jeudi 29 novembre 2012

Retournerons-nous à Paimpol ?


J'en doute fort. Simplement parce que notre appétence de déplacements vacanciers a une nette tendance à l'amoindrissement, en attendant une complète extinction. Cela dit, nous y sommes allés.

25 commentaires:

  1. Sans aucun rapport mais en ayant la quasi assurance que vous devriez y trouver votre compte pour vos "moderneouds", allez donc faire un tour par ici:

    http://reporterre.net/spip.php?article3552

    extrait: " méfiez vous en vous lavant, les gaz vous poursuivent !"

    bonne journée

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    1. Ce merveilleux crétin, qui s'imagine que les gaz lacrymogènes sont mortels ! Il se croit à Treblinka-des-Landes, ce guignol ?

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    2. Le plus drôle est que ce niais a l'air sincèrement stupéfait en découvrant que les lacrymos brûlent. Bon oui, mon con, tu pensais quoi ? Qu'ils faisaient des chatouilles ? Des bisous dans le cou ?

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  2. Vous répéterai-je que la lecture de votre journal est un délice ? Non, de peur que vous n'étouffiez sous les fleurs et/ou que vos chevilles n'enflent.
    J'ai particulièrement apprécié le parallèle du 14 entre Simenon et Balzac. Toutefois, votre conclusion concernat ce dernier (" il bâclait des murs de cuisine, il pose les pinceaux ; il les reprend, c'est la Naissance de Vénus.") malgré son habileté formelle ne me convainc pas : je ne crois pas aux miracles !

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    1. J'ai nettement nuancé cette position par la suite (mais où ? Dans le journal de novembre ? En commentaire ici ? Dans un nouveau billet ? Chais pu…), après avoir lu le livre de Bardèche sur Balzac, lequel met effectivement en lumière une sorte de continuité, ou en tout cas une rupture moins nette que je ne la croyais. Donc, vous avez raison et j'avais tort : pas de miracle, ni même vraiment d'énigme.

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  3. Je suis allée souvent à Paimpol, où j'ai même pu constater que le plateau de fruits de mer, sur le port, passait du simple au double, de la dernière semaine de juin à la première semaine de juillet.
    Mais comme vous, j'ai l'impression que je n'irai plus jamais en Bretagne.
    Et pourtant je peux dire que j'aimais cette région, au point de dire à mes proches de m'y enterrer si d'aventure j'y mourais.

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    1. Ah, pardon : je n'ai pas dit que je n'irai plus jamais en Bretagne ! Mais à Paimpol ? À Paimpol même ?

      Cela dit, à quoi on se rend compte que l'on vieillit, et qu'on accepte le fait, c'est en effet de se dire et d'accepter sans sourciller qu'on ne retournera peut-être jamais en Bretagne. et de s'en foutre.

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  4. Lu une (bonne) partie de votre journal.
    Bien sûr qu'un affreux gauchisse est capable de distinguer des qualités dans « l’ignoblerie » du « réac nauséabond » que vous dites être... En tout cas, pour ma part, j’ai passé un moment très sympa en votre compagnie... Malgré ce temps court il y avait de la longueur dans l’échange…

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    1. Ah, mais, oh ! ce n'est pas moi qui prétends être nauséabond !

      Pour le reste d'accord : ne le répétez pas à vos amis gauchistes, mais je vous (le "vous" est pluriel…) ai bien aimés…

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    2. Pour ma part, le vous aussi est pluriel.

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  5. Tiens, la photo est recyclée ou bien je connais cette tête ?

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  6. Y a t il vraiment une falaise à Paimpol ?

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    1. Merci, au moins , la chanson de ment ce n'est pas comme pour celle qui magnifie le clair de lune à Maubeuge qui n'est pas plus beau qu'ailleurs.

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  7. Compte tenu de ce que vous pensez de la tenue d'un blog et de la "matière" de votre journal, ne vaudrait-il pas mieux remplacer ce blog-ci par le graphe en direct live de votre "état" du moment, tel que pourrait nous le livrer un densimètre-alcoomètre, un peu à la manière des stations météo ? Pour les éventuels commentaires et analyses qui accompagnent d'ordinaire ce genre de mesures, vous êtes seul juge de leur intérêt.

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    1. C'est quoi ce charabia Léon ?

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    2. Le densimètre a reçu comme un coup de banane dans la poire, m'est avis.

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  8. Pardon de me mêler de vos affaires mais permettez moi de vous dire que vous courrez au pépin.
    Franchement ça m'inquiète.
    Et vos copains devraient s'inquiéter.

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    1. Allons, vous voyez bien de quoi je parle...
      Pas d'un abus de Balzac.
      Retirez mes deux coms ET calmez vous sur les apéros : ça finira par avoir votre peau (et ça me fera de la peine, en plus)

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    2. Ah, ce n'était que ça : vous m'avez fait peur !

      (Mais il est sûr que “ça” (ou autre chose) finira par avoir ma peau, en effet.)

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.