mardi 13 juillet 2010

Vous l'avez constaté comme moi...


Hier soir Nicolas Sarkozy causait dans le poste, et toutes les blogo-perruches en claquaient du bec de fureur dans leurs cages.

Ce matin j'étais à Neuilly-sur-Seine, et je n'ai pas très envie d'en parler.

Cet après-midi j'étais chez le vétérinaire, et il n'y a vraiment rien à en dire.

Demain des armées africaines vont descendre les Champs-Élysées, et c'est trop grotesque pour ne pas s'imposer le silence.

Après-demain notre petite vie siesteuse reprendra sa course nonchalante vers l'abîme.

Pourvu qu'il n'y ait pas trop de bouchons sur la pente.