Élise Pellerin, Carlos et votre serviteur viennent de quitter la table du déjeuner. Ils tuent champêtrement le temps jusqu'à l'apéritif du soir, entre deux averses : un samedi ordinaire en Normandie, si l'on veut.Nous parlâmes, rîmes et bûmes, sans excès dommageables, et même avec quelque raison. Ce qui ne m'empêcha point, ensuite, de passer une nuit pénible et d'être debout dès quatre heures et demie du matin.
Aujourd'hui, Élise s'est envolée et il n'y a plus de bière dans le frigo...
Photo : Irrempe
Jolie paire de fesses.
RépondreSupprimer(Pensée floue)
Cette photo met admirablement en valeur mon postérieur. Bravo, Catherine! :-)
RépondreSupprimerJ'arrive pas à faire abstraction des bretelles pour profiter du paysage normand.
RépondreSupprimerDes bizettes
C'est qui le gros avec des bretelles ?
RépondreSupprimerTiens ! Mélina ! J'attends votre mail.
Très érotique !!
RépondreSupprimerPrenez la bretelle, l'autoroute du plaisir est juste derrière, Mélina Loupia !
RépondreSupprimeriPidiblue loufiat du Carlton
PS N'oubliez pas mon petit pourboire.
"Aujourd'hui, Élise s'est envolée et il n'y a plus de bière dans le frigo..."
RépondreSupprimer(c'est triste, l'alcoolisme chez les dames, mais c'est peut-être une preuve irréfutable de l'existence de Dieu. Cette Elise vide les frigos, s'envoie des litres et des litres de bière d'abbaye, de la forte,et garde une taille et des fesses de jeune fille en plein carême.)
Suzanne
"Aujourd'hui, Élise s'est envolée et il n'y a plus de bière dans le frigo..."
RépondreSupprimerC'est triste, l'alcoolisme chez les dames.
Preuve irréfragable de l'existence de Dieu: cette Elise qui fraie avec les anges (on sait déjà qu'elle s'envole, mais je suis sûre qu'elle fraie tant qu'elle peut) vide les réfrigérateurs de leurs hectolitres de bière d'abbaye en gardant la taille fine et le postérieur alléchant d'une vierge en plein carême. Moi, je dis que le pari de Pascal, on devrait le rebaptiser la promesse d'Elise.
bon, les commentaires ne s'affichent pas. Tombés dans le cybernéant.
RépondreSupprimerSuzanne : j'ai activé la modération, c'est pour cela que les commentaires ne s'affichent plus immédiatement : il faut me laisser le temps de rappliquer...
RépondreSupprimer"Promesse d'Elise", ça me plait bien, mais je peux vous assurer que je me suis envolée avant que mes compétiteurs en matière de biturage ne s'attaquent à la bière.
RépondreSupprimerPartie avec classe, sur une tasse de café...
Élise, je peux vous jouer du Tharaud, si vous voulez, et j'ai déjà fini la bière.
RépondreSupprimerÉlise, je vois que nous avons les mêmes goûts (le même regard). Puis-je me proposer de vous faire découvrir et aimer vos fesses ?
RépondreSupprimerPostérieurement vôtre.
Didier: ça m'apprendra à ne lire que le dernier post et à sauter des pages. vous avez échappé à dix-sept commentaires sucessifs genre "mais pourquoi ça marche pas" parce que moi, quand un truc ne fonctionne pas, j'ai tendance à lui parler, même si c'est un aspirateur. Bien souvent, je l'ai à l'usure.
RépondreSupprimernotre serviteur est-il le grand a bretelles ou le petit a queue de cheval ?
RépondreSupprimerTiens ! Didier modere !
RépondreSupprimerFabienne : le grand à bretelles.
RépondreSupprimerOu le gros, pour faire plaisir à Nicolas.
RépondreSupprimerN'ecoutez pas Nicolas, il n'y connait rien ! Vous n'etes pas gros du tout (et meme, plutot pas mal de dos ! devrais-je ajouter !)
RépondreSupprimerJe ne peux pas juger, je ne vois que le quart gauche de la photo.
RépondreSupprimerPersonne n'est gros, on est victime d'une illusion d'optique ...
RépondreSupprimeriPidiblue opticien plus qu'auteur de régime à succès
Les nazis, ils avaient des grosses bretelles comme ça, mais en croix gammée.
RépondreSupprimerGeorges, vous êtes bien trop bon. Malheureusement mes quartiers sont réservés.
RépondreSupprimerAh, tant pis. Mais je suis heureux d'apprendre que vous partagez ce que Dieu vous a donné de plus fondamental.
RépondreSupprimerAh! Je partage tout à fait votre sens des priorités.
RépondreSupprimerCatherine, votre photographie est superbe. Si je devais illustrer un propos sur l'amitié, je penserais à elle.
RépondreSupprimerPareil ! Si je devais illustrer un billet avec des gens qui se promènent après avoir bu l'apéro, je penserais à elle.
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