mardi 16 décembre 2014

François H. sous le regard de l'histoire

Albert Lebrun et le colonel de Gaulle, en 1939.

En somme, on pourrait dire de François Hollande ce que Charles de Gaulle écrivait d'Albert Lebrun, président de la République au moment de la débâcle, dans ses Mémoires de guerre

Au fond, comme chef de l'État, deux choses lui avaient manqué : qu'il fût un chef ; qu'il eût un État.

17 commentaires:

  1. « On n'attendait rien de lui, mais il tout de même déçu. »

    RépondreSupprimer
  2. Ceux qui hurlent à la déception n'ont en général, pas voté pour lui...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je ne suis pas déçu ,je n'ai pas voté pour lui, je dirais que sa présidence va au delà de mes prévisions.

      Supprimer
    2. Et ceux qui ont voté pour lui se mordent les couilles en silence !

      Supprimer
    3. Se mordre les couilles en silence : on voit bien que vous êtes une fille !

      Supprimer
    4. Techniquement, ça me semble extrêmement difficile à réaliser.

      Supprimer
  3. D'un coté, ils sont tous décevant au bout de leur mandat non?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Au bout, mais des le début, c'est plus rare....

      Supprimer
    2. Oui tout à fait, vous avez voté Hollande et vous êtes déjà déçu ça peut se comprendre.

      Supprimer
    3. En général, je suis déçu avant même de quitter ma home sweet home pour aller au bureau de vote.

      Supprimer
  4. Et pourtant, sa carrière et son action politique furent assez irréprochables :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Lebrun

    RépondreSupprimer
  5. Comme quoi, tout général qu'il était, une rage de dents ça rend ridicule.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Vu le bonhomme et vu l'état du gouvernement de l'époque, la phrase de de Gaulle est on ne peut plus juste. Ce qui était ridicule, c'était plutôt cette caravane qui allait de château en château à la recherche d'un havre permettant d'essayer de diriger un pays qui était tout aussi en loque que le régime. D'un autre côté, difficile d'en vouloir à tous ces ministres bedonnants, vu que l'état-qui-se-voulait-encore-major de nos armées se repliait, stratégiquement et en bon ordre, presque plus vite qu'eux.

      D'ailleurs, est-ce bien républicain que de faire halte pour la nuit dans un de ces châteaux appartenant encore à des ci-devant ?

      Supprimer

La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.