Il devient tout endormi, votre blog, Didier. Bien sûr ce n'est pas drôle tous ces tags en sms, mais différer la parution des messages, ça fait trop réfléchir. On se dit que ce qu'on écrit là est si peu de choses que finalement, à quoi bon le faire passer par la case "admission" ? Ce n'est pas possible de virer tout simplement les komantR Dbil en Txto et laisser les papotages?
C'est sûrement comme cela que les choses vont se terminer, en effet, dans la mesure où la "modération" m'ennuie, pour ne pas dire davantage. Dans mon esprit, c'était surtout un genre d'appel au calme, si vous vous voulez...
Ouf ! je croyais que vous étiez pris d'une colère jéhovienne, et que mon commentaire d'hier soir vous avait déplu : pourtant....(c'était seulement un souhait de nuit moins agitée et surtout de ne pas vous faire du mauvais sang pour votre blog). Peut-être aussi que mon index, un peu "paralysé" par ces nouvelles dispositions, n'avait pas appuyé assez fort sur "publier". Davila y va fort avec l'Occident, c'est un "mea culpa" qui ne passe pas pour moi. Le touriste serait plus toxique qu'un simple barbare, oui. Quand ils débarquent en même temps quelquepart....(touristes). En rangs dispersés toute l'année durant, ils seraient moins ravageurs.
oui le touriste est bête, gras comme ses papiers, oui il s'attroupe, s'agglutine, gâche le paysage, mais mais MAIS.
C'est bien joli de grogner contre les beaufs populos sur le refrain de "ah, depuis les congés payés..."
Suzanne qui n'a jamais vu New York ni la Grande pyramide ni les chiens jaunes du Mexique mais le Mont Saint Michel en janvier, sous un ciel de nacre les églises romanes d'Auvergne quand une vieille veut bien donner la clé Les chemins creux bordés d'aubépine et de coudriers. Les plages d'été où, tant pis pour la foule, les enfants construisent des châteaux de sable emportés par la mer Les musées de province où dorment des chefs d'oeuvre. Les ruisseaux, les châteaux, les marais, les collines et son petit Liré qui vaut bien davantage.
Mr Didier Goux, que je sache je suis pas venu sur votre blog comme vous, vous traitez de sombre petit étron, alors modérer vos propos, en plus nous nous connaissons pas, alors continuez à défendre votre ami Sarko, mais insulter pas les bloggers !!!
Bonjour Didier, Je me demandais si les phrases ci-dessus étaient des pièges... Parce qu'elles sont tout de même beaucoup de raccourcis et lieux communs en peu de mots. On dirait des phrases à griffonner rageusement sur un cahier de textes après un cours de philo, quand on est un ado qui se veut rebelle, et qu'on se demande si on ne va pas virer bouddhiste pour faire chier ses vieux.
Benedicte: non, cliquez sur son nom, Olive existe vraiment. Il ne réussira pas à me rendre Sarkozy sympathique; juste à brailler moins fort que je suis de gauche, mais de la gauche errante, comme le juif errant, quoi.
Le seconde supplémentaire ? Je la rends à Sarkozy. Je ne vais quand-même pas me faire avoir comme un bleu ! Je n'utiliserai rien de ce qui vient de Sarko !!!
Suzanne : Non, je parlais des deux phrases 628 + 631 ! Olive, je m'en fous qu'il existe ou non, jusqu'à preuve du contraireil n'est qu'un avatar en échec scolaire.
Une autre façon de voyager : "Nous avons goûté le bonheur d'être à Rome en toute liberté et sans songer au devoir de voir". Stendhal, Le Voyage en Italie.
Je signale à Olive qu'« étron » n'est pas un mot grossier, mais la désignation froide, objective, d'une matière particulière, moulée d'une certaine façon. J'aurais dit « grosse merde », par exemple, il eût pu se plaindre à bon droit.
Je lui fais également observer que « Mr » est l'abréviation de Mister. Si l'on veut dire Monsieur, ce qui semblait être son cas, on écrit « M. ».
J'attire en outre son attention sur le fait que c'est à lui de modérer les propos du son blog et non à moi.
Enfin, je répète ici ce que j'ai dit chez lui à ce gracieux colombin : traiter d'enc**lé le président de la République «ès qualité » peut le conduire devant les tribunaux. Ce qui serait fort divertissant.
Geneviève : si, si, j'ai beaucoup « pratiqué » Stendhal (comme disent les cons). Mais votre message est venu se glisser au beau milieu de la petite blogowar d'hier et, du coup, j'ai oublié d'y répondre.
Il va de soi (?) que le tourisme à la Stendhal est enviable. C'est du reste celui qui se pratiquait couramment depuis déjà des siècles, sans avoir encore pris ce nom. Mais est-il encore possible aujourd'hui ? Rien n'est moins certain.
Il devient tout endormi, votre blog, Didier. Bien sûr ce n'est pas drôle tous ces tags en sms, mais différer la parution des messages, ça fait trop réfléchir. On se dit que ce qu'on écrit là est si peu de choses que finalement, à quoi bon le faire passer par la case "admission" ?
RépondreSupprimerCe n'est pas possible de virer tout simplement les komantR Dbil en Txto et laisser les papotages?
C'est sûrement comme cela que les choses vont se terminer, en effet, dans la mesure où la "modération" m'ennuie, pour ne pas dire davantage. Dans mon esprit, c'était surtout un genre d'appel au calme, si vous vous voulez...
RépondreSupprimerOuf ! je croyais que vous étiez pris d'une colère jéhovienne, et que mon commentaire d'hier soir vous avait déplu : pourtant....(c'était seulement un souhait de nuit moins agitée et surtout de ne pas vous faire du mauvais sang pour votre blog). Peut-être aussi que mon index, un peu "paralysé" par ces nouvelles dispositions, n'avait pas appuyé assez fort sur "publier".
RépondreSupprimerDavila y va fort avec l'Occident, c'est un "mea culpa" qui ne passe pas pour moi.
Le touriste serait plus toxique qu'un simple barbare, oui. Quand ils débarquent en même temps quelquepart....(touristes). En rangs dispersés toute l'année durant, ils seraient moins ravageurs.
La tourista nous venge ...
RépondreSupprimeriPidiblue civilisé sédentaire
oui le touriste est bête, gras comme ses papiers, oui il s'attroupe, s'agglutine, gâche le paysage, mais mais MAIS.
RépondreSupprimerC'est bien joli de grogner contre les beaufs populos sur le refrain de "ah, depuis les congés payés..."
Suzanne
qui n'a jamais vu New York ni la Grande pyramide
ni les chiens jaunes du Mexique
mais le Mont Saint Michel en janvier, sous un ciel de nacre
les églises romanes d'Auvergne quand une vieille veut bien donner la clé
Les chemins creux bordés d'aubépine et de coudriers.
Les plages d'été où, tant pis pour la foule, les enfants construisent des châteaux de sable emportés par la mer
Les musées de province où dorment des chefs d'oeuvre.
Les ruisseaux, les châteaux, les marais, les collines et son petit Liré qui vaut bien davantage.
Mr Didier Goux, que je sache je suis pas venu sur votre blog comme vous, vous traitez de sombre petit étron, alors modérer vos propos, en plus nous nous connaissons pas, alors continuez à défendre votre ami Sarko, mais insulter pas les bloggers !!!
RépondreSupprimerOuh là, c'est Popeye qui va là ?!
RépondreSupprimerUne question essentielle que je pose à tous :
RépondreSupprimerL'année 2008 sera plus longue d'une seconde.
Qu'allez-vous faire de cette seconde ?
iPidiblue la dernière sera la bonne
Bonjour Didier,
RépondreSupprimerJe me demandais si les phrases ci-dessus étaient des pièges...
Parce qu'elles sont tout de même beaucoup de raccourcis et lieux communs en peu de mots. On dirait des phrases à griffonner rageusement sur un cahier de textes après un cours de philo, quand on est un ado qui se veut rebelle, et qu'on se demande si on ne va pas virer bouddhiste pour faire chier ses vieux.
Pas taper.
Sombre petit étron ???
RépondreSupprimerMais c'est qu'il noce* un max, le Didi !
(*) NB. Nocer : produire une nocence, en parler in-nocent
Benedicte: non, cliquez sur son nom, Olive existe vraiment.
RépondreSupprimerIl ne réussira pas à me rendre Sarkozy sympathique; juste à brailler moins fort que je suis de gauche, mais de la gauche errante, comme le juif errant, quoi.
Ipidiblue,
RépondreSupprimerMe taire...
Le seconde supplémentaire ? Je la rends à Sarkozy. Je ne vais quand-même pas me faire avoir comme un bleu ! Je n'utiliserai rien de ce qui vient de Sarko !!!
RépondreSupprimerSuzanne : Non, je parlais des deux phrases 628 + 631 !
RépondreSupprimerOlive, je m'en fous qu'il existe ou non, jusqu'à preuve du contraireil n'est qu'un avatar en échec scolaire.
Travailler plus pour se faire chier plus ...
RépondreSupprimeriPidiblue et la philosophie de la seconde supplémentaire
Une autre façon de voyager :
RépondreSupprimer"Nous avons goûté le bonheur d'être à Rome en toute liberté et sans songer au devoir de voir".
Stendhal, Le Voyage en Italie.
Je signale à Olive qu'« étron » n'est pas un mot grossier, mais la désignation froide, objective, d'une matière particulière, moulée d'une certaine façon. J'aurais dit « grosse merde », par exemple, il eût pu se plaindre à bon droit.
RépondreSupprimerJe lui fais également observer que « Mr » est l'abréviation de Mister. Si l'on veut dire Monsieur, ce qui semblait être son cas, on écrit « M. ».
J'attire en outre son attention sur le fait que c'est à lui de modérer les propos du son blog et non à moi.
Enfin, je répète ici ce que j'ai dit chez lui à ce gracieux colombin : traiter d'enc**lé le président de la République «ès qualité » peut le conduire devant les tribunaux. Ce qui serait fort divertissant.
Bénédicte : pour demain, je vais vous chercher des aphorismes de Dàvila plus intellos, promis...
RépondreSupprimerLouise Bourgoin va incarner Brigitte Bardot dans un film consacré à Serge Gainsbourg, vous saviez cela ?
RépondreSupprimeriPidiblue informateur intello
Oui, j'ai lu cela. Il paraît même que, pour interpréter BB vieille, on aurait songé à Simone Signoret.
RépondreSupprimerLouise Bourgoin pour ceux qui ne savent pas c'est celle qu'on nomme unabomber !
RépondreSupprimeriPidiblue au poil
dites donc -- relief de sieste et de digestion-- j'avais lu "Louise Bourgeois".. oui hahaha!
RépondreSupprimerdgeargies
Flétrit, c'est pas l'équivalent de pro-fane ?
RépondreSupprimer:-)
Bon, apparemment, Stendhal ne vous passionne pas.
RépondreSupprimerGeneviève : si, si, j'ai beaucoup « pratiqué » Stendhal (comme disent les cons). Mais votre message est venu se glisser au beau milieu de la petite blogowar d'hier et, du coup, j'ai oublié d'y répondre.
RépondreSupprimerIl va de soi (?) que le tourisme à la Stendhal est enviable. C'est du reste celui qui se pratiquait couramment depuis déjà des siècles, sans avoir encore pris ce nom. Mais est-il encore possible aujourd'hui ? Rien n'est moins certain.