vendredi 1 décembre 2017

La preuve par le chien


La famille G., du Plessis-H., s'est agrandie en octobre

17 commentaires:

  1. Quelle jolie photo !
    Je cours au Journal...

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  2. Adorable petite frimousse dans les bras de son ange gardien !
    L'adoption semble s'être passée sous les meilleurs auspices puisqu'on la fête en novembre...
    Mais où est donc son petit copain ?

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    1. Vous parlez de Golo ? Ils font ensemble des parties endiablées.

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  3. Etes-vous certain qu'on lit beaucoup Barrès, de nos jours ? J'aurais tendance à penser qu'encore moins que Gide, qui peut donc dormir tranquille...

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    1. Je ne parlais pas de notre époque, mais de celle où est mort Proust, soit un an avant Barrès.

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  4. Premier jour, je bute sur votre recette du Cuba libre.
    J'envisage plusieurs possibilités :
    - vous êtes un plaisantin (effet Grammaticopoulos)
    - cette journée vous a quand même sérieusement secoué (effet Orangina)
    - vous êtes distrait (effet Nabilla)
    - vous êtes un gros nul (effet Goux)

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    1. Ce n'est pas MA recette ! C'est ce que servaient les barmen espagnols dans les années quatre-vingt, alors que je fréquentais leur pays.

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    2. Sur le continent, je ne sais pas, mais tous les barmen d'Ibiza servaient du rhum-coca, d'òu le nom...
      Vous allez me dire qu'Ibiza n'est pas en Espagne...bon.

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    3. En Espagne "continentale", qua d vous demandiez un Cuba libre, le serveur vous posait aussitôt la question : « ¿ Con ron o con ginebra ? »

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    4. C'est un paysan espagnol qui entre dans un bar pour touristes.
      Il prend une vois assurée :
      - oun ouiski por favor !
      - blanco o tinto ?

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    5. De toutes façons, mettre du coca dans quelque alcool que ce soit est un sacrilège.

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    6. @ Alain Bar
      Tout dépend de la religion que vous pratiquez ! Ainsi, je peux vous garantir qu'au mess des officiers des Forces Armées Royales (FAR) de Rabat, tous les officiers buvaient du whisky dans leur coca, sans avoir l'air de commettre un sacrilège, loin de là.
      Je sais de quoi je parle, j'y ai mangé tous les midis, pendant neuf mois.

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    7. Chère Mildred, vous évoquez une situation de nécessité absolue face à l'adversité qui peut-être considérée comme une circonstance atténuante.
      Cela dit je crois que dans un tel contexte je préfèrerais encore boire mon whisky dans une bouteille de jus de pomme, bien évidemment précédemment vidée de son contenu original et rincée, mais pur.

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  5. @jazzman :

    Je ne comprends pas trop et je ne sais pas comment je dois prendre l'effet "plaisantin" que je ferais subir à Didier ? ;)

    Mais bon...comme l'écrivait Proust dans " A l'ombre des jeunes filles en fleurs"
    " Ne pas la comprendre n'a jamais fait trouver une plaisanterie moins drôle."

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    1. N'est-ce pas ? Je pourrais évidemment tenter une réponse plus argumentée en m'abritant derrière la jurisprudence Asensio que le taulier avait prise avec ce formidable humour MDR dont seul lui est capable LOL...
      Prendre de gros risques pour peu de chose, voilà qui aurait du panaché (bière-coca en Espagne, sauf erreur).

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    2. Bah...gardez votre panache pour autre chose que le sieur Asensio, ça vaudra mieux cher jazzman. Dame Ariane n'est pas rancunière ni contrariante ;)

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  6. Ariane et Barbara sont très bien : toujours égales à elles-mêmes !
    En revanche, jazzman est en nette progression ! Et voilà qu'il nous donne du belote et rebelote et même dix de der !

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.