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jeudi 16 septembre 2010

Les mots ça console et ça venge (et Georges tout pareil)

Alors voilà, je vais vous dire un truc, aux uns et aux autres. À propos de Georges (et à propos de celle qui parlait si gentiment et qui ne parle plus). En admettant qu'il doive ne me rester qu'un seul commentateur sur ce blog – en admettant. Eh bien, ce serait lui et personne d'autre. Parce qu'il est musicien, et pas vous. Et pas moi non plus, malheureusement. Comment vous dire ? Pas facile...

Moi-même je ne savais pas que j'allais aimer cette musique-là. Et même, en fait, j'étais certain de détester. Et puis...

Et puis non. Évidemment, je ne peux rien faire pour vous, je ne peux pas vous forcer à éouter ...

Vous êtes assez nombreux à gagner mes suffrages, mais enfin, tout de même, Georges vous dépasse assez facilement. (Et ne vous demandez pas pas pourquoi de Gaulle illustre ce billet : lui le sait.)

« Bref... fallait-il une maison ? »

Oui, tiens : fallait-il une maison ? Mais ça ne va plus du tout, Louis-Ferdinand Céline !
Le bruit est resté longtemps dans ma tête. La voix du Général...

Une chose reste certaine – mais alors là, vraiment certaine : on ne peut pas faire une nature morte avec un violon.

Comprenne qui pourra.