jeudi 16 septembre 2010

Les mots ça console et ça venge (et Georges tout pareil)

Alors voilà, je vais vous dire un truc, aux uns et aux autres. À propos de Georges (et à propos de celle qui parlait si gentiment et qui ne parle plus). En admettant qu'il doive ne me rester qu'un seul commentateur sur ce blog – en admettant. Eh bien, ce serait lui et personne d'autre. Parce qu'il est musicien, et pas vous. Et pas moi non plus, malheureusement. Comment vous dire ? Pas facile...

Moi-même je ne savais pas que j'allais aimer cette musique-là. Et même, en fait, j'étais certain de détester. Et puis...

Et puis non. Évidemment, je ne peux rien faire pour vous, je ne peux pas vous forcer à éouter ...

Vous êtes assez nombreux à gagner mes suffrages, mais enfin, tout de même, Georges vous dépasse assez facilement. (Et ne vous demandez pas pas pourquoi de Gaulle illustre ce billet : lui le sait.)

« Bref... fallait-il une maison ? »

Oui, tiens : fallait-il une maison ? Mais ça ne va plus du tout, Louis-Ferdinand Céline !
Le bruit est resté longtemps dans ma tête. La voix du Général...

Une chose reste certaine – mais alors là, vraiment certaine : on ne peut pas faire une nature morte avec un violon.

Comprenne qui pourra.

73 commentaires:

  1. Je confirme :

    1. Prem's.
    2. "on ne peut pas faire une nature morte avec un violon." Non, mais on peut pisser dedans.
    3. On aime bien Georges. J'avais aussi un vieil oncle qui me cassait les couilles pendant les dîners familiaux. Georges est très bon pour sa mémoire.

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  2. Bien, on doit admettre que Georges est le chef de la fanfare de Colombey ? C'est ça ?

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  3. ... Oui les musiciens gagnent toujours... ils n'en font qu' à leurs têtes , dures! Mais comme le pire qu' ils puissent faire est de nous priver de leur musique -- et on meurt... finalement on accepte tout ... et même on en redemande...

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  4. "Comprenne qui pourra..."
    Deux choses :

    1° le Plouc il a "pas d'oreilles" (y faut bien des handicapés)et il a viré le matos audio-hifi après avoir perdu sa moitié.
    2° Le Plouc il rigole (un peu)aux soliloques du genre "vous voyez ce que je veux dire..." "-Non, je vois pas."

    Bref, je passe.

    Mais je reviendrai...

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  5. Bonjour Didier.

    Pas sûr que Georges n'apprécie le grand Beethoven métamorphosé en "jingle", fût-ce sur la BBC, et pas sûr, pour rester dans la radiodiffusion, qu'il n'apprécie les Variations Goldberg du "vieux Bach" (Frédéric II) "pulvérisées" en indicatif pour ouvrir chaque samedi matin les Répliques de Finkielkraut.

    LA MUSIQUE n'est pas la musak, et Georges ne le sait que trop bien. Il est donc très précieux.

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  6. A tous : c'était un billet exprès pour faire chier tout le monde. Un truc volontairement incompréhensible, sauf par Georges et moi.

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  7. @Monsieur Goux:
    bin oui, c'est réussi!
    Vous faites chier avec votre aristocratisme musical. "moi, je comprends... On se comprend, Georges et moi... Vous n'êtes pas musiciens... etc..."
    Mais qu'est-ce que vous en savez?
    Et qui vous dit que vous comprenez Georges? Ou plutôt qui vous dit que vous comprenez sa musique. Vous en avez UNE interprétation, qui n'est ptet même pas la sienne.
    Je n'aime pas votre outrecuidance sur ce coup.
    Et je sais que vous allez détester mon coup de gueule. C'est pour faire chier aussi. Sauf que vous, vous n'en aurez rien à secouer ^^.

    Qui veut des billets pour André Rieu? C'est tout ce qu'on est capables d'entendre, nous, la plèbe.

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  8. Et cela était mon dernier commentaire ici. Bien sûr.

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  9. Et ne me dites pas que je suis prévisible, je le sais.

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  10. C'est le pire, c'est toujours le pire.

    Dire, publiquement, mais aussi en privé, qu'on a un goût, et que c'est le bon, est totalement inacceptable, antipathique, et finalement indéfendable. Houellebecq dit quelque part que "le goût est toujours le plus fort", et il a bien entendu raison. Sollers dit la même chose, mais en se plaçant d'un autre point de vue. C'est bien d'une guerre qu'il s'agit.

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  12. Tiens , voila que Didier Goux fait dans l'élitisme: lui et Georges ! C'est beau et émouvant!meme si je n' ai rien compris, ce qui ne devrait pas étonner ce Georges

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  13. Dans la Nouvelle histoire de Mouchette, Bernanos fait dire à l'institutrice que "même les sauvages ont une musique, une musique de sauvages, mais une musique" (je cite de mémoire, et ça date pas d'hier) à une Mouchette que la musique dégoûte.

    Sans aller jusqu'au dégoût la musique m'ennuie. Je préfère le silence ou la parole. Je suis donc pire qu'un sauvage.

    Résumons-nous: je n'aime ni la musique ni Proust. Je ne suis pas obsédé par le péril musulman. Qu'est-ce que je fous là? Eh bien j'aime le style et l'humour de M. Goux.

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  14. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  15. Non Georges, vous avez mal interprété.
    Ce qui me gêne, moi, ce n'est évidemment pas qu'il aime votre musique!
    C'est ça qui me gêne:
    "Et puis non. Évidemment, je ne peux rien faire pour vous, je ne peux pas vous forcer à éouter ..."
    C'est trés discriminant et nous les faibles d'esprit, nous sommes exclus. Et l'exclusion, ya rien de pire. Je me sens presque reconduite à la frontière. Je vais me plaindre auprès de l'UE. Bonne journée

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  16. Il n'y a rien de vexoitoire là-dedans.
    Au pire on s'en fout de l'élitisme de Mr Goux, de ses préférences, complicités et autres affinités.
    De l'utilité de les étaler...
    De grâce Carine, ressaisissez vous!

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  17. Citation exacte: "Vous n'êtes qu'une petite barbare, répétait Madame avec accablement, une vraie barbare.Et encore les barbares ont une musique! Une musique barbare, naturellement, mais une musique. La musique partout précède la science."

    Je suis donc pire qu'un barbare.

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  18. Non, Carine, c'est vous qui n'avez pas compris. Je ne parle pas de ça.

    (Mais ce billet est un régal tant il démontre immédiatement de quoi il est question ici.)

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  19. Fredi maque:
    Mais je ne suis ni vexée ni dessaisie,je disais ça hein, je disais rien! Comme d'habitude.
    Je n'ai donc pas à me ressaisir.
    On a l'habitude que Didier agisse de la sorte. On va pas le changer!
    Bonne journée, je vais bosser.

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  20. Et puis il y a la musique et la musique des mots.
    Laquelle préfère-t-il chez Georges le Goux?
    J'aime bien son blog à Georgio: il est des plus original.

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  21. Georges
    vous remarquerez que j'évite toujours de dire" vous n'avez pas compris" à mes interlocuteurs, sauf si ce sont des ennemis. Sans doute une déformation professionnelle...
    Je parle d'interprétation et non de compréhension, c'est moins incisif.
    Sur ce, je suis en retard, bonne journée.
    Pour moi, c'est clos pour aujourd'hui.

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  22. Sur ce, je suis en retard, bonne journée.
    Pour moi, c'est clos pour aujourd'hui.


    Elle est de mauvaise humeur...
    Si en plus elle trébuche sur ses talons aiguilles en courant à son boulot elle ne sera pas à prendre avec des pincettes de toute la journée....

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  23. Et voilà, je nous ai mis Carine de mauvais poil pour la journée !

    La prochaine fois, je ferai un billet sur Daniel Guichard, on arrivera peut-être à récupérer le Sansano...

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  24. ou pPiaf: ça c'est d'la musique, d'la vraie musique... ;-))

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  25. Qui a prétendu aimer la musique de Georges dès la première écoute ?
    Il faut se l'apprivoiser. Après on se met à écouter un peu plus les sons du quotidien.
    ( est-ce-que je me trompe ?).
    Le Général écrivait bien... .

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  26. Emma : c'est exactement ça : il me semble que je commence tout juste à y voir (ou plutôt à y entendre) certaines choses, à discerner une architecture, etc.

    Et, n'en déplaise à Carine, je ne vois pas pourquoi je devrais m'excuser d'écouter autre chose que de la merde en barre.

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  27. Geargies : non, Piaf c'est de la chanson, pas de la musique.

    Mais c'est de la très bonne chanson. Enfin, parfois...

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  28. Daniel Guichard… pas facile, ça ! Des mois et des mois de travail, avant de réussir à écrire un petit article de douze lignes. Évidemment, si vous demandez l'aide de Saint Zano, c'est beaucoup plus simple, mais c'est dommage, ce n'est pas comme ça que vous vous cultiverez, Didier Goux !

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  29. c'est exactement ça : il me semble que je commence tout juste à y voir (ou plutôt à y entendre) certaines choses, à discerner une architecture, etc.

    Vous voulez dire qu'elle est (je sais que l'on doit se méfier des adjectifs, je n'ai jamais vraiment compris pourquoi moi je les adore) astringente?
    Astringente ou l'adjectif que je voudrais ad hoc...

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  30. Une chose reste certaine – mais alors là, vraiment certaine : on ne peut pas faire une nature morte avec un violon.

    Sybilin.

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  31. À ce stade du débat citoyen, je dois annoncer que je décline toute responsabilité, quelle qu'elle soit, dans les conséquences qui pourraient advenir après l'écoute du disque dont il est fait inconsidérément ici l'apologie. Que Didier Goux assume. Je suis déjà menacé d'extradition au Venezuela, ça va bien comme ça. Je ne peux pas porter toute la misère du monde, onvadir.

    (Evidemment, si Nicolas faisait une rupture d'anévrisme, on étudierait la question.)

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  32. Dans son vieux pardessus râpé
    Il s' en allait l' hiver, l' été
    Dans le petit matin frileux
    Mon vieux.

    A force d'écouter cette oeuvre dédaignée par certains on y trouve une architecture du quotidien, de l'hebdomadaire même -"Y' avait qu' un dimanche par semaine"- voire du saisonnier -"L' été on allait voir la mer"-. La scansion monotone des semaines, des mois et des années est sans prise sur le "vieux" toujours déjà vieux. Seul le coeur étroit de l'adolescent mesure le temps qui passe et que rappelle la rumeur lointaine des voix qui l'une après l'autre rétrécissent en un ostinato silencieux. Certain ici voudrait nous faire croire qu'ils connaissent la musique mais que sait-il de la chanson (private joke qui ne peut être comprise que de Daniel Guichard et de moi... et de Derrida).

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  33. Sacré Père Santos ! Toujours à cheval sur le sublime !

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  34. Fredi Maque : La musique de Jérôme Vallet est-elle astringente ? Grave question. J'ai vérifié dans le Robert. Astringent : qui exerce sur les tissus vivants une action de resserrement. Or, il ne me semble pas que, lorsque j'écoute ce disque, mon anus se crispe. Je crois donc pouvoir affirmer – et ne lui en déplaise – que la musique de Vallet est non astringente.

    Avant qu'on me pose la question, j'ajouterai qu'elle est également non laxative – mais il faudrait que j'aille jeter un rapide coup d'œil à mon fauteuil.

    Georges : j'assume comme une bête.

    Santos Machin : figurez-vous que cette chanson (dont la musique est d'ailleurs de Jean Ferrat) est sortie quelques mois après que mon père a perdu le sien. Je l'ai donc écouté des dizaines de fois. Je me demande même si je ne serais pas encore capable de vous la chanter de mémoire...

    Vous voyez, Georges : moi aussi, je peux faire mon saint Zano. Je suis, en quelque sorte, la conscience de Zano.

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  35. Je pense que vous avez noté que Santos Pankraic est une anagramme de Patrick Sans-Anneaux.

    C'est un vieil ami à moi, que je croyais avoir oublié à la cave, lorsque j'ai fermé le précédent blog de Georges. Difficile de désespérer Daniel Guichard…

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  36. (Quant à la musique de JerVal, elle me crispe à un point que c'en est indécent.)

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  37. Mince, non : l'anagramme m'avait échappée.

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  38. Où est cette foutue clef ?17 septembre 2010 à 17:02

    Le vieux vin oublié à la cave vous salue Georges. 108 en fait autant Monsieur Goux.

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  39. @Didier Goux
    "l'anagramme m'avait échappée."
    Rho la faute!

    "Et, n'en déplaise à Carine, je ne vois pas pourquoi je devrais m'excuser d'écouter autre chose que de la merde en barre."
    J'ai dit tout ça, moi?
    J'ai dit, ou j'ai voulu dire, que nous aussi, parfois, il peut nous arriver d'accéder à quelque chose de beau, ne vous en déplaise.

    Et puis ça aussi, pendant qu'on y est:
    "En admettant qu'il doive ne me rester qu'un seul commentateur sur ce blog – en admettant. Eh bien, ce serait lui et personne d'autre."
    Rassurez-vous, ça ne risque pas d'arriver.
    Mais sait-on jamais?

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  40. oui, je suis de mauvaise humeur, et alors?

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  41. J'en suis tout à fait navré pour vous, mais anagramme est un mot féminin.

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  42. Carine. En principe après une telle bévue.... on perd Georges.

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  43. Non, parce que j'aurais dit la même chose que Carine.

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  44. Carine a dit...
    oui, je suis de mauvaise humeur, et alors?

    N'êtes pas assez décontractée du string Carine. Cool! Tout va bien.

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  45. Didier: vous dites "la belle m'avait embrassée ?"

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  46. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  47. Oh, pardon, je n'ai lu le commentaire de Georges qu'après.

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  48. Suzanne a dit...
    Didier: vous dites "la belle m'avait embrassée ?"

    Hi hi hi!!!!

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  49. "l'anagramme m'avait échappé", Didier.
    Verbe échapper conjugué à un temps passé, à l'aide de l'auxiliaire avoir.
    On cherche le COD et non le sujet, parce qu'il y a accord avec le COD, à condition que celui-ci soit placé avant le verbe.
    Faut tout leur dire.
    L'anagramme vous avait échappé quoi?
    Je vous le demande ^^

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  50. Suzanne,
    "la belle m'avait embrassée": oui, si le locuteur est une femme (COD: me, élidé).
    L'anagramme m'avait échappé, ça n'a rien a voir. Il n'y a pas de COD.

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  51. Fredi Maque,
    faites comme si j'étais un homme, ça me fera des vacances.

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  52. Je répète : En principe après une telle bévue.... on perd Georges.

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  53. Merci Carine, vous m'évitez d'avoir à reprendre Suzon, qui l'aurait encore pris comme une preuve d'amour.

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  54. Carine, oui, mais mon exemple était adressé à Didier, et Didier est masculin.

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  55. Pour en revenir à la musique, j'aime la lenteur des adagios (j'aime aussi les pléonasmes).
    J'aime quand ça pleurniche du violon, que ça trainasse du clavier. Les compiles à 2 euros dans les bacs sont pour moi.
    Mais j'aime aussi "la valse triste", Laure Favre Khan quand elle s'énerve sur Rac Ma Ni Nof (je ne prends pas le risque d'écorcher son blaze).
    Comme je suis curieux, j'ai cherché "Jérome Vallet". Mais je n'ai pas trouvé grand chose à part ceci.
    S'agit-il du vôtre?

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  56. De toute façon, on peut embrasser quelque chose, mais on échappe à quelque chose. Ce n'est pas comparable.

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  57. Georges...vous êtes nimois?
    En face des arènes de Nimes il y a un resto fort sympathique: Le Cheval Blanc.
    Les allemands ont apprécié l'endroit pendant la dernière.

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  58. Fredi, vous n'êtes pas obligé non plus de me stigmatiser sur la place de grève ! Quand j'aurai une fatwa démocratique sur le dos, vous serez bien avancé.

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  59. Fredi, vous n'êtes pas obligé non plus de me stigmatiser sur la place de grève !
    Bof.
    C'est grand Nimes. Plus grand que mon 14ème.
    N'ayez pas peur.

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  60. Vous êtes toujours sérieux comme ça, Fredo ?

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  61. C'est fou ça: avoir peur de la stigmatisation, chez soi, dans une grande démocratie (populaire), au pays des droits de l'homme.
    Vous craignez quoi? Le goulag?

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  62. Vous êtes toujours sérieux comme ça, Fredo ?
    J'ai pris le parti d'en rire.
    La vie est trop courte.

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  63. Fredi, vous n'êtes pas obligé non plus de me stigmatiser sur la place de grève !

    L'élitisme mon vieux l'élitisme!

    En admettant qu'il doive ne me rester qu'un seul commentateur sur ce blog – en admettant. Eh bien, ce serait lui et personne d'autre. Parce qu'il est musicien, et pas vous

    Les projecteurs ça crame que voulez vous.
    Pour les réclamations, finalement, adressez vous au taulier.

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  64. Georges, je vois que vous avez aussi la grammaire comme compétence.
    Cela aggrave votre cas!

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  65. Non Carine, je ne suis pas "compétent" dans le domaine de la grammaire, certainement moins que Didier Goux, par exemple. Simplement, je suis allé à l'école, où j'ai appris à parler français, où j'ai aimé apprendre à parler français. "Parler français" était même une valeur centrale, dans ma famille, valeur autour de laquelle gravitaient toutes les autres, et de cela je suis infiniment reconnaissant, notamment envers mon père.

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  66. Fredi, comment vous dire, je crois que vous avez un peu de mal à comprendre, parfois…

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  67. ..."violon...". car Georges est Braque , I presume?

    @DG: Piaf: ça c'est d'la musique , qui'm passe par le bas par le haut.... c'est des paroles de chanson justement ...

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  68. Piaf : de la musique qui passe par le haut des hurlements.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.