mercredi 20 avril 2011

Si vous hésitez encore sur la question du suicide…


Marie-Thérèse Bouchard peut vous aider à accomplir enfin le geste qui sauve !

19 commentaires:

  1. C'est vraiment un beau texte...!
    Laurent l'Anonyme

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  2. Exceptionnel !

    J'adhère totalement.

    Sauf pour le suicide..

    Marilo

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  3. Laurent : oui, hein ?

    Marilo : oh, je ne comptais pas adhérer tout de suite non plus…

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  4. Il a sur moi, en fait, l'effet inverse...: ce n'est pas au suicide qu'il pousse, mais plutôt, comment dire... à quelque chose de tragique, donc de beau. Et le fait de se rendre compte qu'on n'est pas seul à voir, ça donne du coeur au ventre.

    Laurent l'Anonyme

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  5. Pas encore eu le temps de lire, mais j'aime la photo.

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  6. J'ai compris. En fait, vous êtes tous bipolaires. Oh non, le monde, il est tellement pas beau. Miss France a pris de l'acide en somme et ça lui porte sur la digestion ?

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  7. Cela dit,
    c'est vrai que c'est très bien écrit. Il faut reconnaitre à ce texte ce mérite.

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  8. Mais, Dorham, personne ne vous empêche de trouver le monde beau ! Et même de plus en plus beau si vous le souhaitez : nous sommes de vrais libéraux, au sens premier et noble du terme, nous…

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  9. Le trouver beau, certainement non. Enfin, il ne s'agit pas de le trouver beau ou non, c'est un peu infantile comme façon de voir les choses. Je ne m'illusionne pas sur le société dans laquelle on vit. Elle est terrible, bien évidemment.

    Ce qui me dérange, c'est la posture, ce regard uniforme, invariable, guidé (bien sûr), vous pensez sans doute que c'est de la lucidité, mais les choses d'un trait, comme cela, monochromes, ça me rend méfiant. C'est de la caricature, c'est pour cela que je trouve que c'est le texte d'une Miss France à l'enfers, d'une anté-Miss-France si vous voulez, d'un anté-bisounours. Et puis, cette position de juge permanente, cette supériorité de fait (implicite) qui transpire de ce texte (tous les autres sont des cons, des crouilles, des gros tas, des bouffeurs de chips, des gens sans culture, de mauvais goût, moi, je sais, je vois et je lis des livres dans ma petite piaule bien à l'abri...), c'est... enfin...

    C'est la semaine sainte alors je dirais sobrement que l'Esprit Saint serait bien avisé de passer visiter un peu cette demoiselle. Je le souhaite sincèrement.

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  10. (et puis, c'est quoi ce "nous" ?)

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  11. Didou vous êtes ch'tarbé ! Je ne veux pas que les jeunes se flinguent, au contraire, je veux qu'ils se disent qu'ils ne sont pas seuls. Je les invite à parler de leurs problèmes entre eux, vu que leurs vieux des 30 glorieuses ne peuvent pas comprendre...

    J'les incite aussi à ne pas écouter ce qu'on leur dit. Vous savez tous ces lieux communs avec "c'est partout pareil", "de quoi tu te plains, tu n'es pas bien chez tes parents?", "tu n'auras un bon travail qu'en terminant tes études"...

    C'est un texte plutôt optimiste, regardez comme j'ai fini en ne finissant pas la fac et en me barrant de ma province ;)

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  12. Je ne sais pas ce qui m'arrive moi.
    Je suis d'accord avec Dorham !
    Oulaaaa...
    Mais avec la mise au point de Marion aussi. Sauf que voir de l'optimisme et du "secouez-vous " dans son texte, c'est ça le véritable optimisme.
    Faut pas jouer à désespérer le quidam. Il ne va déjà pas fort.

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  13. C'est un très, très, long beau texte...
    Elle pourrait pas faire dans le un petit peu plus court

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  14. Mais enfin, Marinette (ça, c'est la réponse du berger “Didou”…), je le sais bien que votre texte n'est pas une invitation au suicide ! Moi-même, je l'ai trouvé très roboratif et ma manière de le présenter n'était qu'une forme d'humour tendance burlesque. (Burlesque et raté, apparemment…)

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  15. Moi ça me remonte toujours le moral de trouver des gens encore plus misanthropes que moi : du coup ça me rappelle quand j 'étais chez les gentils en fait, ça doit être ça.

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  16. Jacques Etienne20 avril 2011 à 20:12

    Décidément, les ailes de géant conservent l'inconvénient d'empêcher de marcher. C'est beau la jeunesse, on se croit unique et en plus on l'est. Au même titre que les crouilles, les sales vieux soixantehuitards, les bouffeurs de chips et les gars de la RATP. Mais pas plus.

    Ce texte est pétillant de jeunesse. "J'avais vingt ans. Je ne laisserai personne dire que c'est le plus bel âge de la vie. » Comme disait l'autre bigleux, le pote à Sartre. C'était avant la guerre. Toujours ce même sentiment d'effarement face à un monde qu'on découvre peu enclin à s'émerveiller devant la rare pépite que l'on se sent ou se voudrait.

    Un texte joli dans sa forme, banal dans son fond.

    Il me rappelle une conversation avec ma fille, il y a quelques années. Elle se plaignait de ce que ses camarades d'école de commerce la trouvaient trop intello préférant les nocturnes du Louvre aux beuveries ordinaires. En tant que vieux con assumé et solitaire, je lui ai fait remarquer qu'on ne peut pas être à la fois supérieur et populaire. Il faut choisir...

    C'est peut-être ça le problème de la jeunesse : ne pas pouvoir envisager un monde qui ne lui ressemble pas. Avec le temps, on s'y fait...

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  17. Carine,

    Heureusement, en décembre viendra le temps des crèches...

    (c'est une plaisanterie)

    (je dis ça parce que vous ne les identifiez pas toujours)

    (cette précision n'est pas malicieuse)

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  18. Dorham
    Vous n'avez qu'à mettre des smileys !
    Ca me simplifiera la compréhension, que j'ai lente et laborieuse.

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  19. Oui, mais je n'aime pas les smileys.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.