jeudi 28 février 2008

Première, seconde, point mort... et on recommence !

Vivre à la campagne tout en travaillant à Levallois-Perret présente de très réels avantages, en dehors même du fait qu'on peut dormir loin de Balkany, ce qui est la garantie d'un sommeil plus paisible : il y a l'air pur, le doux babil des taille-haies et tondeuses à gazon, le plaisir sans mélange de pouvoir sauter à pieds joints dans une grosse bouse de vache, si d'aventure on se sent d'esprit ludique.

Il y a aussi des inconvénients. Comme celui d'apprendre qu'à compter du 28 février, et jusqu'au 30 juin, pour cause de travaux méga-lourds et hyper-importants, l'autoroute A 13 passe de trois voies de modèle standard à deux voies étroites. Conséquence imparable pour les quatre mois à venir : une demi-heure de bouchon tous les matins, entre Mantes-la-Pourrie et Poissy-la-Poisseuse.

Or, si je suis passé maître dans l'art de faire sauter les bouchons, même en état d'ébriété avancé, certains me laissent encore totalement désemparé et impuissant, probablement en raison de leur nature non-liégeuse.

6 commentaires:

  1. Je vous conseillerais bien de prendre la nationale 13 qui passe devant chez moi et de faire un petit arrêt croque-monsieur - non voilà que je m'emmêle les pinceaux je ne suis pas chez Olivier Bruley - mais on a débaptisé ma belle nationale pour en faire - horreur ! - une départementale 13 !

    iPidiblue départementalisé après avoir été longtemps nationalisé

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  2. N'oubliez pas de prendre un pack de bières pour la route.

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  3. Tiens donc, voilà que devant un vrai bouchon je fais moins le fiérot... je ricane... je minaude... je refuse l'obstacle... Vous êtes un un troll bien vulnérable Mr Goux !

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  4. iPidiblue-croque-monsieur : ça peut s'envisager...

    Zoridae : vous savez comment sont les hommes, non ?

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  5. Didier,

    Vous avez remarqué que je reprenais vos mots, exactement...

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  6. Ca me rappelle l'époque où j'habitais Versailles et bossait à Surenes. Toujours à la recherche du parcours sans bouchon... depuis que je suis à Lyon c'est fini, je roule comme une fleur (expression poétique qui ne veut rien dire du tout)

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.