Comment? Hé bien, pour un homme, une douleur aiguë est TOUJOURS le symptôme d'une maladie grave. Pour une femme, pas forcément, elle n'a pas le temps d'y réfléchir^^
Justement, il n'y a rien de paradoxal dans cet énoncé puisque le caractère aigu traduit le déroulement temporel de l'affection, qui n'est pas directement en rapport avec la gravité de cette dernière.
Mince alors : je croyais être chez Monsieur Goux, mais je me suis trompée puisque c'est le blog où on discute des sujets de l'agrégation de médecine. Je vais aller voir sur le site des hôpitaux de Paris. J'aurais, peut-être, des infos sur des écrivains réactionnaires ...
Oui, pour l'avoir vécu et négligé. Cela dit, ce n'est pas forcément grave grave, mais le corps prévient toujours. Il envoie des signaux. Et même si certains bilans de santé sont corrects, ils sont très imparfaits, incomplets et circonstanciels.
Il y en a bien qui confondent les accents aigus et graves dans un horrible métissage.
RépondreSupprimerOui, mais ça fait moins mal.
SupprimerParlez pour vous !
SupprimerDevons-nous nous inquiéter pour votre personne ou l'un de vos proches ?
RépondreSupprimerMais non, voyons !
SupprimerC'est pointu comme question…
RépondreSupprimeret le mystère s'épaissi…
Je n'y avais pas réfléchit.
Supprimer(J'ai ajouté un t à réfléchi, afin que notre comptabilité commune soit nickel…)
Comment? Hé bien, pour un homme, une douleur aiguë est TOUJOURS le symptôme d'une maladie grave. Pour une femme, pas forcément, elle n'a pas le temps d'y réfléchir^^
RépondreSupprimerC'est de la virophobie ! C'est honteux !
SupprimerBillet de fainéant.
RépondreSupprimerLe caractère aigu témoignant de la violence de l'affection, cette dernière peut menacer de façon définitive l'homeostasie...
RépondreSupprimerLa langue française a comme ses locuteurs un goût prononcé pour le paradoxe.
RépondreSupprimerJustement, il n'y a rien de paradoxal dans cet énoncé puisque le caractère aigu traduit le déroulement temporel de l'affection, qui n'est pas directement en rapport avec la gravité de cette dernière.
RépondreSupprimerC'est comme les trous noirs: c'est troublant...
RépondreSupprimerMince alors : je croyais être chez Monsieur Goux, mais je me suis trompée puisque c'est le blog où on discute des sujets de l'agrégation de médecine.
RépondreSupprimerJe vais aller voir sur le site des hôpitaux de Paris. J'aurais, peut-être, des infos sur des écrivains réactionnaires ...
Sa mine était grave en raison du sens aigüe des responsabilités dont il était pourvu et dont il ne pouvait se départir à cet instant fatidique.
RépondreSupprimerEn fait c'est plus une douleur grave qui est le symptôme d'une maladie aiguë.
RépondreSupprimerPrenez garde à la thrombose hémorroïdaire aigüe dont la douleur pourtoussiste peut se révéler mécaniquement gênante...
RépondreSupprimerL' aiguë devient grave quand il perce le silence.
RépondreSupprimerOui, pour l'avoir vécu et négligé.
RépondreSupprimerCela dit, ce n'est pas forcément grave grave, mais le corps prévient toujours. Il envoie des signaux.
Et même si certains bilans de santé sont corrects, ils sont très imparfaits, incomplets et circonstanciels.
Duga