La tolérance n'est, en dernier ressort, qu'une coquetterie d'agonisants.
samedi 2 février 2008
Les épreuves du Bach
De toute façon, quand je commence à ne plus pouvoir écouter autre chose que les suites pour violoncelle et L'Offrande musicale, c'est qu'il y a un truc qui déconne...
Mahler, c'est du café. Bruckner, c'est du lexomil-sauf quand Furtwängler dirige. L'un n'empêche pas l'autre. Mais pas en même temps bien sûr. Evidemment quelqu'un va intervenir pour dire qu'il ne prend JAMAIS son lexomil sans une tasse de café...
Quand Bach va, tout va, pourtant. Il ne change pas, contrairement à tout ce qui est animé ou non. Il devait avoir un secret, cet homme...
RépondreSupprimerLorsque tout finit par l'échanson, il vaut mieux au somme le lier.
RépondreSupprimerBon ça va, en plus je me trompe de post
Essayez les symphonies de Bruckner-Brilliant classics a réédité une intégrale Jochum pour pas cher-. Pour moi, cela a le même effet calmant que Bach.
RépondreSupprimerJ'ai un peu de mal avec Bruckner, j'avoue. Peut-être parce que j'écoute trop Mahler...
RépondreSupprimerMahler, c'est du café. Bruckner, c'est du lexomil-sauf quand Furtwängler dirige. L'un n'empêche pas l'autre. Mais pas en même temps bien sûr. Evidemment quelqu'un va intervenir pour dire qu'il ne prend JAMAIS son lexomil sans une tasse de café...
RépondreSupprimerPas bon tout ça, le mélange des drogues ... sniffer un mélange Bruckner/Mahler sur le capot d'une voiture pour imiter Frédéric Beigbeder !
RépondreSupprimeriPidiblue et le style de conduite en voiture
Ce n'est pas déconner que d'écouter Bach, c'est seulement se remettre en place. Après, ça va mieux.
RépondreSupprimerComme d'habitude, la Mère Castor parle d'or.
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