“C'est une invasion !”, pépie la mésange bleue ; “On n'est plus chez nous !”, trille le pinson ; “Qu'est-ce que c'est que ces bariolés de merde qui viennent bouffer nos graines de tournesol ?”, s'étrangle la sitelle ; “ Un ça va, c'est quand ils se multiplient que ça pose des problèmes...” , conclut doctement le rouge-gorge – et même ces petits cailleras de verdiers semblent n'en pas mener très large face au péril tout neuf.
Les autres hivers, dans les périodes de froid rude, nous avions le plaisir de la visite d'un, voire deux chardonnerets. Il y a deux ans, je me souviens en avoir recensé trois, et nul n'avait fait mine de s'inquiéter. Mais ce matin, ils étaient cinq à prendre d'assaut la mangeoire : la contre-colonisation est en marche, plus rien ne semble en mesure de l'arrêter.
De plus, observez bien leur tête, pauvres volatiles méfiants et apeurés : ce sont des rouges !
Les autres hivers, dans les périodes de froid rude, nous avions le plaisir de la visite d'un, voire deux chardonnerets. Il y a deux ans, je me souviens en avoir recensé trois, et nul n'avait fait mine de s'inquiéter. Mais ce matin, ils étaient cinq à prendre d'assaut la mangeoire : la contre-colonisation est en marche, plus rien ne semble en mesure de l'arrêter.
De plus, observez bien leur tête, pauvres volatiles méfiants et apeurés : ce sont des rouges !
Quand la mangeoire est gratos et bien remplie, ça attire forcément beaucoup de monde !
RépondreSupprimerChez nous seules les mésanges bravent le mistral qui souffle à 100 km/h. Le rouge-gorge l'a dans l'os car il ne peut accéder aux graines...solidarité bien ordonnée etc etc..! Sinon 40 cm de neige minimum, le télé-travail me guette, ouf !!!!!
RépondreSupprimerCe billet est plein de sous-entendus. C'est lamentable. Je vais alerter les piaftblogueurs.
RépondreSupprimerMe revoilà! paaaardon!
RépondreSupprimerJe n'avais plus de connexion (câble de ma free box flingué).
Meilleurs voeux à tous, santé et tout et tout
Et moi aussi, j'ai eu des problèmes de livraison par colissimo ! Elle a bon dos la neige...
RépondreSupprimerSaint-Nicolas du chardonneret, priez pour nous...
RépondreSupprimerIls ont leurs titres de séjours les piafs ?
RépondreSupprimerSinon faut faire un charter de pioupious et les reconduire à la frontière ailo-militari.
Ces oiseaux étrangers qui viennent picorer le grains de nos zozios français, franchement c'est révoltant.
Tiens, on n'en parle pas mais avec leur bêtise de réchauffement planétaire, ça va être un gros problème pour les oiseaux cet arrêt des migrations !
RépondreSupprimer:-))
Vous devriez vous réjouir que de telles beautés en voie de disparition daignent picorer vos maigres offrandes !
RépondreSupprimerNon, j’rigole ! La photo est de vous ? Si oui, toutes mes félicitations, vraiment. Et je suis connaisseur…
Paul : il est sûr que ça me manque pas : chaque hiver, ils nous bouffent à peu prsè 100 kg de graines de tournesol et une petite centaine (mésanges seulement) de boules de graisse.
RépondreSupprimerPluton : vous êtres rouge-gorgeophobe ?
Nicolas : oui, c'est un billet nauséabond.
Marine : ah, tiens, on parlais de vous, hier, avec l'Irremplaçable et on se demandait ce que vous deveniez...
Nicozoc : faudrait savoir : ils sont rouges ou intégristes, mes piafs ?
Emanu : je crois que je vais régulariser tout le monde...
Poireau : mais ce ne sont pas des migrateurs ! Juste des oiseaux qui se font rares et, en principe, s'approchent assez peu volontiers des maisons.
Gwendal : ah, mais nous nous en réjouissons grandement ! Nous sommes même limite gâteux. Au point, lorsque nous avons à sortir et qu'ils sont en train de manger, d'attendre patiemment qu'ils aient fini pour ne pas les effrayer en ouvrant la porte.
Gwendal encore : non, je l'ai trouvée su internet. Catherine a réussi quelques très belles photos d'oiseaux... mais pas de chardonneret !
RépondreSupprimerOh!
RépondreSupprimerC'est trop gentil, ça!
Dur de pas avoir le net juste pour le passage à l'année suivante !
Vous avez cru que je boudais, je parie (SMILEY)... ou bien que j'avais eu droit à des bisounours feutrés de nos amis divers?
Marine : non, pas que vous boudiez. Mais, peut-être un moment de lassitude, de ce blog-ci ou des blogs en général : ce sont des choses qui arrivent...
RépondreSupprimerOui, c'est vrai. Mais je vous l'aurais dit en mail.
RépondreSupprimerLà, c'était une coupure de courant. Quand ils ont remis le jus, mon modem ne s'allumait plus... Merci qui?
Et plus de 10 jours pour avoir le câble en question. Mais bon, ce n'est pas grave. Tout est rentré dans l'ordre.
Sachez que je ne me lasse pas de votre blog, ni de vos annexes.
Chez moi c'est les blancs... Ça piaillent dans tout les sens ! dès quatre heures du mat'. Quand on habite au bord de la mer, avec les britons pour paysage, on est forcément terre d'asile ! Et les médias mentent !
RépondreSupprimerQuoi ? des afgans ? des irakiens ? des arabes ? du moyen-orient ? ou de l'orient en bas, à gauche sur la carte ?
N'importe quoi ! c'est des conneries tout ça mon bon monsieur...
L'envahisseur... le terrible, celui qui gueule ! tout le temps ! à la moindre bourrasque ! jamais content ! et pas français pour un sous ! et qui chie partout, même sur ma voiture bleue... c'est ces affreux dinosaures blancs ! qui dévalisent nos poubelles, qui repeignent tout les bâtiments anciens de notre beau patrimoine régional... qui piaffent à tout vent... et qui, par-dessus le marché, sont protégés ! aidés ! soignés ! pour peu qu'un magnifique pétrolier rouge coule au large des côtes française (avec la complicité du courant marin qui fait tout exprès de balancer la sauce chez nous) et vienne teinter d'un beau noir intense, ces volatiles prétentieux ! opportunistes ! mangeur de poissons crus ! et qui osent vous regarder de cet œil perçant, vous défiant d'un aplomb absolu, faisant même peur à mon chat ! je nomme donc, j'accuse ! même, responsable de bien des malheurs en notre pauvre région déjà meurtrie par l'Histoire passée: la pêche sans poissons, la guerre avec les allemands chassés par les anglais trop heureux de tout détruire, Napoléon rêvant de son Europe le dos tourné à la mer, ma ville même, construite par les troupes de Jules César afin d'envahir ces idiots d'en face (ils y arriveront avec Claude quelques décennies après), je montre du doigt donc, les mouettes.
Sus aux mouettes ! Y en a marre, nom de Dieu ! c'est pas bientôt fini ces palabres à la con sur le toit ! Y en a qui dorment ! si ça continue, je sonne le tocsin ! à réveiller tout les lapidaires de chômeurs du quartier ! v'là la révolution !
Con de mouettes !
Clotaire : d'autant les mouettes chieuses s'étendent réellement, elles : actuellement, on en jusque par chez nous, dans les champs !
RépondreSupprimerBen c'est pas fini la guerre...
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