On comprendra le titre plus tard, vous verrez. Je suis sorti du journal à six heures moins vingt. C'était large : on avait rendez-vous chez le notaire, avec M. Marchepied (oui, maintenant, j'ai décidé d'appeler tout le monde Marchepied (sauf Lambert, qui est un con)), à six heures précises, l'étude étant au métro Anatole-France (avec trait d'union), soit à dix minutes à pied de la rue Thierry-Le Luron (je sais, ça fait rire, c'est pour ça que je vous la remet).
Premier choc : je marche sur le trottoir de droite (je ne l'ai pas fait exprès...) en direction du lieu de rendez-vous que nous nous fixâmes, l'Irremplaçable et le gars moi-même. Soudain, je me trouve à environ cinq mètres derrière Cioran. Je sais qu'il est mort : foutez-moi la paix. Il n'empêche que ce vieil homme, dos voûté, front penché vers le sol, mains dans les reins, pas précautionneux, petite silhouette, chevelure incertaine, a été Cioran, le temps que je le rattrape et le double. Ensuite, à sa hauteur, de profil, l'illusion s'est révélée pour ce qu'elle était. Mais la commotion a été forte, je vous assure. De toute façon, il était six heures moins cinq, j'étais presque arrivé, Catherine m'attendait, tout était conforme.
À six heures trois, arrive le type de l'agence immobilière. À six heure dix, l'ersatz de notaire (un clerc, donc), nous propose de passer dans son bureau, afin de commencer à nous lire les trucs que personne n'écoute jamais, mais qui devraient nous permettre de patienter en attendant le vendeur, à la bourre.
Vers six heures vingt-cinq, on perçoit une certaine inquiétude chez le clerc et le représentant de l'agence. Chacun à son tour dégaine son portable, appelle le gars Lambert (il s'appelle comme ça, bien fait : qui supporterait de s'appeler LAMBERT ?). Messagerie, pas de réponse. La tension monte. Même en lisant très lentement, le clerc arrive au bout de son pensum : toujours pas de Lambert...
Enfin, à sept heures moins le quart, ce monsieur arrive. Il entre, très décontracté, tend la main à Catherine. Qui ne lui tend pas la sienne. Comprenant ce qu'elle veut faire (plus exactement : ne veut pas faire), j'explicite :
- Monsieur, nous avions rendez-vous à six heures, il est sept heures moins le quart, nous ne vous serrerons pas la main (en gros : Catherine confirmera pour ceux qui ne me croient jamais).
Premier choc : je marche sur le trottoir de droite (je ne l'ai pas fait exprès...) en direction du lieu de rendez-vous que nous nous fixâmes, l'Irremplaçable et le gars moi-même. Soudain, je me trouve à environ cinq mètres derrière Cioran. Je sais qu'il est mort : foutez-moi la paix. Il n'empêche que ce vieil homme, dos voûté, front penché vers le sol, mains dans les reins, pas précautionneux, petite silhouette, chevelure incertaine, a été Cioran, le temps que je le rattrape et le double. Ensuite, à sa hauteur, de profil, l'illusion s'est révélée pour ce qu'elle était. Mais la commotion a été forte, je vous assure. De toute façon, il était six heures moins cinq, j'étais presque arrivé, Catherine m'attendait, tout était conforme.
À six heures trois, arrive le type de l'agence immobilière. À six heure dix, l'ersatz de notaire (un clerc, donc), nous propose de passer dans son bureau, afin de commencer à nous lire les trucs que personne n'écoute jamais, mais qui devraient nous permettre de patienter en attendant le vendeur, à la bourre.
Vers six heures vingt-cinq, on perçoit une certaine inquiétude chez le clerc et le représentant de l'agence. Chacun à son tour dégaine son portable, appelle le gars Lambert (il s'appelle comme ça, bien fait : qui supporterait de s'appeler LAMBERT ?). Messagerie, pas de réponse. La tension monte. Même en lisant très lentement, le clerc arrive au bout de son pensum : toujours pas de Lambert...
Enfin, à sept heures moins le quart, ce monsieur arrive. Il entre, très décontracté, tend la main à Catherine. Qui ne lui tend pas la sienne. Comprenant ce qu'elle veut faire (plus exactement : ne veut pas faire), j'explicite :
- Monsieur, nous avions rendez-vous à six heures, il est sept heures moins le quart, nous ne vous serrerons pas la main (en gros : Catherine confirmera pour ceux qui ne me croient jamais).
Tout cela dit très calmement. Lui, le Lambert (c'est son vrai nom, à cette noix vomique) grimpe immédiatement dans les décibels, comme tous les connards qui se savent en tort (vingt minutes plus tôt, le représentant de l'agence nous avait gentiment averti que ce mollusque était TOUJOURS en retard...), je lui réponds très calmement, lui explique qu'il nous a déjà fait perdre assez de temps comme cela, qu'il a juste à s'asseoir, à signer où on lui dit et à fermer sa gueule (en gros et en plus poliment tout de même, mais à peine : j'étais agacé).
Le clerc est obligé de relire, il le fait très vite et très bien (arrivant, je lui avais fait croire que j'étais en plein bouclage, et lui avait dis que s'il disposait d'une version light de son laïus, elle m'irait très bien - ce qui avait eu l'air de le ravir...). On signe partout comme des bêtes, le Lambert prend son misérable chèque, nous notre lourd trousseau de clés (jamais vu autant de clés pour un si petit endroit...), on redescend dans la rue, on se sépare.
Content que cette journée de merde soit enfin terminée, je me sens envahi par une invraisemblable mansuétude, qui me pousse à faire la paix avec l'autre raclure de bidet (Lambert, pour ceux qui auraient oublié), et je lui tends la main. Il me la serre (mollement et moitement, j'ai le regret de le dire) avec réticence et me signifie qu'il prend sur lui pour ce faire, car je l'ai "humilié".
Franchement, si l'occasion vous est donnée d'humilier un jour un connard d'une envergure semblable à celle de PATRICK LAMBERT, domicilé à Fontenay-le-Comte, en Vendée, surtout ne vous gênez pas. Vous pouvez même dire que vous venez de ma part, tiens...
Le clerc est obligé de relire, il le fait très vite et très bien (arrivant, je lui avais fait croire que j'étais en plein bouclage, et lui avait dis que s'il disposait d'une version light de son laïus, elle m'irait très bien - ce qui avait eu l'air de le ravir...). On signe partout comme des bêtes, le Lambert prend son misérable chèque, nous notre lourd trousseau de clés (jamais vu autant de clés pour un si petit endroit...), on redescend dans la rue, on se sépare.
Content que cette journée de merde soit enfin terminée, je me sens envahi par une invraisemblable mansuétude, qui me pousse à faire la paix avec l'autre raclure de bidet (Lambert, pour ceux qui auraient oublié), et je lui tends la main. Il me la serre (mollement et moitement, j'ai le regret de le dire) avec réticence et me signifie qu'il prend sur lui pour ce faire, car je l'ai "humilié".
Franchement, si l'occasion vous est donnée d'humilier un jour un connard d'une envergure semblable à celle de PATRICK LAMBERT, domicilé à Fontenay-le-Comte, en Vendée, surtout ne vous gênez pas. Vous pouvez même dire que vous venez de ma part, tiens...
Tain, j'allais me doucher/coucher, voilà que Didier fait une brocante nocturne de mots dis-donc!
RépondreSupprimerChouette.
Bon et maintenant, alors, la crémaillère?
Des bizettes
Pourquoi c'est classé dans Frasques d'Irrempe ?
RépondreSupprimer@benedicte « Il entre, très décontracté, tend la main à Catherine. Qui ne lui tend pas la sienne. »
RépondreSupprimer... Et ce pauvre Didier Goux de devoir rattraper la situation (tout en se défoulant plaisamment sur le malotru).
RépondreSupprimerDeux plaisirs :
- se défouler sur le malotru
- reprocher à Irrempe de semer la zizanie à force d'être intraitable
Le classement me paraît justifié.
Bon alors on ne se serre pas la main ?
RépondreSupprimeriPidiblue dit Lambert pour les intimes dit Coluche pour ceux qui me trouvent drôle.
(Nicozoc, ça fait un peu du Nicolas sous prozac...)
RépondreSupprimerJ'avais compris que Catherine avait initié l'embrouille, mais comme Didier a relayé efficacement...
Bon, je retourne à mon bug de blog. Les bugs, c'est comme l'EPO*, ça dope.
*Eau Pastis Olives
Les aventures de Gérard Lambert
RépondreSupprimer(Renaud Séchan) / Alain Ranval)
Quatorze Avril 77
Dans la banlieue où qu'y fait nuit
La petite route est déserte
Gérard Lambert rentre chez lui
Dans le lointain les mobylettes
poussent des cris...
Ca y'est j'ai planté le décor
Créé l' climat de ma chanson
Ca sent la peur ça pue la mort
j'aime bien c't'ambiance pas vous ? ah bon...
Voici l'histoire proprement dite
voici l'intrigue de ma chanson
Gérard Lambert roule très vite
Le vent s'engouffre dans son blouson
Dans le lointain les bourgeois dorment
comme des cons ...
Lorsque soudain survient le drame
Juste à la sortie d'un virage
Y'a plus d'essence dans la bécane
Gérard Lambert est fou de rage!
T'aurais pas dû Gérard Lambert
Aller ce soir là à Rungis
T'aurais dû rester chez ta mère
Comme un bon fils
Il met sa mob sur la béquille
s'assied par terre et réfléchit :
Dans cette banlieue de bidonvilles
Y'a pas un pompe ouverte la nuit!
Dans le lointain y'a une sirène
qui s'évanouit...
Qu'est ce que j' vais faire bordel de dieu ?
J' vais quand même pas rentrer à pied!
Plus y s'angoisse moins ça va mieux
Quand soudain lui vint une idée:
J' vais siphonner un litre ou deux
Dans l' réservoir de cette bagnole
Et pis après j'y crève les pneus
Comme ça gratuitement par plaisir
Faut bien que j' me défoule un peu
J' suis énervé...
Une fois son forfait accompli
Gérard Lambert va repartir
La mobylette veut rien savoir
C'est le bon Dieu qui l'a puni!
T'aurais pas dû Gérard Lambert
Aller ce soir là à Rungis
T'aurais dû rester chez ta mère
Comme un bon fils
Alors pendant une demi heure
Dans son moteur il tripatouille
Il est crevé il est en sueur
Il a du cambouis jusqu'aux coudes
Dans le lointain le jour se lève
Comme d'habitude ...
A c'moment là un mec arrive
Un p'tit loubard aux cheveux blonds
Et qui lui dit comme dans les livres:
" S'te plaît dessine moi un mouton
Une femme à poil ou un calibre
Un cran d'arrêt une mobylette
Tout c'que tu veux mon pote t'es libre
Mais dessine moi quequ'chose de chouette ! "
Dans le lointain y's'passe plus rien
Du moins il me semble...
Alors d'un coup d' clé à molette
Bien placé entre les deux yeux
Gérard Lambert éclate la tête
Du Petit Prince de mes deux!
Faut pas gonfler Gérard Lambert
Quand y répare sa mobylette
C'est la morale de ma chanson
Moi j'la trouve chouette
Pas vous ? ah bon...
Zut alors, y'a un anomyme qui m'a pique mon idee .... ta ta ta !!!!
RépondreSupprimerArrêtez de vous moquer du tenancier du blog de personnalité politique le plus lu (environ 100 000 par mois).
RépondreSupprimerAu fait ! Didier, on ne trolle pas Alain Lambert. Un ancien ministre, ça fait trop.
RépondreSupprimerLa fin est édifiante. On a toujours tort d'être indulgent avec ces merdeux qui en profitent immanquablement pour retourner la situation.
RépondreSupprimer"Il ne devrait pas tarder, on va s'installer là et commencer à voir deux trois petites choses en l'attendant"
RépondreSupprimerIl faudrait toujours prévoir le coup et savoir dire non. Préférer la salle d'attente. Ouvrir son ordinateur, son album d'Astérix, sa revue porno, son sac glacière, sa bouteille de galant roux du pays. Dérouler son plaid ou son petit machin en paille qu'on met sur les plages de galets, s'allonger sur la moquette, s'amuser un peu si l'on est deux. Demander où est la douche, explorer les couloirs, prendre des photos de la rue en bas par l'oeil de boeuf du grenier.
Les retardataires chroniques sont des personnes qui n'ont pas une bonne image d'elles même. Elles veulent qu'on les désire, qu'on les attende, qu'on les célèbre. N'aggravez pas leur sentiment de vacuité, leurs angoisses, ce serait inefficace et mesquin. Quand Lambert entrera dans la salle d'attente, tendez lui un gobelet de rouge, une part de tourteau du Poitou ou de camembert au lait cru. Assurez lui que vous n'en avez que pour quelques minutes à finir de régler les sonneries de votre téléphone portable avant de l'inviter à partir à la recherche de votre Irremplaçable qui est partie dragouiller entre les étages afin de ne pas desservir le pique nique. Encouragez-le à commenter votre galerie de photos de rousses favorites. Ce qui manque aux Lambert, c'est quelques copains, de l'affection et juste un peu de considération.
Nicolas, intraitable mais franche ! Je ne dis JAMAIS bonjour aux gens que je n'aime pas !
RépondreSupprimerMélina : la crémaillère dans 13,76 m2 ?
RépondreSupprimerNicolas : je vais vous embaucher comme exégète de blog : vous faites cela parfaitement !
Georges : c'est exactement cela. Je pense qu'il aurait trouvé naturel que Catherine et moi nous excusions d'avoir été à l'heure. Et encore, dans le billet, je vous ai épargné, à son arrivée, les remarques du style "je travaille, moi !", avec le "moi" très fortement sous-entendu...
Suzanne : comment voulez-vous que ces gens aient des amis s'ils font preuve avec eux du même mépris ?
Dans le genre retournement de situation et malhonnêteté au carré (plus connerie au cube), allez voir ça. Ça vous rappellera peut-être quelque chose…
RépondreSupprimerQuelle venimeuse connasse, cette Ludivine !
RépondreSupprimerNe me dites pas que…
RépondreSupprimerNe me dites pas que vous allez lui faire un sort ici ! Pas vous !
RépondreSupprimerMarcel
Merci Georges pour ce beau voyage en "nostalgie" dans un Paris que j'ai bien connu, et aimé, moi aussi.
RépondreSupprimerDidier: le problème avec ces gens-là, comme ceux qui font du bruit la nuit dans les hôtels, comme ceux qui hurlent après leurs mômes pour leur demander de hurler moins fort sur la plage ou au supermarché, c'est qu'on est impuissant. Carrément impuissant. Contre ceux qui sont en retard, on peut avoir, tout au plus, des petites stratégies de secours pour ne pas s'énerver. Si on arrive à les énerver, eux, en retour, pourquoi s'en priver ? Le coup des sonneries de portable, je l'ai fait récemment. Monsieur R est occupé, il va vous recevoir dans quelques instants. J'entendais des rires de l'autre côté de la porte, l'heure tournait, je me disais que j'allais me choper une amende pour dépassement d'horaire d'horodateur. Il y avait dans la salle d'attente deux autres personnes qui se sont mises à en faire autant, c'était assez joyeux.
RépondreSupprimerSinon, balancer Lambert sur le Net, ce n'est pas mal non plus.
Suzanne
Bravo Geneviève. Vous fournissez le déambulateur ou on l'enterre de suite... le Georges.
RépondreSupprimerMarcel
Tiens ? Je pensais que le sindrome du " je te serre pas la main" etait un monopole des gens de gauche. Voir l'épisode du "Casse toi pov con"... Si les droichistes se mettent à nous copier... Où va-t'on ???
RépondreSupprimerEssayez Saint-drôme. Des fois ça marche !
RépondreSupprimerMarcel
Marcel !!!
RépondreSupprimerDernière : Patrick Lambert est mort. Suite aux révélations sur sa connerie profonde, il a eu la mort de sa race et il s'est pendu avec un fil élastique dans sa grange, sa tête a heurté la poutre, ça a fait bling blang comme une boule creuse et il est décédé sans avoir repris ses esprits - façon de parler !
RépondreSupprimerNi fleurs, ni couronnes, juste des élastiques.
iPidiblue de profundis pour Patrick
Ca n'a pas fait bling blang mais bling-bling !
RépondreSupprimerJe préviens : NE CLIQUEZ PAS SUR SYLVIE !
RépondreSupprimerA vos ordres chef ! Un petit cunilingus est-il autorisé malgré tout ?
RépondreSupprimeriPidiblue de ce requérant
Oups, désolé Marcel, j'oubliais que j'étais sur un blog d'"intellectuels"... SYNDROME, pardon pour vos neurones.
RépondreSupprimer@ Marcel
RépondreSupprimerDans ce cas le déambulateur est en priorité pour moi ! Georges doit être un jeunot ...
Là je suis bien obligé de prendre la défense de Marcel ! Les non-intellectuels (dont je fais partie) ne doivent pas essayer de respecter l'orthographe française ???
RépondreSupprimerIpide, le cunnilingus, oui, bien sûr ! Mais appliquez-vous, cette fois !
RépondreSupprimerGeneviève, soyez polie avec moi, s'il vous plaît !
RépondreSupprimerC'est à qui le tour ?
RépondreSupprimeriPidiblue, Georges le gendarme et les nudistes
Didier : à la place de Lambert, je ferais gaffe, depuis qu'ipidiblue et Georges ont passé le permis de chasse...
RépondreSupprimerPluton et la pêche au gros.
Kris, je m'appelle Marcel comme vous. Votre profil me dit qu'on est même plus ou moins temporains vous et moi. Comme Kris dit quelque chose de vous (ne le laissez pas trop faire ! Christophe ou Christian c'est très beau), Marcel dit quelque chose de moi. C'est un prénom que j'ai pu choisir dans la liste considérable de ceux qui pouvaient garantir mon anonymat. Las, Georges était pris, Ipide aussi, Patrick ou Lambert valait mieux pas. Et bien va pour Marcel, et Marcel, quand les mots sont plus grands que lui, plus lourds, plus anciens, plus chargés de sens qu'il ne croit, il fait comme les copains d'avant : il fait une pile de dictionnaires, se juche sur les épaules des géants qui l'ont précédé et va feuilleter le plus haut de la pile. Mais je ne suis pas tout à fait sûr d'avoir bien compris cette histoire de nains juchés sur les épaules...
RépondreSupprimerMarcel
Marcel n'est plus Marcel, Georges n'a jamais été Georges, et j'ai vraiment l'impression d'avoir débranché quelque chose dans mon cerveau, il faudrait que KiM revienne de toute urgence, et que Bénédicte nous raconte une histoire.
RépondreSupprimerEn attendant, je vais me coucher. Ne rien comprendre à rien est assez fatigant, l'air de rien.
Monsieur Lambert, que j'aimais beaucoup, ressemblait à Malraux, pour moi.
Je ne connais pas ce Lambert, mais être qualifié de con par vous est une sorte de légion d'honneur.
RépondreSupprimerGeorges, je vais aller déposer une petite crotte chez vous, comme avant. N'ayez crainte, je prendrai soin d'épargner les rideaux. Tout va bien.
RépondreSupprimerMarcel
C'est un blog dodécaphonique ... il faut le temps de s'habituer à la nouvelle musique !
RépondreSupprimeriPidiblue habile joueur de tambourin chinois
Éric : vous êtes jaloux parce que je ne vous ai jamais traité de con : c'est pas beau.
RépondreSupprimerLaissez aller Georges c'est une valse !
RépondreSupprimeriPidiblue alias Georges Lautner
Mais non, putain! Ce n'est pas Lambert qui est mort! C'est l'abruti qui se sentait responsable des 6 collégiens morts parce que c'est LUI qui avait été à l'origine de la sortie en car!
RépondreSupprimerIl ne faut pas tout mélanger!
Dire s'il est abruti, c'est qu'il pleurait ces 6 mômes et ne pensait nullement aux deux à lui... sans parler de sa femme!
Je le méprise! Encore un prof gauchiste de mes deux!
Anne ! Anne ! Calmez-vous, bon sang ! la vie n'est pas si terrible, au fond...
RépondreSupprimerLe commentaire d'Anne me choque !
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec Fabienne.
RépondreSupprimerFinir un commentaire par
"de mes deux !"
est inqualifiable.
Venant d'une femme, ça laisse perplexe en tout cas.
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