Connaissez-vous Marc Vasseur ? C'est un homme très bien. Qui ne s'aviserait jamais de penser en dehors des clous. Même lorsqu'il s'agira de ses clous de cercueil, on s'imagine qu'il restera bien sage et tranquille dans l'espace ainsi balisé. Je crois n'avoir encore jamais parlé de lui, mais je le lis très régulièrement. Donc, aujourd'hui, on va lui faire un peu grimper les stats (il n'y a pas de raison d'avantager toujours le petit GdC), en lui accordant un lien citoyen.
Mais qu'est-ce donc, ô Réaquissime Didier Goux, qu'un lien citoyen ? vous demandez-vous. Je ne sais pas. Vraiment pas. Il faut aller demander à Marc Vasseur, justement : l'homme qui met du citoyen partout, un peu comme les cuistots allemands nappent toutes leurs viandes de la même sauce brune sans goût définissable. Par exemple, savez-vous ce qu'est un déclassement citoyen ? Ou, mieux : une désespérance citoyenne ? Non, n'est-ce pas ? Eh bien, Marc Vasseur, lui, il sait. Il a l'air de savoir en tout cas. C'est sa brune sauce teutonne à lui, le citoyen ; c'est avec ça qu'il accommode les rutabagas bouillis qu'il sert dans sa cantine. Aujourd'hui, son plat du jour ressemble à une tambouille plusieurs fois mâchée : les pauvres divers des quartiers sensibles qui gagnent moins d'argent que les salauds de souche. Mais grâce au nappage citoyen auquel se livre notre Lucullus, on avale sans discuter – il y a même des goinfres qui lorgnent sur le rabiot.
Ah, tout de même : dans l'éventualité d'une gerbe citoyenne, les sacs en papier sont juste là, à main droite…
Rajout de deux heures et quart : puisqu'on en est aux billets qui font rire, je viens de me payer une pinte de bon sang avec celui du camarade CSP, consacré à la prostitution : je crois que même Mme Boutin n'aurait pas osé l'écrire, celui-là. On en arrive à se dire que pendant qu'il écrivait en tremblotant d'appréhension, “Mamour” devait lire par-dessus son épaule, les sourcils froncés, implacable gardienne de l'orthodoxie conjugale. C'est beau et c'est grand.
Mais qu'est-ce donc, ô Réaquissime Didier Goux, qu'un lien citoyen ? vous demandez-vous. Je ne sais pas. Vraiment pas. Il faut aller demander à Marc Vasseur, justement : l'homme qui met du citoyen partout, un peu comme les cuistots allemands nappent toutes leurs viandes de la même sauce brune sans goût définissable. Par exemple, savez-vous ce qu'est un déclassement citoyen ? Ou, mieux : une désespérance citoyenne ? Non, n'est-ce pas ? Eh bien, Marc Vasseur, lui, il sait. Il a l'air de savoir en tout cas. C'est sa brune sauce teutonne à lui, le citoyen ; c'est avec ça qu'il accommode les rutabagas bouillis qu'il sert dans sa cantine. Aujourd'hui, son plat du jour ressemble à une tambouille plusieurs fois mâchée : les pauvres divers des quartiers sensibles qui gagnent moins d'argent que les salauds de souche. Mais grâce au nappage citoyen auquel se livre notre Lucullus, on avale sans discuter – il y a même des goinfres qui lorgnent sur le rabiot.
Ah, tout de même : dans l'éventualité d'une gerbe citoyenne, les sacs en papier sont juste là, à main droite…
Rajout de deux heures et quart : puisqu'on en est aux billets qui font rire, je viens de me payer une pinte de bon sang avec celui du camarade CSP, consacré à la prostitution : je crois que même Mme Boutin n'aurait pas osé l'écrire, celui-là. On en arrive à se dire que pendant qu'il écrivait en tremblotant d'appréhension, “Mamour” devait lire par-dessus son épaule, les sourcils froncés, implacable gardienne de l'orthodoxie conjugale. C'est beau et c'est grand.
Z'allez nous réconcilier Marc et GdC !
RépondreSupprimerCela dit, que vous tapiez sur GdC ne me dérange pas, ce n'est pas mon pote...
Oh, on ne peut pas appeler ça "taper" ! C'est de la petite moquerie gentillette, ça. Vous voulez que je vous montre comment c'est, quand je tape ?
RépondreSupprimerNon, restez assis.
RépondreSupprimerComment vous saviez que j'étais assis ? Y a des caméras de surveillance sarkozienne, dans ce bureau ?
RépondreSupprimerNon. Catheriniennes, seulement.
RépondreSupprimermaintenant avec GdC, on sait ce qu'est la connerie citoyenne…
RépondreSupprimerVous allez trop vite dans vos publications, on rigolait bien avec le billet précédent!
Je viens de faire un petit rajout au billet : ce serait dommage de vous en priver…
RépondreSupprimerJulie : c'est que j'ai beaucoup de temps libre, quand je bosse…
RépondreSupprimerOuh là là, Philippe Caubère, dis donc !!!
RépondreSupprimerEt bien pour Caubère moi je veux bien…
RépondreSupprimermême en me faisant payer.
à chacun ses obsessions Monsieur Gout.
RépondreSupprimerVous c'est traquer la connerie, moi c'est la tambouille citoyenne
marc vasseur
Emma et Julie : du calme !
RépondreSupprimerMark Waçeur, vous avez tout à fait raison.
" Dans une société d'hyper-consumérisme, on nous vend le sexe comme bien de consommation aplati au même niveau que l'achat d'un jeu vidéo ou d'un grille-pain "
RépondreSupprimerPhrase curieuse et dangereuse : Comment aplatit-on le sexe au niveau d'un jeu vidéo ? Faut-il des outils spéciaux?
D'autre part si CSP en arrivait à confondre sexe et grille-pain, je lui conseillerais de ne pas brancher ce dernier avant d'assouvir ses bas instincts ; de même que je lui déconseillerais d'utiliser le premier pour toaster ses tartines : elles perdraient davantage en croquant qu'elles ne gagneraient en moëlleux.
C'est encore en Suisse que j'ai trouvé un article argumenté sur cette histoire de prostitution. Je vous passe le lien:
RépondreSupprimerhttp://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2011/04/14/prostitution-la-chasse-a-l-homme-va-commencer.html
Le lien de DF.
RépondreSupprimerJe rêve, ou Nicolas me compare à Big Brother ?
RépondreSupprimerCatherine, il faut dire que ta photo de commentaires a un petit côté "Légende des siècles" : l'œil était dans la tombe et regardait Caïn !...
RépondreSupprimerMeuhh non, Antoine, c'est mon œil de photographe : )
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