Nous sommes à ma connaissance, mais je puis aussi bien me tromper, la seule espèce vivante en laquelle les mâles sont à même de s'exciter sexuellement sur les glandes nourricières de leurs femelles – voire, éventuellement, de celles des autres. Et je me demande depuis un petit moment à quel stade de notre évolution simio-humanoïde a pu apparaître cette bizarrerie.
Imagine-t-on la surprise, et même sans doute le désarroi, du premier homme qui, au fond de la caverne tribale, et alors qu'il ne pensait à rien moins, dut constater qu'il se mettait à bander simplement parce que ses yeux venaient machinalement de se poser sur les mamelles de sa voisine, occupée à récurer un os de mammouth ?
A moins qu'il ne fut un gros pd qui fantasmait sur l'os de mammouth et que les nibards de mémère étaient là comme prétexte.
RépondreSupprimerAllier la néandertalophobie à l'homophobie, il n'y avait bien que vous pour accomplir un aussi sinistre exploit ! Je ne vous félicite pas…
SupprimerMais pas du tout. C'est bien parce que tous les néandertaliens sont devenus homosexuels que l'espèce s'est éteinte. Ce n'est pas de l'homophobie de ma part mais bien de l'empathie. Sans donner d'adresse.
SupprimerEt, à l'époque, il était assez rare de rencontrer des femmes prénommées Fernande.
RépondreSupprimerEn réalité, nous n'en savons rien !
SupprimerVous vous posez de drôles de questions parfois...
RépondreSupprimerSouvenirs enfouis de la gorge rassurante de la maman aux premiers jours de l'existence ?
Après avoir écrit ces quelques lignes, je me suis moi-même demandé, mi-amusé, mi-effaré, comment une telle idée avait pu me venir…
SupprimerLa question s'est posée avec une autre espèce animale...:
RépondreSupprimerhttps://www.journaldemontreal.com/2015/04/03/une-video-porno-qui-pourrait-encourager-les-pandas-geants-a-se-reproduire
Bonne semaine à vous!
Les voies de la reproduction sont impénétrables...
SupprimerMais la question du pouvoir érotique des mamelles n'est nullement abordé, il me semble. Le mystère de l'érotisme pandaïque reste donc entier.
SupprimerFigurez vous que, passant par je ne sais plus quel détour, je me suis posé la même question hier soir.
RépondreSupprimerIl n'y a pas que les grands esprits qui se rencontrent : les tordus aussi...
SupprimerDG
Pis c'est joli une paire de tétés.
RépondreSupprimerAvant qu'ils ne tombent...
La vie ne vaut rien, rien
La vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens
Mais moi quand je tiens
Là dans mes deux mains éblouies
Les deux jolis petits seins de mon amie
Là je dis rien, rien, rien
Rien ne vaut la vie
Je n'aurais jamais cru
Que ma mère ait su faire un enfant
Si je n'avais pas vu cette blonde aux yeux clairs
Cette fille aux seins blancs
Ça ne vous parle pas (ou plus) ÇA ?
RépondreSupprimerMais je n'ai jamais dit que je me désolidarisais de l'espèce en la matière !
SupprimerDG
Les cannes hier, les guenons aujourd'hui, vous versez dans les leçons de choses et les sciences naturelles ces temps-ci. Est-ce un effet du printemps normand ?
RépondreSupprimerOui, ça devient curieux...
SupprimerDG
Puisque vous faites dans l'animalerie en ce moment, je préférais encore les canards à cette horrible guenon aux seins tout flasques..
RépondreSupprimerMais, je vois qu'Henri est déjà passé avant moi..
Galatine.
Dès qu'il y a une guenon seins à l'air dans les parages, on peut être sûr de voir rappliquer Henri...
SupprimerDG