jeudi 25 novembre 2010

À la Sainte-Catherine, toute pine est assassine

Peut-on imaginer quelque chose de plus stupide, ou en tout cas de plus inutile, qu'une journée contre le viol ? De quoi s'agit-il ? D'organiser une campagne d'information sur les marchés et à la sortie des bureaux ou des lycées pour les pas-au-courant qui penseraient encore que le viol c'est bien ? Toléré ? Admis ? Encouragé, voire ? Mais tout le monde est contre le viol, à commencer par les violeurs eux-mêmes, si jamais la victime devait être leur femme ou l'une de leurs filles – ou même leur buraliste. En tout cas, personne n'est pour : vous en avez déjà croisé, des activistes pro-viol ? Des associations pour le développement du gang bang non désiré ? Des amicales de la tournante ?

On est là, une fois encore, dans la pure gesticulation, l'effet de manche festif. J'apprenais ce matin, chez Nicolas, que circulait même une pétition contre le viol. Oui, une pétition. Vous voyez la saynette ? « Pardon Monsieur, êtes-vous contre le viol ? – Euh... oui. – Parfait, signez là. » Et puis, quelle redoutable efficacité sur les candidats violeurs ! On les imagine, juste avant de passer à l'acte, consulter sur leur iPhone l'état de la dite pétition : 1239 signatures seulement ? OK, j'peux y aller tranquille ! 358 741 ? Waouh ! J'vais peut-être surseoir, là...

Moi, la prochaine fois qu'un “bouton de fièvre” (comme on disait quand j'étais enfant) me vient aux babines, je lance une pétition contre l'herpès labial. En évitant l'amalgame avec les militants anti-herpès génital, parce que faut pas déconner non plus : il y a cause et cause.

47 commentaires:

  1. "je lance une pétition contre l'herpès labial"
    Et vous aurez raison!
    Je la signerai, celle-là.

    RépondreSupprimer
  2. @Didier Goux

    Au moins, ça fait consensus, tout le monde est d'accord.

    Et ça fait du bien de ne pas avoir à réfléchir...ce qui est inutile si tout le monde est d'accord.

    Comme j'ai écrit chez Nicolas, être contre le viol, c'est bien, mais punir correctement les violeurs, c'est mieux.

    Je crois qu'on ne peut strictement rien faire contre les violeurs, par contre, on peut empêcher la récidive.

    RépondreSupprimer
  3. Je vais lancer à mon tour une pétition contre le Neisseria gonorrhoeae, plus communément appelé chaude-pisse. Je vous espère parmi les virulents signataires.

    RépondreSupprimer
  4. @Yann

    Et contre celles qui nous la refilent !

    RépondreSupprimer
  5. Heu...oui...
    C'est sans doute un aveu de faiblesse que cette pétition. Mais...

    On dit bien sûr qu'il s'agit (un peu partout) d'un crime abominable, on fait de la prévention, des campagnes, et pourtant, rien ne semble marcher. Les résultats ne sont pas là. Les femmes violées sont toujours considérées d'une manière absurde, pas aidée, mal entourée. Le problème persiste.

    Les gens, tout en trouvant cela affreux, sont relativement indifférents au sort de ces femmes. Il faut bien de temps à autre rappelez les évidences.

    Il y a sans doute des violeurs cinglés, compulsifs, mais le sont-ils tous ? En sommes-nous certains ? Et s'ils ne le sont pas tous, n'est-ce pas parce que quelque chose cloche dans ce que les hommes pensent des femmes ?

    Enfin, oui, ça a l'air stupide comme ça, (et festif peut-être, mais si j'ai tendance à penser que vous utilisez désormais ce concept à tort et à travers), mais je ne suis pas certain du tout que ce le soit absolument, ou tout du moins, que le but de l'opération ne soit pas plus "profond" (intelligent) que ce que vous voulez bien dire.

    Mais quelqu'un comme Olympe dira cela bien mieux que moi ! Je l'espère en tout cas.

    RépondreSupprimer
  6. Dans votre blogroll, on a accès à un billet sur le viol d'une intelligence rare (et oui, c'est ironique).

    RépondreSupprimer
  7. @Dorham

    Je crois que la prise en charge des victimes d'agressions sexuelles s'est considérablement améliorée en France. Il y a quelques années, le passage dans les services de police était un outrage supplémentaire, je pense que c'est moins le cas.

    Le vrai problème je crois, est la prise en charge des criminels qui laisse encore à désirer.

    Le viol est un acte ignoble (pour moi, certainement l'un des pires crimes), mais il y a sans doute encore plus insupportable : le viol en récidive !

    Quand à ce que vous sous-entendez, qu'il y a un violeur en puissance dans chaque homme, c'est sans doute un peu vrai, je suis d'accord avec vous. Mais ce qui est criminel est le passage à l'acte, pas le fantasme.

    Pour finir, cette action est une manière de faire parler, ce qui n'est pas forcément inutile. Même si une pétition me semble assez insuffisante en l'espèce.

    RépondreSupprimer
  8. Sebastien,

    je ne parlais pas de la pétition mais de la journée de sensibilisation (je crois qu'on dit comme ça)...

    RépondreSupprimer
  9. Dorham,

    Oui, ce type de journées n'est pas totalement inutile, mais je crois que le combat devrait être un combat de fond.

    Les journées de ceci ou de cela sont des postures de formes.

    RépondreSupprimer
  10. L'ablation, et on n'en parle plus.

    Bonne fête Catherine.

    RépondreSupprimer
  11. Didier,

    Vous auriez plus préciser que mon billet n'était pas favorable à cette pétition, au contraire...

    RépondreSupprimer
  12. « Moi, la prochaine fois qu'un “bouton de fièvre” (comme on disait quand j'étais enfant) me vient aux babines, je lance une pétition contre l'herpès labial »

    Didier Goux, vous êtes en retard ! ActUp a manifesté plusieurs fois contre le sida.

    Prochaine étape : nos politiciens, toujours à l'écoute des besoins du moderne, interdiront les maladies par voie législative.

    RépondreSupprimer
  13. je lance une pétition contre les pétitions...

    RépondreSupprimer
  14. Portez-vous la jupe, Monsieur Goux ?

    "Combien d’hommes aujourd’hui porteront la jupe pour dénoncer les violences que subissent tant de femmes ?" (Christine Bard)

    http://www.liberation.fr/societe/01012304399-la-jupe-apres-avoir-ete-symbole-du-sexisme-peut-elle-devenir-celui-de-l-antisexisme

    RépondreSupprimer
  15. C'est bien gentil tout ça mais pendant ce temps il y a des blogs qui disparaissent sans plus d'explications.
    En avez vous Didier?

    RépondreSupprimer
  16. Faire disparaître des blogs, c'est un peu le boulot de Georges non ? Il doit y être pour quelque chose ! Allez savoir !

    RépondreSupprimer
  17. "Faire disparaître des blogs, c'est un peu le boulot de Georges non ? Il doit y être pour quelque chose !"

    Georges est chargé de la surveillance des blogs et de leur classification en catégories de "dangerosité" (au sens ou les modernoeuds l'entendent, bien évidemment)?
    D'ailleurs, le sien aussi a disparu.

    RépondreSupprimer
  18. Sinon, je me demandais ce que fait Freddy en apnée dans la baignoire de la fille.

    RépondreSupprimer
  19. "des amicales de la tournante"

    Pffft. Tout de même. Vous avez choppé ça à la pétanque ?

    RépondreSupprimer
  20. Bon, je me suis encore laissé déborder aujourd'hui (ce qui est normal dans ces histoires de baignoire). Tant pis, le temps me manque...

    RépondreSupprimer
  21. Carine a dit...
    Georges est chargé de la surveillance des blogs et de leur classification en catégories de "dangerosité" (au sens ou les modernoeuds l'entendent, bien évidemment)?
    D'ailleurs, le sien aussi a disparu

    ???????????
    Pouvez en dire plus long?


    Carine a dit...
    Sinon, je me demandais ce que fait Freddy en apnée dans la baignoire de la fille.

    Là encore si vous pouviez développer.

    RépondreSupprimer
  22. Didier Goux a dit...
    Bon, je me suis encore laissé déborder aujourd'hui (ce qui est normal dans ces histoires de baignoire). Tant pis, le temps me manque...

    Peut-être.
    Pourtant il y a des interrogations qui méritent des réponses vous ne trouvez pas?

    RépondreSupprimer
  23. Tant que la majorité des femmes violées n oseront pas porter plainte il faudra le répéter et on aimerait bien aussi que les hommes prennent conscience de ce que représente pour les femmes ce risque .
    Ce n'est pas du tout acquis comme vous faites semblant de le croire.

    RépondreSupprimer
  24. Ce type de journées à la mords moi le noeuds sont toujours a l'initiative d'assoc' curieuses qui créent ce genre d'évènements pour justifier de leurs existences et donc les finances , les adhésions, les subventions et patati. Et plus on en parle plus les subsides tombent !

    Ceci dit, on nous dit que Georges aurait disparu ?; comme quoi ce 25 novembre est a marquer d'une pierre blanche !

    RépondreSupprimer
  25. Par amour de la littérature et de la musique. Je sais, c'est une très basse insinuation. Han, ces gens qui vous traquent le nazi, dégoulinants de l'abjecte satisfaction de se savoir dans le camp du bien, et tra la la, et tra la la... Comme c'est BAS.

    Je crois que je vais retourner à la plume d'oie..........

    RépondreSupprimer
  26. J'aime bien le côté "fourmi obstinée" d'Olympe. Elle a raison, même si les campagnes sont souvent risibles. Il y a eu des progrès au cours de ces vingt dernières années sur l'aide aux femmes, l'accueil dans les commissariats, mais... Il y a une carence de la justice. Les procès sont trop longs (surtout quand les victimes sont des mineurs), il y a trop d'attente, alors on préfère envoyer en correctionnelle des violeurs qui devraient relever des assisses.

    RépondreSupprimer
  27. Cet article est aberrant. Ce n'est pas parce que vous n'avez rien à dire qu'il faut vous inventer des colères, quelques jours sans nouvel article on s'en remettra. Mais comparer le viol à l'herpès labial il faut vraiment en être à des sommets de crétinerie. Et le titre est d'un niveau..

    RépondreSupprimer
  28. Les termes de "pétition contre le viol" ou de "journée contre le viol" me font aussi grincer des dents.

    Mais slogan crétins mis à part, il y a aussi des choses que j'approuve dans cette entreprise. (Et sachant que la première chose sur j'ai vu sur le site était Caroline Fourest, c'est déjà bien...)

    RépondreSupprimer
  29. Olympe, Suzanne et Clarissa : Que les femmes victimes de viol soient plus ceci et moins cela, que la justice fasse davantage et plus vite, qu'on apprenne mieux aux femmes à désamorcer une agression potentielle, etc., je crois que tout le monde ou presque tombera d'accord là-dessus. C'est le côté "prise de conscience des hommes" qui me laisse dubitatif.

    Car, enfin, pour l'essentiel, le viol est un problème concernant les femmes (et aussi, c'est vrai, les policiers et les juges). En quoi le fait qu'un type ordinaire (moi, mettons), qui n'a jamais violé, n'a jamais même été effleuré par cette tentation, prenne conscience que le viol c'est mal aidera-t-il les femmes en quoi que ce soit ? J'en fais quoi, concrètement, de me "prise de conscience" ? Je signe la pétition pour clamer à la face du monde que je suis contre le viol ?

    Je maintiens qu'il y a là une grosse part de bonne conscience à peu de frais.

    RépondreSupprimer
  30. Fredi Maque:
    Bin c'est très simple: quand vous allez sur le profil de Georges, son blog a disparu.

    2ème question: vous ne connaissez pas Freddy et ses griffes? Heureux homme...

    RépondreSupprimer
  31. Didier:
    Dans un village voisin du mien, un agriculteur bien sous tous rapports, d'âge mûr mais pas blet, a épousé une femme des îles. Il a eu pour cela recours à une agence matrimoniale spécialisée.
    Elle est venue avec sa fille de six ans. L'homme et la femme ont eu trois enfants ensemble. Il était conseiller municipal, clairon dans la fanfare, etc. Vieille famille sans aucun problème avec la justice.
    La fille était une enfant difficile, caractérielle même. Elle a commencé à coucher avec des garçons très tôt, à douze ou treize ans. Marie couche-toi-là, fille facile, qu'on dit par chez nous. Fille au sang chaud de , qu'on ajoutait. Pas grand-chose dans le ciboulot, mais joli minois, peau dorée, cul rebondi et le reste à l'avenant.
    à quinze ans, tout le canton lui était passé dessus, selon l'expression consacrée. Le beau-père n'était pas content, rapport au qu'en dira-t-on. Un samedi, il l'avait enfermée dans sa chambre mais elle s'est tirée par le vélux en entraînant quelques ardoises. Elle est revenue de boite à quatre heures du matin, ivre, deux types l'ont jetée dans la cour. En mini short, dépoitraillée, elle est tombée sur le beau-père qui l'attendait. Il l'a violée en bas, sur le canapé du salon. Elle criait "non, non, t'es comme mon père" et elle a essayé de l'assommer avec un cendrier. Il l'a frappée, tenue par les cheveux.
    Elle s'est sauvée, est allée chez les gendarmes, tout de suite, qui l'ont amenée à l'hôpital. Elle avait un œil poché et des poignées de cheveux arrachés.

    Pendant tout le procès, quatre ans après (quatre ans !)L'homme ne cessait de répéter: mais elle l'a fait avec tant d'autres! Depuis le temps qu'elle le cherchait ! Je n'ai jamais embêté aucune fille, jamais de ma vie... Je regrette de l'avoir cognée, mais j'ai explosé, si vous saviez tout ce qu'elle nous a fait subir...
    Il s'est pris onze ans, et la moitié du prix de sa maison en dommages et intérêts. On en a toujours parlé dans le coin comme un brave homme qui ne méritait pas ça.
    La prise de conscience, elle n'est pas pour l'homme en question. Lui se sens davantage victime qu'autre chose. Elle est pour tous les voisins qui seraient tentés de se dire qu'avec certaines filles, ce n'est pas bien grave. Mélange de prise de conscience (les mœurs évoluent, je ne veux pas passer pour un péquenaud arriéré) et crainte de la sanction, du procès, de la ruine et de l'opprobre.

    RépondreSupprimer
  32. Suzanne : eh bien voilà ! Je suis certain que cet homme n'avait pas besoin d'une "prise de conscience" supplémentaire. Il savait sans doute fort bien que "le viol c'est mal". Seulement, là, il a "puni" sa fille adoptive, il ne l'a pas violée (dans son esprit à lui, enfin je suppose). On touche là à des choses tellement profondes que je vois très mal ce qu'une quelconque éducation pourrait y faire.

    De plus, votre affaire ne relève pas simplement (si je puis dire) du viol : il s'y mêle une large part d'inceste, comme le cri de la fille le montre bien.

    Je crois qu'il faut admettre qu'il y a dans l'homme, dans tous, à divers degrés, des choses qui ne relèvent pas de l'entendement, de l'éducation, de la "prise de conscience", etc. Simplement parce que dans ces pulsions, la conscience n'a justement aucune prise.

    Votre même homme, s'il surprend sa femme au lit avec le voisin, lui tirera peut-être dessus à bout portant, sans se sentir un assassin pour autant. Et ses amis non plus, sans doute.

    RépondreSupprimer
  33. Tout cela me refait penser à Roman Polanski, allez savoir pourquoi.

    RépondreSupprimer
  34. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  35. Je ne sais si la prévention sur le viol concerne principalement les femmes. Dès qu'elles ont 10 ans, on leur rabat déjà les oreilles avec le viol dès qu'elles mettent un pied hors de la maison. Si elles sont toujours peu à porter plainte, à mon humble avis, c'est pour des raisons qu'on ne pourra jamais changer. Parce que sur le coup, elles sont sous le choc, et que le temps que le choc se dissipe, elles n'ont plus de preuves. Parce qu'elles ne peuvent supporter l'idée de faire un procès et peut-être de le perdre. Parce qu'elles ne veulent pas que tout le monde sache, etc. (Et qu'on ne me dise pas qu'elles "ne doivent pas avoir honte". C'est naturel d'avoir honte après un viol. Ca non plus, ça ne changera jamais.) Parce que, tout simplement, parler de leur viol leur demanderait une énergie inconcevable et qu'elles ne peuvent, presque physiquement, pas le faire. A mon avis, ce qui pourrait changer, c'est qu'on pourrait apprendre un peu plus aux filles à se défendre et à ne pas craindre la bagarre. (Mais j'entend déjà les hommes hurler que ce ne serait « pas féminin », si elles n'avaient pas besoin de protecteurs chevaleresques...) Plusieurs filles de mon entourage le disent : elles ne savent pas si elles seraient capable de blesser sérieusement un homme, même si elles savaient qu'il allait leur faire du mal et qu'elles en avaient la possibilité.

    Reste donc les hommes et cette prise de conscience. Vous l'avez dit vous même, la plupart des violeurs eux-même pensent que le viol, c'est mal ! Ils ne rôdent pas dans les bois en se disant "hmm, je vais violer quelqu'un ce soir". Ils sont persuadés de n'avoir pas commis un viol, et ce même si ils ont été violents avec une fille qui disait non. Parce que "elle l'a fait avec tous les autres", parce que "elle le voulait au fond", "elle cherchait", "elle s'est pas défendu donc elle a aimé ça", "je l'ai juste un peu forcé", "j'ai juste insisté", "c'est ma copine, ça peut pas être du viol", etc etc.

    Est-ce qu'il reste une prise de conscience à faire, du coup ? On peut l'espérer. On peut espérer leur faire comprendre, par exemple, que la plupart des filles sont terrifiées par la violence au point qu'une simple attitude menaçante pourra suffire à leur faire écarter les cuisses. La peur des coups peut suffire, et si elle ne suffit pas, quelques coups font sûrement l'affaire. Et pourtant on s'imagine encore la victime de viol lambda comme tabassée jusqu'au sang après une résistance acharnée.

    Est-ce que c'est POSSIBLE pour une majorité d'hommes de changer leur regard sur le viol et de réaliser ce qu'il a de « facile » et de « banal » ? Aucune idée. Je suis assez pessimiste. Mais quand même, quand je vois qu'il y en a encore qui répètent "non veut dire peut-être, peut-être veut dire oui", je me dis qu'on pourrait peut-être améliorer un peu l'éducation des garçons...

    RépondreSupprimer
  36. Puisque personne ne se dévoue, je vais le faire. Je suis bien névidemment POUR le viol.

    RépondreSupprimer
  37. Mais vous préféreriez violer un juge ou une ancêtre ?

    Tonton Georges.

    RépondreSupprimer
  38. Il y a eu arnaque, d'ailleurs. Les gorilles en ont une toute petite...

    RépondreSupprimer
  39. "La +part des filles sont terrifiées par la violence" : ah bon premiére nouvelle. Les "petites vieilles sans doute" (et encore, il y a des tatie danielle), mais les filles d'aujourd'hui ne sont plus comme autrefois, il y a en banlieue de plus en plus de gangs de fille, violents, en Angleterre ce sont les filles qui ménent la danse dans les échouffourées étudiantes contre l'augmentation des droits d'inscription à l'université, sans oublier les femmes terroristes (islamistes, basques, Ulrike Meinhof) ou gangsters (Bonnie & Clyde)ou infanticides (Véronique Courjault) ou "veuves noires"ou complices actives de pédophiles (la femme de Fourniret). La pauvre petite femme victime sans défense, qu'on arrête de nous matraquer avec çà. Par contre des enfants victimes de maltraitance (2 morts par jour en France), comme par hasard, il n'en est jamais question...

    RépondreSupprimer
  40. Ci-dessus c'est de la branlette quim'la coupe grave.

    RépondreSupprimer
  41. En tout cas, cette journée, qui a certainement malgré tout une utilité, n'a hélas guère eu d'effet sur Giscard, si l'on en juge par l'article ci-joint.

    RépondreSupprimer
  42. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer
  43. Qu'il y ait des femmes qui aiment se battre, des violentes, des sadiques, des tueuses, et même des violeuses, est indéniable.

    Que "l'homme moyen" est plus fort physiquement et a moins peur de se battre que "la femme moyenne" me semble indéniable aussi.

    RépondreSupprimer
  44. Et qu'une femme "moyenne" soit moins forte qu'un garçon "moyen" armé ou que deux garçons non armés, c'est évident.
    Alors 10 garçons en réunion...
    Elle devrait apprendre à choisir ses amis, cette pauvre jeune fille dont parle l'article mis en lien par Chieuvrou(et réfléchir avant de quitter le toit familial). Cela dit, ça se passe à Creil, hein...

    RépondreSupprimer
  45. Je veux dire que ça ne doit pas être si rare.

    RépondreSupprimer

La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.