulle envie de vous faire plaisir, vous voyez ? Si vous ne voulez pas que j'aille lire (rassurez-vous ça m'arrive deux fois par an) votre blog, il faut soit le fermer, soit en limiter l'accès à des gens bien, donc à vos semblables. Ça ne devrait pas être trop difficile.

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  7. Le problème n'est pas de virer cet atrabilaire de chez vous, cher Didier, je n'oserai pas, c'est juste que j'essaie de comprendre ce que j'ai pu faire ou ne pas faire à ce puit de science confuse pour qu'il me prenne ainsi en grippe . Moi qui ne suis que bonté et gentillesse.

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  8. Je rappelle qu' aller se faire voir, est une abréviation d' aller se faire voir chez les grecs, atténuation de se faire mettre ... etc ;-)
    geargies

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  9. Mais vous ne m'avez rien fait du tout, Corto, c'est seulement votre bêtise terrifiante* qui me hérisse le poil très souvent. Mais la plupart du temps, rassurez-vous, je vous ignore totalement.

    (*) Vous voyez, il suffit d'un minuscule message de votre part pour qu'elle éclate comme une grenade un peu blette : « Le problème n'est pas de virer cet atrabilaire de chez vous, cher Didier, je n'oserai pas (…) »

    (Puits prend un s)

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  10. Je n'oseraiS pas aussi.
    Geargies.

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  11. MERCI pour le journal de septembre...
    Geargies

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  12. C'est rigolo, l'argument enfantin: "je ne vis presque jamais sur votre blog" (je m'y salirais les yeux et l'âme, et vous ne valez pas le coup qu'on vous lise, pauvre type.) Rigolo parce que c'est faux, évidemment.
    Et les commentaires (forcément, seulement approuvés par l'auteur) sur le blog de Georges ont l'orthographe et le contenu bien plus misérables que ceux dont Georges se moque ici. Mais bon, quand on loue Georges, peu importe la forme.

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  13. Merci, Suzon, de démontrer vous-même ce qui fait un trait saillant de votre caractère, car je n'aurais pas eu le courage de me lancer dans pareil pensum.

    Si Georges dit qu'il ne va que deux fois par an (en moyenne) lire quatre phrases du blog de Corto ou du vôtre, c'est "un argument", et un argument "enfantin", puisque "c'est forcément faux".

    Tout Suzanne est là, à mon avis. Vous ne pouvez pas imaginer que ce qui n'est pas rapportable à votre expérience existe, soit même tout naturel (horreur !) à quelqu'un d'autre que vous. Ah, comme le monde doit vous sembler mystérieux, certains jours !

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  14. Mais non, Georges, n'allons pas si loin. Je suis encore plus primaire que vous le dites. Simplement, je fais allusion à un échange que vous avez eu avec Corto, sur votre blog ou sur le sien. Vous disiez la même chose, que vous le trouviez bien bête et que vous n'alliez jamais le lire. Il vous répondait qu'au contraire vous alliez bien souvent sur son blog, et vous expliquait comme il s'en apercevait, grâce à un compteur ou quelque autre moyen de reconnaître les ip, je ne sais plus et j'ai la flemme de rechercher ces conversations, peu importe. Voyez-vous, vous vous placez sans cesse au dessus de la mêlée, alors que vous êtes dedans. Vous parlez de la blogosphère (la bloge) comme si tout celà était un monde fangeux où clapotent des abrutis sans Dieu, un néant de connerie. Mais vous êtes dedans comme les autres, ne vous déplaise, pas au-dessus. C'est tout.

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  15. "Vous ne pouvez pas imaginer que ce qui n'est pas rapportable à votre expérience existe, soit même tout naturel (horreur !) à quelqu'un d'autre que vous."
    Mais si, mon p'tit Georges. Je ne me contente pas de l'imaginer, je le SAIS. Mais je vous considère comme un blogueur parmi d'autres. Pas comme un artiste supérieur, parce que l'art et la littérature ne sont pas (ou si peu) sur le Net, et pas dans les blogs, ou alors sous forme d'art et de littérature amateurs.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.