Il y a dix minutes, de retour devant ce clavier, je découvre dans la boîte idoine un mail émanant de l'assistante de mon éditeur, par lequel elle me supplie de lui donner de toute urgence le titre du Brigade mondaine dont la sortie est prévue pour le mois de mai, et que je dois donc remettre vers le 20 mars au plus tard. Je réfléchis durant une minute douze et décide que le roman en question s'intitulera...
Tous les problèmes ont donc été réglés quasiment dans l'instant, grâce à ma conscience professionnelle en béton. Tous sauf un : il me reste exactement quatre jours pour bâtir une histoire correspondant au moins de loin au titre qui, l'espace d'une seconde, m'a traversé l'esprit, et qui, la seconde suivante est devenue une dure réalité.
Un de ces jours, à jouer au con ainsi qu'il le fait, l'écrivain en bâtiment va finir par se prendre son pot de peinture sur la gueule.
LES DESSOUS DE LA PRESSE PEOPLE
Tous les problèmes ont donc été réglés quasiment dans l'instant, grâce à ma conscience professionnelle en béton. Tous sauf un : il me reste exactement quatre jours pour bâtir une histoire correspondant au moins de loin au titre qui, l'espace d'une seconde, m'a traversé l'esprit, et qui, la seconde suivante est devenue une dure réalité.
Un de ces jours, à jouer au con ainsi qu'il le fait, l'écrivain en bâtiment va finir par se prendre son pot de peinture sur la gueule.
Ou comme Bourvil son pot de peinture va éclabousser une grosse légume !
RépondreSupprimeriPidiblue en grande vadrouille
Comme dans "Papy fait de la résistance" ? J'ai du voir ce film 50 fois, je ne m'en lasse pas !
RépondreSupprimerCatherine, tu t'es trompé de film, et c'est iPidiblue qui a raison !
RépondreSupprimer(De toute façon, partons du principe simple qu'iPidiblue a toujours raison...)
"trompéE", pardon...
RépondreSupprimerJe m'excuse ! Euh, je l'ai pas fait exprès ...
RépondreSupprimeriPidiblue alias Augustin Bourvil, peintre en bâtiment.
Extraordinaire !
RépondreSupprimerSi je peux me permettre, ne dit-on pas plutôt "Excusez-moi" ou encore "Veuillez m'excuser" ?
RépondreSupprimer"Les dessous de la presse people" : vous allez enquêter sur le maljournalisme en dentelles ?
RépondreSupprimerAh oui, je me mélange toujours les pinceaux avec les titres de films. Vous avez raison iPidiblue qui se trompe jamais.
RépondreSupprimertout est dans le titre, y'a plus qu'à broder...
RépondreSupprimerAnange, quand on est un modeste peintre en bâtiments qu'on est en pleine seconde guerre mondiale avec un aviateur anglais dans les pattes et qu'on vient de saligoter un Heeresoffizier allemand c'est déjà bien beau qu'on s'excuse, n'en demandez pas plus quand même à la politesse française !
RépondreSupprimerIPIDIBLUE TOUJOURS CORRECT MAIS IL NE FAUT PAS LE CHERCHER NON PLUS !
Voilà le dialogue exact semble-t-il :
RépondreSupprimer"-Eh! Je m'excuse! Hein ! J'vous ai taché...
-Feuer!!!
-C'est un malentendu!!!"
iPidi
Excellent ! J'attends la suite avec impatience, comme un feuilleton ;)
RépondreSupprimerCher M. Balmeyer, comme cela a eu l'heur de plaire à deux ou trois de mes lecteurs, je mettrai en ligne, ici même, le synopsis du roman en question (dès que je l'aurai extrait de mon pauvre cerveau malade...).
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