jeudi 27 septembre 2012

On était où en août ?


Le journal d'août est un peu en avance, si l'on peut dire, et j'en demande bien pardon à Jacques Étienne, dont l'emploi du temps va se trouver de ce fait gravement perturbé (sans même parler du maelström qui s'apprête à fondre sur lui dans un avenir dangereusement proche…). Mais c'est qu'à compter de demain ce blog va sombrer dans une bienfaisante léthargie d'une semaine…

23 commentaires:

  1. Faites un testament en faveur de votre épouse. Vos frères et soeurs ne sont pas réservataires. Quant à votre mère, elle n'a de droits que sur une partie des donations qu'elle vous aurait éventuellement consenties dans le passé.

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  2. Si votre mère décède avant vous , Catherine hérite de tout, même en l'absence de testament. Dans le cas contraire, elles se partagent le magot. Mais vous pouvez augmenter la part de Catherine par voie testamentaire. Depuis 2002, les frères et soeurs ne passent plus devant le conjoint survivant.

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  3. Pfff ! Pour un peu, on pourrait croire que vous partez en vacances et en plus, histoire d’aggraver votre cas, avec une voiture étrangère !

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    1. Mais je pars en vacances, et dès demain encore ! Pour la voiture allogène, en revanche, il faudra encore patienter trois longs mois…

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  4. Vous êtes pardonné, Didier. Surtout que, par un de ces sursauts héroïques qui me caractérisent, je me suis imposé de n'en lire que la moitié, reportant la lecture la dernière quinzaine au moment où j'aurai accompli une bonne partie du programme que je m'étais fixé pour la matinée. Cela dit, la narration de votre visite à Sedan est émouvante en ce qu'elle permet, sans pathos, de sentir le désarroi que la maladie de votre père provoque en vous. On a du mal à concevoir que la même personne peut écrire ce journal et vos billet et signer les passionnants articles d'Elstir et de Balbec... Mais vous le dites vous-même il faut bien gagner sa vie. Au prix d'une quasi-schizophrénie, parfois.

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    1. Désarroi est le mot qui convient le mieux, en effet. Mais je crois que, finalement, il s'applique davantage à la vieillesse qu'à la maladie, celle-ci n'étant en quelque sorte qu'un révélateur, un accélérateur de celle-là.

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    2. Je vous trouve bien optimiste, Jacques. Une rencontre entre Elstir, Balbec et Elphy est-elle prévue ? Ne craignez-vous pas que les chiens de vos hôtes se fassent dévorer par le molosse de votre compagne ? Je vous souhaite une belle fin de semaine.

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    3. Je crois que Jacques Étienne faisait allusion à mes pseudonymes de journaliste en bâtiment et non à mes molosses !

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    4. Oups ! Avec toutes ces identités, je m'y perds et me trouve en effet avec Bergotte, Swann avec Elstir en ce samedi 18 août ou j'ai été chrono-porté (visitant déjà avec six mois de retard l'actualité de Jacques au jour le jour, il y a de quoi !). Je pourrais également signer des deux mains ce que vous écriviez le 5 août (les accents décalés en moins).

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    5. Ah, ne me parlez pas de ces fucking accents ! Cela se produit lorsque j'écris sous Word avant de transporter le texte chez Blogger. Mais je viens, à l'instant même, de convoquer la crème de la geekerie mondiale afin de m''aider à résoudre ce pénible petit problème.

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  5. En tout cas, passez de très bonnes vacances. Revenez-nous frais et dispos !

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    1. Frais et dispos, ça m'étonnerait ! D'autant que je dois rencontrer au moins deux dangereux gauchistes, avec couteau entre les dents et qui mangent les petits enfants blancs.

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    2. Tiens, je n'avais pas vu que vous étiez de nouveau un spam, vous !

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    3. Eh oui. A force de bouffer n'importe quoi, on fume des boyaux !

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  6. On a du mal à imaginer qu'une personne aussi peu informée du droit des successions et donations puisse comprendre quoi que ce soit à l'amour, à la filiation, la transmission, la lignée. Volvo et adoption, vous me faites l'effet d'un bon gros boeuf muni de son anneau nasal que l'on mène chez le notaire en lui faisant croire qu'il s'agit de l'abattoir. Réveillez-vous bon-sang !

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  7. "de la sale à manger écrivez-vous dans votre journal."
    hop, un peu de ménage, il n'y paraîtra plus !
    Vous décrivez très bien la vieillesse et ses détachements. En même temps, à lire, c'est un peu rude. J'ai eu envie de remonter la couverture.

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    1. Ouh la la ! Parler d'une “sale” à manger lorsqu'il s'agit de celle de ma mère, c'est un vrai crime de lèse-majesté !

      Pour le reste, oui, je suppose que vous avez raison…

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  8. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  9. Celui qui morfle le plus en vacances, c'est le foie!
    Faîtes-vous bien chier! :)

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.