Bon, voilà. On a a décidé, et déclaré hautement, l'Irremplaçable et moi, que ce mois d'août 2009 à Plieux nous avait bien suffi. Et puis, cette photo, où il se pourrait que ce soit moi, dans le fauteuil (non, pardon, dans le canapé), face précisément à Béatrice et Dante, tels que nous le fûmes en effet, chaque soir de ce mois d'août. – Et je me rends compte que je n'ai rien dit de cela, de ces vingt ou trente soirées dont la fin (c'était l'été) ressemblait à cette photo, la nuit venant, plus tard, certes, mais venant tout de même. Et cet homme, cette ombre d'homme, il n'est pas impossible que ce soit moi – il manque les chiens à mes pieds, mais c'est peut-être moi tout de même, cet été. Et, si c'est l'été, je sais ce qu'on peut voir – quels flamboiements en tournant très légèrement la tête.
"Et je me rends compte que je n'ai rien dit de cela"
RépondreSupprimerEh bien faites seulement!
Je trouvais que ça vous allait bien, veilleur de bibliothèque.
RépondreSupprimerIl manque les chauve-souris ...
RépondreSupprimerEt un chauve-barbu imbibé... ouarf !
RépondreSupprimerça sent le retournement de veste. Bientôt Plieux le retour, Plieux 2.0 ? Les promesses, les engagements, .... Vous virez sarkozyste Didier ?
RépondreSupprimerTrahissez, trahissez, ce sera une source de bonheur .....
A part ça, vous ferez comme d'habitude, à votre instinct. et l'instinct c'est Irremplaçable non ?
Que c'est beau... Si. C'est beau.
RépondreSupprimerMais il doit faire froid, un peu, dans cet endroit ?
Malgré les lectures...
Bon, j'aurais mieux fait de m'arrêter l'année derniére. Geargies.
RépondreSupprimerBon, j'aurais mieux fait de m'arrêter l'année derniére. Geargies.
RépondreSupprimerSur la photo, je remarque qu'il y a encore plein de place pour des livres ! Mince, moi qui commence à les entasser par terre ou sur une chaise, ou encore en cartons dans la cuisine... malgré tous mes dons aux Emmaüs et mon lâche oubli d'au moins une caisse chez ma mère, sans compter celles restées chez mon ex... Y a pas d'Bon Dieu pour les livres !
RépondreSupprimer@ Didier : vous m'avez devancée, je venais tuer l'autre cornard... Bises. Signé Bobonne.
RépondreSupprimerOui, Madame : les grossiers malpolis, je les flingue !
RépondreSupprimermoui... qu'est-ce que ces attendrissements ? on dirait un gauchiste de gauche alangui sur un canapé (écolo de nouvelle gauche) se délectant à l'écoute d'un discours d'Olivier Besancenot... Là, je proteste !!! pas le facteur, s'il te plaît. Tout, mais pas ça... (ni Mélenchon ni Vals ni Hamon ni Aubry... bon Villepin et Royal... c'est tout juste... Sarko, j'en parle même pas...)
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