jeudi 1 juillet 2021

Journal de Juin

Ce paysage de Franche-Comté 

parce qu'il en fut question en juin.

25 commentaires:

  1. Sourire de surprise et de connivence en lisant l'entrée de mardi 29 sur le film de Franju !
    Épatée aussi par la coïncidence/synchronicité :
    ce mois de juin a été pour moi celui de la séparation d'avec notre lieu de villégiature de 22 ans : un petit appartement dans le grand château de La Bretesche (devenu vers 1960 une vulgaire copropriété...), vendu, vidé, mais pas encore oublié.
    L’inénarrable navet de Franju a été entièrement tourné là-bas.
    Au moins c'était rigolo de reconnaître des lieux connus comme étant devenus les salons de nos voisins ; rien n'avait été tourné "chez nous" (étage des domestiques ou cousins pauvres).
    Merci de l'occasion donnée pour ce petit hommage-souvenir !

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    1. En effet, la coïncidence est plaisante !

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    2. Bonjour Tilly, durant vos séjours vous avez dû être voisins de l'auteur Jean-François Parot alors, qui signait les "Enquêtes de Nicolas Le Floch, commissaire de police au Châtelet" (Lattès et 10/18), et résidait au château de La Bretesche à l'année je crois. Il est mort il y a trois ans en mai 2018.

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  2. Alors comme ça deux Ricard et vous êtes KO ?
    Vous devez manquer d'entraînement !!

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    1. Il est sûr que, de ce point de vue, je ne suis plus que l'ombre de moi-même…

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  3. "Je trouve déjà fort agaçant l'emploi de “perdu” en place de “mort” quand il s'agit des humains [...]".

    Je suis désolé mais le "vous l'avez perdu où ?" est encore plus agaçant : si elle savait où, il ne serait pas perdu.

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    1. Pas du tout ! Catherine voulait savoir si elle l'avait perdu en ville, en forêt, dans les champs, etc.

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    2. Elle aurait également pu le perde au poker.

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  4. Si je fais deux commentaires au sujet du journal du mois, j'ai droit à une prime ?

    "On dira ce qu'on voudra : c'est tout de même bien pratique, cette “modération”" : essayez d'expliquer cela à Elie Arié : on ne censure pas, on vire les enquiquineurs malavisés (ça veut dire "casse-couilles", cherchez pas).

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    1. Je vous mets une bière de côté…

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    2. "casse-couilles", cherchez pas."

      Quelqu'un cherche vos couilles pour les casser et ne les trouve pas ? Alors, ce n'est peut-être pas la peine...

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    3. @ Didier Goux : comme c'est agréable, de se sentir populaire dans tous les blogs où l'on s'aventure...

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  5. Golo, "duchesse à tabouret" selon Charlus...

    Une petite faute pour bien commencER le mois (5ème §).
    Dimanche 27, 2ème §, hoquet de contentement : "et goûteuse chez chez le premier".

    Ce n'est que pour vous faciliter le travail de révision de pré-édition, dans quelques mois.

    Atlantico, ils le font exprès ou quoi ?

    Je ne sais pas si c'est la même boîte qui recycle les mêmes en porte-savons bariolés vendus dans les magasins "bio", mais ce n'est pas donné à ce prix-là le réemploi pour tenir sa savonnette au sec : 13€ et quelques, pièce ! Un vrai cadeau de Noël...

    L'assiette palestinienne - vous m'avez bien fait rire - n'a pas explosé ; Dame Mildred si ? Et sinon c'était bon ?

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  6. On a "perdu" Mildred malheureusement .
    Jean-Balkacem

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  7. Après la lecture de votre journal du mois.

    J'ai lu, par hasard,ce matin, sur Wikipédia, la vie d'Isadora Duncan, puis celle ( moins originale)d'un de ses amants, Sergueï Essenine.
    Ceci se passait à une époque assez récente, et, pourtant,j'ai l' impression que nous assistons à une mutation de l'humanité bien plus profonde que celle de votre " Grand Remplacement ".

    On voit, je crois,de moins en moins de gens, comme les 2 que j'ai cités, qui vont au bout d'eux-mêmes, sans se poser la question du prix à en payer. Aujourd'hui, ce qui me semble primer, c'est au contraire la recherche de la sécurité, et de la routine ( chacun la sienne) que rien ne risquerait de perturber.
    Impression fausse ?

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  8. Ah M. Goux ! Il n'y a pas que les hommes qui ont du mal à atteindre les 100 ans ! Lisez plutôt :
    Le serviteur déposait sur le guéridon de la terrasse, un plateau d'argent et des verres de baccarat. Sur la bouteille on lisait "Madère" et une date qui lui donnait quatre-vingt-dix-neuf ans d'âge
    - Dommage, dis-je, de ne pas l'avoir laissé atteindre les cent ans !

    Les Poneys Sauvages

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    1. ( très connu) De Fontenelle, mort à 99 ans et 11 mois,à quelqu'un qui lui demandait " Comment cela va-t-il ?" : " Cela ne va pas, cela s'en va".

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  9. Et la réponse savoureuse :

    - Folie ! Cent n'est pas un âge ! L'homme n'a pas droit aux trois chiffres, ni pour lui-même ni pour son vin. Cent n'est divisible ni par trois, ni par sept, ni par neuf ! C'est un chiffre absurde, artificiel, une pure invention de l'esprit. Ah, oui, parlez-moi de quatre-vingt-dix-neuf ! Quelle beauté ! Une espèce de rondeur, de divisibilité sublime !

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    1. En tout cas, ce ne sont pas des flèches, vos poneys : voilà bien une semaine que je les ai sifflés et ils ne sont toujours pas là…

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    2. En même temps ce sont des poneys, pas des pur-sang du Grand Prix de l'Arc-de-Triomphe...

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  10. Sinon très belles lignes vers la fin du roman sur... les virus.

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  11. Mais bien sûr que la vie a un sens, un sens unique hélas.
    A part ça, un frère aux cheveux longs vous rend tout à coup plus accessible.

    Hélène

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  12. Est ce que bibi veut ajouter quelque chose ou bien peut on fermer le ban ?

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.