dimanche 26 septembre 2010

Les romans vont où ils veulent


Juste un mot pour vous signaler que Bruno Maillé parle plus longuement et mieux que moi de la pentalogie de François Taillandier, dans laquelle je vais de ce pas me replonger. C'est ici.

4 commentaires:

  1. Je ne sais pas pourquoi, mais je confonds toujours Maspero (qui m'ennuie) et Taillandier (que je ne connais pas).

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  2. Moi c'est presque l'inverse : jamais lu Maspéro. Mais j'aime bien Taillandier, qui ne m'ennuie pas du tout.

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  3. Pareil que vous, Monsieur Goux : « Les derniers seigneurs de la pègre », « Dans l'enfer du minitel rose », « Commissaire Jobic », « Maison du Nord », « 36, quai des orfèvres », « Le noyé de Porz Kuriuz »... Je possède toute l'œuvre de Roger Le Taillanter, qui ne m'ennuie pas du tout.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.