Jules Lemaître (1853 – 1914), photographié par Paul Dornac. |
« Les livres ne consolent pas. Ils sont les amis des beaux jours. Dans la peine, il n'y a plus que des reliures. »
Jules Lemaître, cité par Ferdinand Bac, à la page 82 du livre dont les références sont données dans le billet précédant celui-ci.
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RépondreSupprimerOn verra bien…
SupprimerOu pas.
SupprimerA ce que je comprends, encore un Jules qui n'a pas l'air d'aller très fort.
RépondreSupprimerIl venait de perdre Mme de Loynes, sa protectrice bien aimée…
SupprimerMoi, ça m'a fait pareil quand j'ai appris que la mère de Loynes avait clamsé !
SupprimerJe ne sais pas si Lemaître a raison. Sans doute l'avis qu'il exprime s'applique-t-il à sa propre expérience, mais la mienne me porte à croire que la lecture peut être consolante, dans une certaine mesure.
RépondreSupprimerÇa doit dépendre à la fois du caractère de chacun et de la vigueur de la souffrance.
SupprimerNombreuses pages consacrées à la comtesse et à Jules Lemaître dans les Souvenirs de Léon Daudet, que vous connaissez peut-être déjà.
RépondreSupprimerVoui Monsieur !
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