Depuis ce matin, je m'intéresse à la vie quotidienne dans les maisons closes, à la Belle Époque - en vue du prochain BM, ainsi qu'on l'aura deviné. Il s'ensuit que mon esprit flotte dans une sorte de rêverie nostalgique sans objet précis, qui a pour effet d'accroître encore l'état d'errance dans lequel je me trouve depuis hier. L'impression de tourner sans fin autour de soi-même et de ne jamais réussir à voir autre chose que son propre dos.
Ah ! très bien le coup du dos, j’ai un ami psychanalyste qui me disait regarder le dos de ses patients, cela lui donnait une première impression, d’ailleurs l’expression en avoir plein le dos, est significative, se mettre à dos ( soi-même ?) est pas mal non plus, dos à dos etc ! ça se termine toujours là où on ne voit pas, là où on a besoin de quelqu’un, ne serait-ce que pour masser ou gratter.
RépondreSupprimerPour vos recherches sur les bordels, il y a dans" Voyage en Bretagne par les champs et par les grèves "( Editions complexe réédition2001)une description d’un bordel de Brest qui est épatante, comme d’habitude les intellectuels Flaubert et son poteau Maxime du camp ne consomment pas. Voulez vous que je scanne les pages ?
Courage, le roi est nu !
Allez donc voir ce spectacle :
RépondreSupprimerhttp://tv.jubii.fr/video/iLyROoaft-6_.html
Je ne ne sais pas ce que ça vaut mais si vous y allez votre avis sera le bienvenu.