Hier après-midi, cependant que je télé-travaillais benoîtement dans La Case, L'Irremplaçable s'est mise en tête d'aller faire quelques courses à Vernon – que des denrées de première nécessité : eau de Cologne, pyjamas neufs, des os pour les chiens...La neige a commencé à tomber à gros flocons à sa sortie du Monoprix. Elle a pu grimper sans trop d'encombres la côte qui permet de s'extraire de la vallée de la Seine, puis traverser le plateau et redescendre de l'autre côté, dans la vallée de l'Eure. C'est lorsqu'il lui a fallu – à elle et à quelques autres – remonter de l'autre côté que les choses se sont gâtées. Au point qu'elle a bien dû se résoudre à abandonner la voiture sur le bas-côté pour couvrir à pied les trois kilomètres qui restaient jusqu'à la maison.
Et, bien entendu, ce matin, après un appel téléphonique et renseignatoire à la gendarmerie de Pacy, nous avons reparcouru cette même distance dans l'autre sens afin de récupérer Roselyne qui, depuis une quinzaine d'heures, se frigorifiait les ovaires non loin de la déchetterie.
Nous voilà revenus à bon port, la neige s'est remise à tomber, les chiens ont leurs nonosses, nous du pain frais et de quoi fumer. L'hibernation se profile.
Elle a bien changé, la rue de Charenton !
RépondreSupprimer"e frigorifiait les ovaires non loin de la déchetterie."
RépondreSupprimerAh ben voilà qui est gracieux!^^
;-)) surtout pour une cyborg....
RépondreSupprimerL'été, vous "hibernez" pour éviter les touristes et vous fuyez les plages à congés payés. L'hiver, vous hibernez pour fuir la neige. L'automne aussi, réchauffement oblige.
RépondreSupprimerVive les demi-teintes et les mi-saisons, surtout le printemps !
Contente que vous ayiez récupéré le tout, Catherine au premier rang ^^
Votre titre est-il un clin d'oeil à Alexandre le Bienheureux (avec des majuscules partout?), revu dans la semaine?
RépondreSupprimerQuand vous hibernez, vous ne savez pas éviter vos trolls, comme Carine ? Elle pourrait revenir au printemps par exemple. Quant à Georges, il pourrait mourir gelé dans d'atroces souffrances, par exemple, mais juste pour nous rendre service, hein ! Pas méchamment.
RépondreSupprimerDans le ciel gris la neige tombe, A gros flocons tombe sans fin, Elle étincelle sur les branches, Des arbres morts de mon jardin.
RépondreSupprimerA peu près hein.
J'ai la mémoire qui flanche, j'me souviens plus très bien des comptines de mon enfance.
Comme dirait Georges Frêche revisité par Laurent Gerra:
RépondreSupprimer"mais non ! c'est pas méchant !"
On nous souhaite très gentiment de crever…dans d'atroces et gentilles souffrances.
Ya des baffes qui se perdent…
Nicolas, vous allez bien ? Noël approche, c'est le temps de l'Amour, ne soyez pas si agressif, ça me gêne.
RépondreSupprimeridem ici ... l'an prochain j'achète skis et chaînes ... et je réfléchis à installer un tire-fesse !
RépondreSupprimerTout de même Nicolas, ce sont des trolls personnalisés, rien à voir avec ces connards d'anonymes.
RépondreSupprimerUn connard d'anonyme.
Catherine,
RépondreSupprimerOui et vous ?
Je vous en prie, Catherine : ce que me souhaite le Grand Nicolas me réjouit au plus haut point. C'est s'il me souhaitait un joyeux Noël, que je serais malheureux.
RépondreSupprimerCarine, je vous en supplie, ne gâchez pas les si jolies baffes que vous avez sans doute à donner : réservez-les à des sujets qui les méritent. Baffer Nicolas, c'est comme pisser contre le vent.
Connard d'anonyme, je t'emmerde.
RépondreSupprimerConnard de Georges, je t'emmerde.
RépondreSupprimerIl est sympa, ce blog. D'autant qu'il héberge les débiles. Financé par la cotorep ?
J'espère que vous êtes bien au chaud pour regarder la bataille de boules de neige.
RépondreSupprimerDécidément, ce soir, il tombe un peu de neige partout et beaucoup de merde grâce à Nicolas ^^
RépondreSupprimerAh c'était vous, le connard d'anonyme. D'accord. Faites pleuvoir le lisier.
Le Coucou
RépondreSupprimerPas la peine de prendre ce prétexte pour le vin chaud.
Moi, j'ai fini pour ce soir.
Le Coucou,
RépondreSupprimerNe nous fâche pas la Carine ! Déjà qu'elle n'est pas nette, elle est amoureuse de Georges.
Petite rectification, mourrir gelé est une mort des plus douces. Bon, je vous concède que se geler les roubignoles au tout début ne relève pas du plaisir mais, très vite, votre température centrale s'abaisse, vous sombrez dans le coma en attendant que votre petit coeur fibrille tout seul, comme un grand, sans souffrance, puis s'arrête définitivement. Voilà voilà...
RépondreSupprimerDonc notre cher Nicolas est un homme foncièrement bon ! ;))
P.S : anecdote : le dernier, sorti du Styx par les cheveux, avait la chaudière en carafe : 28°C. Quel sang froid !!
Pour cause d'expédition dans le grand nord (Tourcoing-coin-coin-coin-coin), je rattrape ce matin deux jours de tournée de blogs.
RépondreSupprimerJe lis vite et les circuits neuronaux encore gelés :
"sans désemparer ni mollir" devient "sans désempailler".
Pluton, c'est un temps à mettre les petits vieux acariâtres dehors !
RépondreSupprimerLa noyade, c'est bien aussi, j'ai (presque) testé.
Bon, je viens juste de me rendre compte que j'avais laissé la notification des commentaires à mon adresse levalloisienne.
RépondreSupprimerD'où mon absence de réponse.
(De toute façon, hein...)
Nicolas est un grand malade. Faut pas le brusquer.
RépondreSupprimerRéaction de l'Homocarinus: "mais qu'il est c...bête, ce mec !"
Tilly, vous avez bien recompté tous vos orteils?
Bin oui, Didier, ya Nicolas qui fait rien que troller.
RépondreSupprimerCarine, c'est à cause de la neige : au lieu d'en faire des boules il en a fait des lignes et se les ai enquillées dans les trous de nez.
RépondreSupprimer