Monsieur Polo, ça vous connaît vous, en tant qu'E.O.R, les rafales ! Sans parler du léchage ! Les vraies groupies -celles qui ont eu l'honneur d'une rencontre du troisième type avec le couple - ne lèchent plus, elles font dans la litote chichiteuse. Sauf Georges, qu'on a effectivement bien du mal à mettre dans un ensemble féminin. Voyez Nicolas, le Glaude, le Pluto et sa Minnie, le Yaka, l'amiral hollandais... du nanan, un petit mot qui ne prête pas trop à conséquence histoire de dire qu'on est passé, pas plus. Même le Marchenoir, si mordant au naturel, dans le sens du poil attendant l’aspirateur. Dans l'antichambre on croise surtout les domestiques et les visiteurs importuns. On y évoque le temps qu'il fait. Le salon où l'on cause est ailleurs ! L'ailleurs c'est pas ici, Monsieur Polo ! L'ailleurs c'est plein de bouteilles culbutées ou de plats mirifiques dont on nous sert parfois ici, la liste exhaustive ou les photographies façon documentaire. Voyez, ici, le plat choisi par Georges (un filet dans son jus de morilles avec croustines de fiottes glacées.... J'imagine rétrospectivement sa honte, sa souffrance. Les faux-plafonds du restaurant lui sont tombés sur la tête ce jour-là comme une révélation. Pour l'ogre aperçu ce jour-là en plein appétit, tout est objet de dévoration sans distinction, les plats, les alcools, les livres, les êtres, les idées, les commentateurs, les emmerdeurs, rien n'est jamais régurgité. C'est un trou noir où même la langue se perd.
"Je ne devrais pas, je suppose, avouer ce genre de chose. Néanmoins, c'est la vérité : quand les commentaires, sur le blog-mère, tombent en rafales, je ne les lis plus. Je m'en fous."
Avouez ! Avouez ! Sachez, en humble retour, que les "commentateurs" ne lisent plus les billets avant d'armer le percuteur.
Tiens, et en plus le Didier se fout de la gueule des crétins qui passent toute leur journée à commenter chez lui. Qu'il ne les lise pas est une chose, mais là ça va trop loin dans la complaisance envers soi-même et la hargne gratuite à l'égard de la valetaille. Didier, vous avez déconné. Si je puis me permettre.
Pierre, je suis sûr que vous êtes en tête des commentateurs que Didier de lit pas. Si l'accès de sincérité de notre hôte se poursuit, peut-être osera-t-il vous le confirmer.
Non mais je le sais, il me l'a dit. Néanmoins il n'y avait pas d'animosité dans ses propos. Il ne s'est pas permis de me traiter de crétin, même s'il le pense. Je pense qu'il est poli et je comprends que mes commentaires le soûlent.
Meunon, vous n'avez rien compris. Maître Goux dit qu'il ne lit plus personne comme ça si on lui reproche, encore, les propos de certains commentateurs, il pourra dire qu'il ne les avais pas vus. Maître Goux pourra faire ici comme d'autres font ailleurs , dire "ci pas moi....et ji rien vu, en plus". Là, par exemple, c'est ce qu'il pourra répondre à ceux qui diront que je viens de commettre un commentaire incitant à la haine de l'autre, et qu'il faudrait me virer de toute urgence.
C'est amusant, je me doutais que ce petit paragraphe aller en foutre certains en rogne ! Sans comprendre ce qui y est dit, à savoir que les commentaires trop nombreux et trop copieux (disons quand ils approchent la centaine…) découragent ma lecture. C'est si difficile à comprendre et à admettre ?
Merci Didier pour l'allusion aux enfants sages, je suis très touchée, ça m'encourage un peu ces jours-ci où je suis pressée de les renvoyer à leurs chères études... (Quant aux commentateurs, hé bien j'avoue lire essentiellement Marchenoir chez vous.)
"Sans comprendre ce qui y est dit" C'est parce qu'on est bêtes.
"Je ne lis plus personne, tout le monde m'emmerde" (journal de Juillet). C'est en effet une façon très claire et pas du tout ambigüe de dire que vous êtes fatigué et que vous n'avez plus la force de lire les commentaires, quand il y en a beaucoup, et même si vous aimez très forts les commentateurs.
"C'est amusant" Tant mieux, ce serait dommage que cela vous attriste.
"...que ce petit paragraphe aller en foutre certains en rogne " Pour quelqu'un qui s'est bien foutu de la gueule de Grandpas, tout récemment, parce qu'il avait mal conjugué le verbe "tirer" dans une citation, je trouve que vous ne manquez pas de souffle.
Bon allez, sans rancune j'espère. Vous avez quand même réussi à nous faire parler un peu de ce Journal, hein.
Sacré Marco, toujours un truc à dire, toujours à chercher la faille lexicale, qui viendrait donner raison à vos opinions. Puis vos explications de texte dans lesquelles vous reprenez point par point, on dirait un fayot qui fait un rapport à la maîtresse.
Fayot dans le sens ou vos propos abondent dans le sens du gouvernement. Quand je dis que j'apprécie ce blog, ce n'est pas pour défendre une position de pouvoir, contrairement à vous. J'apprécie les livres, les opinions de Didier, mes propos l'illustrent et n'en ai que faire de savoir si je suis apprécié ou pas. Vous me rappelez les glands avec qui j'étais en cours, qui avaient un gros balai là où vous savez, et qui étaient de véritables porte-drapeaux de l'educ' nat'. Toujours à rapporter au prof quelle connerie avait été faite. Surtout, qu'est-ce que ça peut vous foutre que Didier m'apprécie ou pas. Pendant un instant j'ai cru que vous étiez le frère de Rosaelle, en mission pour le grand Social.
Oui, et alors? Je devrais m'incliner devant vous? Je devrais vous dire que vous êtes trop sympa? J'en ai rien à faire du paraître, de ce qu'on peut penser de moi, je l'ai déjà dit, je suis un idiot. Je l'assume, et modère le nombre de mes commentaires quand l'auteur du blog fait sentir son agacement. Surtout, Didier, et d'autres, m'ont déjà fait l'honneur de répondre à quelques uns de mes commentaires. Je ne sais pas ce que vous cherchez à démontrer à mon sujet, mais ça ne vous fait pas briller.
Vous traitez les gens de "crétin" et prétendez être un juste? Il n'y a que des bien-pensants pour traiter de "crétin", sur l'unique base de pauvres commentaires.
N'importe comment, quand les commentaires se multiplient c'est souvent dû à ce que plusieurs intervenants s'engueulent. Ce qui est d'un intérêt relatif.
Les commentaires sont par définition d'un intérêt relatif, il me semble. Je suppose qu'il n'y a pas grand monde pour s'attendre à y trouver la littérature de demain ou de profondes constructions intellectuelles. J'oserais dire que les billets commentés sont eux-mêmes, le plus souvent, d'un intérêt tout relatif. Et c'est pour cela qu'on les soumet à commentaire. Vous imaginez Nietzsche ouvrir ses aphorismes aux commentateurs du monde entier ? Mais il arrive assez souvent que certains commentaires soient bien meilleurs que certains billets.
Je me permets d'insister, car j'ai la faiblesse de croire que je n'étais pas particulièrement visé par Didier Goux. Et pourtant j'ai trouvé cette saillie inutilement blessante.
Si ça vous a blessé, c'est que Didier a visé un point sensible de votre personnalité. On a remarqué que vous aimiez les lynchages collectifs. Vous parlez des gens de manière défavorable, en prenant à partie les lecteurs. "Hhooou, regardez, il a mis les doigts dans son nez...". Dommage que vous soyez comme ça, car vous avez de la culture et savez faire preuve de réflexion, mais votre ambition sur ce site est à peine déguisée..
"Mais il arrive assez souvent que certains commentaires soient bien meilleurs que certains billets."
Tout est dit, Monsieur Polo, et j'ajouterai cependant qu'ils sont d'autant meilleurs qu'ils n'ont aucun rapport avec le billet et n'y sont donc plus "relatifs" par définition. Le développement d'un commentaire n'est rien moins qu'un progrès vers un but. C'est une réinterprétation, un réajustement qui fait nécessairement que le "sens" et la "fin" antérieurs sont obscurcis ou complètement effacés.
que le " sens " et la " fin " antérieurs sont obscurcis ou complètement effacés. ... et toute l'histoire d'une " chose ", d'un organe, d'un usage peut ainsi constituer une ... d'un organe, n'est dès lors rien moins que son progrès vers un but, et encore
Alors je vais enfoncer le clou, les atrabilaires misanthropes n'ont pas besoin d'admirateurs qui les entretiennent dans leur névrose, en revanche on peut, peut-être même pour leur bien, les titiller et même déranger leurs certitudes qu'autrui ne les vaut en rien, ni en lucidité, ni en intelligence, ni en civilisation, ni en esthétique.
Tout ça dans le but de nous faire commenter, en plus. Et ça marche !
Bon, Didier, quand allez vous enfin faire comme tout bon nauséabond qui se respecte, c'est à dire des listes ? Parce que c'est le problème ici : les gens ne savent pas si vous les aimez bien ou non. Et ça les perturbe. Il nous faut des listes.
Remarquez, je dis ça mais je m'en fous, parce que je suis certaine que vous m'aimez bien malgré tout....allez, mais M, quoi, dites LE !!!!!!! ......Il ne dit rien ?......Oh et puis zut !
Au fond, de quoi vous plaignez-vous, les uns ou les autres ? De ce que, lorsque je rouvre mon ordinateur et que je trouve quarante à cinquante commentaires copieux sur un sujet qui ne m'intéresse que très moyennement, je ne prenne pas une heure de mon temps à les lire attentivement et à concocter une réponse à chacun ? Mais je signale tout de même que, pendant que je me détourne, la discussion reste ouverte, les commentaires libres, etc. Y compris lorsque, en effet, comme le dit Jacques Étienne, on se met ici à s'engueuler à propos de choses n'ayant plus le moindre rapport avec le billet initial.
Non, c'est moi qui me casse. Et Didier n'a jamais traité personne de crétin dans son journal. Vous fantasmez que certains puissent accréditer ce que vous pensez à mon sujet. Désolé Didier pour le nombre de messages. Je ne peux m'empêcher de me "trollifier" face à des gens comme ça.
Vous savez que vous êtes très drôles, tous les deux ? (et en plus "casse" rime avec "chasse") On se croirait dans Le grand détournement (Dean Martin et Sinatra).
Eh bien Georges ! Une petite déprime ? Mesdames, Messieurs les blogueurs, il faut fermer les commentaires et tout ça s'arrêtera. Les seuls visiteurs qui vont encore chez Georges, à part moi bien entendu, viennent pour les poils et pour voir s'il a rouvert les commentaires. Fermez les commentaires Monsieur Goux et vous verrez le calme s'installer sur le net. Les longues soirées d'apéro prolongé. Ou alors ouvrez des blogs de commentaires sans billet prétexte ou alors continuez ce que vous faites très bien : de la production de signes. Incitez également tous vos amis à fermer les commentaires. D'ailleurs fermez les blogs ! Passez à l'action avec les philosophes de la Réserve ! Exhibez-vous en vrai dans la rue, dans les jardins publics. L'élégance des voyeurs, au moins, c'est de ne pas commenter.
Xyr a fermé son blog. Quelqu'un avait-il quelque chose à dire de plus ?
Xyr passe son temps à fermer un blog, avant d'en rouvrir un autre. Je crois qu'il tente de battre le record de faux adieux à la scène détenu par Maurice Chevalier.
Très joli ce pseudonyme ! Merci, monsieur, mais votre pseudo à vous, euh, ce n'est pas terrible franchement. Je suis d'accord avec Dame Crevette, je raffole des commentaires de Robert M., de leur pertinence,et de leur style. Sinon : merci pour votre "journal" de juillet, Didier, il se lit comme on boit une flûte de champagne !
Je pense que c'est plutôt un signe de santé mentale de ne pas lire la totalité des commentaires ! Vu la régularité de production de billets, vu les occupations professionnelles du taulier, vu son appétit de lecture, il serait tout simplement suicidaire de lire l'ensemble des commentaires, et d'y répondre n'en parlons pas ! Il y a peut être un type dans la blogosphère capable de faire ça, je crois qu'il vit quelque part en Russie (au Kremlin, si j'ai bien compris), une sorte de stakanoviste du blog. C'est un peu comme si le Père Noël s'amusait à répondre à tous les enfants, comme si Justin Bieber lisait le courrier de ses fans...
Ah, si j'en profite puisque je sais que le taulier ne lit pas les commentaires, le dernier billet de Georges est assez drôle. Enfin, je devrais plutôt dire : j'ai lu le dernier billet de Georges, j'ai ri. Je ne sais pas comment tout cela va finir. Il m'arrive d'avoir des intuitions, mais je ne sais pas si elle me concerne en particulier. Peut on parler d'autre chose que de soi même ?
J'ai lu. "Plutôt mort que sympa" ? Bof. N'importe comment, il n'a pas le choix :le premier qualificatif viendra inéluctablement et le deuxième n'est pas à sa portée.
Il y a quelque chose de tragique chez Georges. DG avait plus que de la sympathie, de l'affection, pour cet homme là qui semble posséder bien des talents. Sauf celui de vivre. C'est un ulcéré de la vie.
Ce n'est pas POSSIBLE ! Le jour où Didier Goux conchie ses "propres" commentateurs vous commentez ici un billet de Georges (qui a "fermé" ses commentaires) traitant du "commentaire de bloge", allant même jusqu'à commenter Georges lui-même, ses talents, ses ulcères, ses solitudes ! Mais vous êtes fous, vraiment, à faire peur !
Oui nous le sommes. Autant le savoir une bonne fois pour toutes !
Permettez moi, cher Didier, de rebondir sur un récent billet que vous consacrâtes aux fabricants de paniers tressés mangeurs de hérissons (hérisson qui est l'oursin du nomade d'Europe Centrale comme chacun sait). Valeurs Actuelles leur consacre aujourd'hui un article fort interessant. On notera que l'auteur de l'article dit sensiblement la même chose, avec des mots à peine moins crus, que l'insane fredi.
J'opère dès demain un sévère remontage de bretelles à l'endroit de mon attachée de presse : j'apprends en effet le funeste épuisement du stock de photos dédicacées destinées à mes Marchenoirettes.
Eh bien moi, je n'ai pas deux heures à disposition pour vous "expliquer le libéralisme", figurez-vous. J'ai déja passé des centaines d'heures à le faire (pour compter juste).
Donc, si ça vous intéresse vraiment, vous vous prenez par la main, vous allez sur un truc qui s'appelle Google, vous cherchez des sites pédagogiques libéraux, il y en a de très bien faits, et vous pouvez même aller dans une chose qui s'appelle une bibliothèque, ou une librairie, et vous pouvez même acheter des livres à distance et le monsieur vous les glisse sous le paillasson -- pour ne pas parler des bases de données en ligne qui offrent des dizaines de milliers de livres complets gratuits.
Le moins qu'on puisse dire est que vous avez l'embarras du choix.
Si vous tenez absolument à lire ma prose sur le libéralisme (mais j'en doute), vous la retrouverez aisément à travers l'un des douze mille moteurs de recherche gratuits qui vous tendent les bras sur le Web.
C'était ma première leçon de libéralisme pour vous : il ne faut pas tout attendre d'autrui dans la vie. Pour progresser, il faut faire des efforts par soi-même.
Vous pouvez maintenant passer aux travaux pratiques.
Je ne me pose même pas la question de savoir si je fais partie des "bêtes" qui commentent, je me contente de "demi-folle". Ca suffit largement à mon bonheur. Et d'ailleurs, depuis, je ne viens plus sur ce blog.
"Et d'ailleurs, depuis, je ne viens plus sur ce blog." Si vous ne venez plus sur ce blog, il semble que Léon (Alias Ludovic Rosaelle et Lèche cul) soit de retour…
Je constate avec tristesse qu'il n'est plus possible de venir commenter sur ce blog. Si un roquet doit venir nous mordre les mollets dès qu'on essaie de s'exprimer, ce n'est plus drôle, c'est même éprouvant, et ce qu'on a à dire ne mérite certainement pas de surmonter cette épreuve.
Bonjour Marco, désolé pour les mots que j'ai eus hier. Je ne pense pas qu'ils aient eu le pouvoir de vous heurter. Encore une fois, je m'enflamme, ne contiens pas ma connerie, et ça pollue grave.. Voilà, bonne journée, en espérant que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.
On ne le dira jamais assez, mais le libéralisme c'est un vrai aspirateur à minettes (voir plus haut). Si ça se savait on n'aurait pas de mal à convertir la jeunesse de France (enfin, au moins la partie masculine). Je vois le slogan d'ici :
Aristide, vous avez bien brossé votre portrait. En plus, il a une très beau manoir dont la pièce principale est une bibliothèque. Mais je parlais de vous, pas de RC !
La mort du Logos, Georges, la mort du Logos ! Mais, mis à part Monsieur Polo, qui exerce ici des fonctions très officielles de philosophe public en charge de l'édification des masses et quelques autres sergents-recruteurs, tout le monde s'en branle, non ? Vous attendez quoi, ici ? Toute cette merde commune, ce marigot comme vous disiez, n'est-ce pas rassurant de s’y croire surnager, délicat nénuphar à l’étrave redoutable ? Bien-sûr que le Polo reviendra, comme Carine, comme vous, comme moi mettre sa petite pièce dans le bastringue et baisser la manette. C'est carnaval tous les jours ici, ailleurs aussi, comme chez vous avant. Masques et plumes. Faux-nez, faux-culs, vrais pseudonymes, faux-semblants, bobos mélancoliques, babas alcooliques… Ici ce n'est pas la fin du Logos, Georges, c'est son triomphe ! Sur l'apparence à quoi le réel prétend nous recroqueviller, sur la viande qui se dérobe mais dont nous pouvons encore choisir les mouches. Georges tant qu’on peut écrire, MEME DES CONNERIES, on n’est pas mort, on vit encore un peu de cette vie restreinte, par procuration qu’on appelle le commentaire. Sauf Monsieur Polo (par définition) qui ne commente pas, lui il édifie. Hors de quelques créateurs – dont vous êtes encore un peu ?-, TOUS les autres commentent, ne font que commenter ! Jusqu’à la mort ! Laissez-nous ça ! Le reste des « actes de la vie » ne mérite même pas d’être mentionné. Voyez le journal de Didier Goux. R.A.S
Aaaaaaaaaaaaaaaah !! N'est-il pas formidable notre Georges ? Comment disiez-vous déjà Didier ? Il critique la bloge et ses commentateurs mais s'y vautre à longueur de journée ou quelque chose comme ça. Pour le pathétique il est plutôt bien servi notre ami. Quant à l'humour, Georges en serait plutôt carencé. Bof...on s'en fout non ?
Nous doutons désormais du fait que Didier Goux lise nos coms...mais il est absolument certain que Georges lui, le fait ( enfin, ici , et en tout cas hier ^^). Je précise que je ne dis pas cela pour me ramasser une châtaigne, voire un marron.
Rooooooh! De la cachaça de toute première qualité!
RépondreSupprimerEh bien, disons que la cachaça pure, quand on en avale un demi-verre à chaque coup de glotte, c'est tout de même un peu brutal…
SupprimerMais j'ai tout de même fini la bouteille, rassurez-vous !
Les groupies de ce blog reçoivent dans le journal de juillet le paiement de leur léchage intempestif: ils emmerdent profondément le maître des lieux.
RépondreSupprimerExact. Il ne faut jamais lécher, même intempestivement.
SupprimerC'est du fantasme ce que vous racontez messieurs.
SupprimerMonsieur Polo, ça vous connaît vous, en tant qu'E.O.R, les rafales ! Sans parler du léchage ! Les vraies groupies -celles qui ont eu l'honneur d'une rencontre du troisième type avec le couple - ne lèchent plus, elles font dans la litote chichiteuse. Sauf Georges, qu'on a effectivement bien du mal à mettre dans un ensemble féminin. Voyez Nicolas, le Glaude, le Pluto et sa Minnie, le Yaka, l'amiral hollandais... du nanan, un petit mot qui ne prête pas trop à conséquence histoire de dire qu'on est passé, pas plus. Même le Marchenoir, si mordant au naturel, dans le sens du poil attendant l’aspirateur. Dans l'antichambre on croise surtout les domestiques et les visiteurs importuns. On y évoque le temps qu'il fait. Le salon où l'on cause est ailleurs ! L'ailleurs c'est pas ici, Monsieur Polo ! L'ailleurs c'est plein de bouteilles culbutées ou de plats mirifiques dont on nous sert parfois ici, la liste exhaustive ou les photographies façon documentaire. Voyez, ici, le plat choisi par Georges (un filet dans son jus de morilles avec croustines de fiottes glacées.... J'imagine rétrospectivement sa honte, sa souffrance. Les faux-plafonds du restaurant lui sont tombés sur la tête ce jour-là comme une révélation. Pour l'ogre aperçu ce jour-là en plein appétit, tout est objet de dévoration sans distinction, les plats, les alcools, les livres, les êtres, les idées, les commentateurs, les emmerdeurs, rien n'est jamais régurgité. C'est un trou noir où même la langue se perd.
SupprimerC'est bien possible, en effet.
Supprimer(Pour autant que j'aie compris quelque chose).
Exemple typique de commentaire (celui du si élégamment nommé lèche-cul) qui me fait perdre toute envie de lecture…
Supprimer"Je ne devrais pas, je suppose, avouer ce genre de chose. Néanmoins, c'est la vérité : quand les commentaires, sur le blog-mère, tombent en rafales, je ne les lis plus. Je m'en fous."
RépondreSupprimerAvouez ! Avouez ! Sachez, en humble retour, que les "commentateurs" ne lisent plus les billets avant d'armer le percuteur.
Tiens, et en plus le Didier se fout de la gueule des crétins qui passent toute leur journée à commenter chez lui.
RépondreSupprimerQu'il ne les lise pas est une chose, mais là ça va trop loin dans la complaisance envers soi-même et la hargne gratuite à l'égard de la valetaille.
Didier, vous avez déconné.
Si je puis me permettre.
Si vous faîtes référence au 17 juillet, vos propos semblent exagérés.
SupprimerPierre, je suis sûr que vous êtes en tête des commentateurs que Didier de lit pas.
SupprimerSi l'accès de sincérité de notre hôte se poursuit, peut-être osera-t-il vous le confirmer.
Non mais je le sais, il me l'a dit.
SupprimerNéanmoins il n'y avait pas d'animosité dans ses propos.
Il ne s'est pas permis de me traiter de crétin, même s'il le pense.
Je pense qu'il est poli et je comprends que mes commentaires
le soûlent.
Meunon, vous n'avez rien compris.
RépondreSupprimerMaître Goux dit qu'il ne lit plus personne comme ça si on lui reproche, encore, les propos de certains commentateurs, il pourra dire qu'il ne les avais pas vus.
Maître Goux pourra faire ici comme d'autres font ailleurs , dire "ci pas moi....et ji rien vu, en plus".
Là, par exemple, c'est ce qu'il pourra répondre à ceux qui diront que je viens de commettre un commentaire incitant à la haine de l'autre, et qu'il faudrait me virer de toute urgence.
C'est amusant, je me doutais que ce petit paragraphe aller en foutre certains en rogne ! Sans comprendre ce qui y est dit, à savoir que les commentaires trop nombreux et trop copieux (disons quand ils approchent la centaine…) découragent ma lecture. C'est si difficile à comprendre et à admettre ?
RépondreSupprimerMerci Didier pour l'allusion aux enfants sages, je suis très touchée, ça m'encourage un peu ces jours-ci où je suis pressée de les renvoyer à leurs chères études...
Supprimer(Quant aux commentateurs, hé bien j'avoue lire essentiellement Marchenoir chez vous.)
"Sans comprendre ce qui y est dit"
SupprimerC'est parce qu'on est bêtes.
"Je ne lis plus personne, tout le monde m'emmerde" (journal de Juillet).
C'est en effet une façon très claire et pas du tout ambigüe de dire que vous êtes fatigué et que vous n'avez plus la force de lire les commentaires, quand il y en a beaucoup, et même si vous aimez très forts les commentateurs.
"C'est amusant"
Tant mieux, ce serait dommage que cela vous attriste.
"...que ce petit paragraphe aller en foutre certains en rogne "
Pour quelqu'un qui s'est bien foutu de la gueule de Grandpas, tout récemment, parce qu'il avait mal conjugué le verbe "tirer" dans une citation, je trouve que vous ne manquez pas de souffle.
Bon allez, sans rancune j'espère. Vous avez quand même réussi à nous faire parler un peu de ce Journal, hein.
Sacré Marco, toujours un truc à dire, toujours à chercher la faille lexicale,
Supprimerqui viendrait donner raison à vos opinions.
Puis vos explications de texte dans lesquelles vous reprenez point par point,
on dirait un fayot qui fait un rapport à la maîtresse.
Sacré Pierre...
SupprimerComme fayot, ici, je trouve qu'on fait mieux.
Fayot dans le sens ou vos propos abondent dans le sens du gouvernement.
SupprimerQuand je dis que j'apprécie ce blog, ce n'est pas pour défendre une position
de pouvoir, contrairement à vous. J'apprécie les livres, les opinions de Didier,
mes propos l'illustrent et n'en ai que faire de savoir si je suis apprécié ou pas.
Vous me rappelez les glands avec qui j'étais en cours, qui avaient un gros balai
là où vous savez, et qui étaient de véritables porte-drapeaux de l'educ' nat'.
Toujours à rapporter au prof quelle connerie avait été faite.
Surtout, qu'est-ce que ça peut vous foutre que Didier m'apprécie ou pas.
Pendant un instant j'ai cru que vous étiez le frère de Rosaelle, en mission
pour le grand Social.
Pierre, vous vous rendez compte que je suis le seul qui vous parle ?
SupprimerOui, et alors?
SupprimerJe devrais m'incliner devant vous?
Je devrais vous dire que vous êtes trop sympa?
J'en ai rien à faire du paraître, de ce qu'on peut penser de moi, je l'ai déjà dit, je suis un idiot.
Je l'assume, et modère le nombre de mes commentaires quand l'auteur du blog fait sentir
son agacement.
Surtout, Didier, et d'autres, m'ont déjà fait l'honneur de répondre à quelques uns de mes commentaires.
Je ne sais pas ce que vous cherchez à démontrer à mon sujet, mais ça ne vous fait pas briller.
Vous traitez les gens de "crétin" et prétendez être un juste?
SupprimerIl n'y a que des bien-pensants pour traiter de "crétin", sur l'unique base
de pauvres commentaires.
N'importe comment, quand les commentaires se multiplient c'est souvent dû à ce que plusieurs intervenants s'engueulent. Ce qui est d'un intérêt relatif.
RépondreSupprimerLes commentaires sont par définition d'un intérêt relatif, il me semble. Je suppose qu'il n'y a pas grand monde pour s'attendre à y trouver la littérature de demain ou de profondes constructions intellectuelles.
SupprimerJ'oserais dire que les billets commentés sont eux-mêmes, le plus souvent, d'un intérêt tout relatif. Et c'est pour cela qu'on les soumet à commentaire. Vous imaginez Nietzsche ouvrir ses aphorismes aux commentateurs du monde entier ?
Mais il arrive assez souvent que certains commentaires soient bien meilleurs que certains billets.
Je me permets d'insister, car j'ai la faiblesse de croire que je n'étais pas particulièrement visé par Didier Goux. Et pourtant j'ai trouvé cette saillie inutilement blessante.
Si ça vous a blessé, c'est que Didier a visé un point sensible de votre personnalité.
SupprimerOn a remarqué que vous aimiez les lynchages collectifs.
Vous parlez des gens de manière défavorable, en prenant à partie les lecteurs.
"Hhooou, regardez, il a mis les doigts dans son nez...".
Dommage que vous soyez comme ça, car vous avez de la culture et savez faire preuve
de réflexion, mais votre ambition sur ce site est à peine déguisée..
"Mais il arrive assez souvent que certains commentaires soient bien meilleurs que certains billets."
SupprimerTout est dit, Monsieur Polo, et j'ajouterai cependant qu'ils sont d'autant meilleurs qu'ils n'ont aucun rapport avec le billet et n'y sont donc plus "relatifs" par définition. Le développement d'un commentaire n'est rien moins qu'un progrès vers un but. C'est une réinterprétation, un réajustement qui fait nécessairement que le "sens" et la "fin" antérieurs sont obscurcis ou complètement effacés.
que le " sens " et la " fin " antérieurs sont obscurcis ou complètement effacés. ... et
toute l'histoire d'une " chose ", d'un organe, d'un usage peut ainsi constituer une
... d'un organe, n'est dès lors rien moins que son progrès vers un but, et encore
Alors je vais enfoncer le clou, les atrabilaires misanthropes n'ont pas besoin d'admirateurs qui les entretiennent dans leur névrose, en revanche on peut, peut-être même pour leur bien, les titiller et même déranger leurs certitudes qu'autrui ne les vaut en rien, ni en lucidité, ni en intelligence, ni en civilisation, ni en esthétique.
RépondreSupprimerTout ça dans le but de nous faire commenter, en plus.
RépondreSupprimerEt ça marche !
Bon, Didier, quand allez vous enfin faire comme tout bon nauséabond qui se respecte, c'est à dire des listes ?
Parce que c'est le problème ici : les gens ne savent pas si vous les aimez bien ou non.
Et ça les perturbe.
Il nous faut des listes.
Remarquez, je dis ça mais je m'en fous, parce que je suis certaine que vous m'aimez bien malgré tout....allez, mais M, quoi, dites LE !!!!!!! ......Il ne dit rien ?......Oh et puis zut !
Mais oui, je vous aime ! Pfff ! les filles, alors…
SupprimerAu fond, de quoi vous plaignez-vous, les uns ou les autres ? De ce que, lorsque je rouvre mon ordinateur et que je trouve quarante à cinquante commentaires copieux sur un sujet qui ne m'intéresse que très moyennement, je ne prenne pas une heure de mon temps à les lire attentivement et à concocter une réponse à chacun ? Mais je signale tout de même que, pendant que je me détourne, la discussion reste ouverte, les commentaires libres, etc. Y compris lorsque, en effet, comme le dit Jacques Étienne, on se met ici à s'engueuler à propos de choses n'ayant plus le moindre rapport avec le billet initial.
RépondreSupprimerBon, moi je vous laisse avec Pierre, qui semble m'avoir pris en chasse.
RépondreSupprimerLe niveau devrait remonter.
Non, c'est moi qui me casse.
SupprimerEt Didier n'a jamais traité personne de crétin dans son journal.
Vous fantasmez que certains puissent accréditer ce que vous pensez
à mon sujet.
Désolé Didier pour le nombre de messages.
Je ne peux m'empêcher de me "trollifier" face à des gens comme ça.
Vous savez que vous êtes très drôles, tous les deux ? (et en plus "casse" rime avec "chasse") On se croirait dans Le grand détournement (Dean Martin et Sinatra).
SupprimerGato
SupprimerT'as été piqué par la mouche de la poésie ces jours-ci ?
Tu ne penses qu'à ça. La poésie semble avoir remplacé Nadjat ! Ca va pas du tout, ça !
C'est la faute à Baud'laire !
Supprimer(si je m'attendais à ce qu'on me dise un jour "tu ne penses qu'à ça" à propos de la poésie !)
Je trouve que les rapports bloggeur/commentateurs mériteraient une étude plus approfondie.
RépondreSupprimerY a-t-il un sociologue ici qui pourrait se dévouer et plancher sur la question ?
Ou un psy d'obédience freudienne ?
Non ?
Un journaliste de BFM ? Au pire ?
Comme je comprends Didier Goux !
RépondreSupprimerComme les commentaires sont imbéciles !
Comme ils sont pesants ! Collants ! Insistants ! Désoxygénants !
Eh bien Georges ! Une petite déprime ?
SupprimerMesdames, Messieurs les blogueurs, il faut fermer les commentaires et tout ça s'arrêtera. Les seuls visiteurs qui vont encore chez Georges, à part moi bien entendu, viennent pour les poils et pour voir s'il a rouvert les commentaires. Fermez les commentaires Monsieur Goux et vous verrez le calme s'installer sur le net. Les longues soirées d'apéro prolongé. Ou alors ouvrez des blogs de commentaires sans billet prétexte ou alors continuez ce que vous faites très bien : de la production de signes. Incitez également tous vos amis à fermer les commentaires. D'ailleurs fermez les blogs ! Passez à l'action avec les philosophes de la Réserve ! Exhibez-vous en vrai dans la rue, dans les jardins publics. L'élégance des voyeurs, au moins, c'est de ne pas commenter.
Xyr a fermé son blog. Quelqu'un avait-il quelque chose à dire de plus ?
Xyr passe son temps à fermer un blog, avant d'en rouvrir un autre. Je crois qu'il tente de battre le record de faux adieux à la scène détenu par Maurice Chevalier.
SupprimerMdrrrr Spice de Petula, va !
SupprimerNan, lèche cul !
SupprimerMoi je lis et j'apprécie tous les billets de Georges. Et c'est bien que les commentaires soient fermés.
Un blog sans commentaires, c'est comme un koala sans catapulte : c'est mignon, mais ça sert à rien.
RépondreSupprimerTrès joli ce pseudonyme ! Merci, monsieur, mais votre pseudo à vous, euh, ce n'est pas terrible franchement.
RépondreSupprimerJe suis d'accord avec Dame Crevette, je raffole des commentaires de Robert M., de leur pertinence,et de leur style.
Sinon : merci pour votre "journal" de juillet, Didier, il se lit comme on boit une flûte de champagne !
On dirait que ce n'est pas l'avis de tout le monde…
SupprimerChère Minnie Anna, l'incipit prépare la chute. Comment introduire autrement ce "C'est un trou noir où même la langue se perd."
SupprimerJe pense que c'est plutôt un signe de santé mentale de ne pas lire la totalité des commentaires !
RépondreSupprimerVu la régularité de production de billets, vu les occupations professionnelles du taulier, vu son appétit de lecture, il serait tout simplement suicidaire de lire l'ensemble des commentaires, et d'y répondre n'en parlons pas !
Il y a peut être un type dans la blogosphère capable de faire ça, je crois qu'il vit quelque part en Russie (au Kremlin, si j'ai bien compris), une sorte de stakanoviste du blog.
C'est un peu comme si le Père Noël s'amusait à répondre à tous les enfants, comme si Justin Bieber lisait le courrier de ses fans...
Ah, si j'en profite puisque je sais que le taulier ne lit pas les commentaires, le dernier billet de Georges est assez drôle. Enfin, je devrais plutôt dire : j'ai lu le dernier billet de Georges, j'ai ri.
RépondreSupprimerJe ne sais pas comment tout cela va finir. Il m'arrive d'avoir des intuitions, mais je ne sais pas si elle me concerne en particulier.
Peut on parler d'autre chose que de soi même ?
Tiens, nos commentaires se sont croisés !
SupprimerJ'ai lu. "Plutôt mort que sympa" ? Bof. N'importe comment, il n'a pas le choix :le premier qualificatif viendra inéluctablement et le deuxième n'est pas à sa portée.
SupprimerJe ne le connais pas bien mais ses mots semblent être ceux d'un homme seul.
SupprimerJe me trompe peut-être...
Il y a quelque chose de tragique chez Georges.
SupprimerDG avait plus que de la sympathie, de l'affection, pour cet homme là qui semble posséder bien des talents. Sauf celui de vivre. C'est un ulcéré de la vie.
Ce n'est pas POSSIBLE ! Le jour où Didier Goux conchie ses "propres" commentateurs vous commentez ici un billet de Georges (qui a "fermé" ses commentaires) traitant du "commentaire de bloge", allant même jusqu'à commenter Georges lui-même, ses talents, ses ulcères, ses solitudes ! Mais vous êtes fous, vraiment, à faire peur !
SupprimerOui nous le sommes.
SupprimerAutant le savoir une bonne fois pour toutes !
Permettez moi, cher Didier, de rebondir sur un récent billet que vous consacrâtes aux fabricants de paniers tressés mangeurs de hérissons (hérisson qui est l'oursin du nomade d'Europe Centrale comme chacun sait).
Valeurs Actuelles leur consacre aujourd'hui un article fort interessant.
On notera que l'auteur de l'article dit sensiblement la même chose, avec des mots à peine moins crus, que l'insane fredi.
"que ceux de l'insane fredi", commentateur épuisé.
SupprimerEn même temps non, point besoin de correction, la phrase était correcte, faisait sens.
Supprimerfredi, commentateur véritablement épuisé.
Merci à la Crevette et à la Minnie de Pluto.
RépondreSupprimerJ'opère dès demain un sévère remontage de bretelles à l'endroit de mon attachée de presse : j'apprends en effet le funeste épuisement du stock de photos dédicacées destinées à mes Marchenoirettes.
Tout fout le camp! S'il n'y a même plus de photos dédicacées pour vos groupies!^^
Supprimer("Marchenoirette"? Très mignon, je suis flattée!^^)
Robert, à partir du moment où vous ne vous attaquez pas à l'envers de votre attache de presse, Nadjat n'a pas à être alertée.
SupprimerattachéE, corrigé-je.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerBon Robert !
SupprimerC'est quoi au juste le libéralisme ?
Ca dépend, Fredi. Vous avez deux heures devant vous ?
RépondreSupprimerEt bien d'avantage !
SupprimerJe vous écoute.
SupprimerBon ben demain peut-être.
Quand vous aurez fait le tri dans vos notes.
Eh bien moi, je n'ai pas deux heures à disposition pour vous "expliquer le libéralisme", figurez-vous. J'ai déja passé des centaines d'heures à le faire (pour compter juste).
RépondreSupprimerDonc, si ça vous intéresse vraiment, vous vous prenez par la main, vous allez sur un truc qui s'appelle Google, vous cherchez des sites pédagogiques libéraux, il y en a de très bien faits, et vous pouvez même aller dans une chose qui s'appelle une bibliothèque, ou une librairie, et vous pouvez même acheter des livres à distance et le monsieur vous les glisse sous le paillasson -- pour ne pas parler des bases de données en ligne qui offrent des dizaines de milliers de livres complets gratuits.
Le moins qu'on puisse dire est que vous avez l'embarras du choix.
Si vous tenez absolument à lire ma prose sur le libéralisme (mais j'en doute), vous la retrouverez aisément à travers l'un des douze mille moteurs de recherche gratuits qui vous tendent les bras sur le Web.
C'était ma première leçon de libéralisme pour vous : il ne faut pas tout attendre d'autrui dans la vie. Pour progresser, il faut faire des efforts par soi-même.
Vous pouvez maintenant passer aux travaux pratiques.
Et les leçons sur le racisme, vous les donnez quand?
RépondreSupprimerAh ! Je suis déçu ! J'aimais bien la tournure nette et juste du clou enfoncé plus haut. Là, ça sent le Léon.
SupprimerJe ne me pose même pas la question de savoir si je fais partie des "bêtes" qui commentent, je me contente de "demi-folle".
RépondreSupprimerCa suffit largement à mon bonheur.
Et d'ailleurs, depuis, je ne viens plus sur ce blog.
"Et d'ailleurs, depuis, je ne viens plus sur ce blog."
SupprimerSi vous ne venez plus sur ce blog, il semble que Léon (Alias Ludovic Rosaelle et Lèche cul) soit de retour…
Mince alors, cela se bastonnait tranquille et moi je travaillais, ben oui môssieur, un fonctionnaire cela travaille, n' en déplaise à Marchenoir.
RépondreSupprimerJe constate avec tristesse qu'il n'est plus possible de venir commenter sur ce blog. Si un roquet doit venir nous mordre les mollets dès qu'on essaie de s'exprimer, ce n'est plus drôle, c'est même éprouvant, et ce qu'on a à dire ne mérite certainement pas de surmonter cette épreuve.
RépondreSupprimerBonjour Marco,
Supprimerdésolé pour les mots que j'ai eus hier.
Je ne pense pas qu'ils aient eu le pouvoir de vous heurter.
Encore une fois, je m'enflamme, ne contiens pas ma connerie,
et ça pollue grave..
Voilà, bonne journée, en espérant que vous ne m'en tiendrez
pas rigueur.
Marco, ce n'est pas nouveau ça ^^
SupprimerC'est pas dérangeant.
On ne le dira jamais assez, mais le libéralisme c'est un vrai aspirateur à minettes (voir plus haut).
RépondreSupprimerSi ça se savait on n'aurait pas de mal à convertir la jeunesse de France (enfin, au moins la partie masculine).
Je vois le slogan d'ici :
Toi aussi tu veux pécho?
Rejoins les libéraux!
Le libéral est-il riche?
SupprimerNon seulement le libéral est riche, mais il est beau, sexuellement inépuisable, et capable de lire La critique de la raison pure dans le texte.
SupprimerElles tombent comme des mouches.
Aristide, vous avez bien brossé votre portrait.
SupprimerEn plus, il a une très beau manoir dont la pièce principale est une bibliothèque.
Mais je parlais de vous, pas de RC !
Et ça continue...
RépondreSupprimer…de plus belle…
Supprimerj'aime bien le slogan ravageur d'Aristide !
Version dames:
"toi aussi, tu veux des chipendâles ?
Rejoins les libérales !"
Bon, je vous laisse et soyez sages, pas de sang sur les murs
SupprimerAllez pour détendre l' atmosphère.
http://www.youtube.com/watch?v=saZZZRcDxsc
Je vous souhaite le bonjour à tous
La mort du Logos, Georges, la mort du Logos ! Mais, mis à part Monsieur Polo, qui exerce ici des fonctions très officielles de philosophe public en charge de l'édification des masses et quelques autres sergents-recruteurs, tout le monde s'en branle, non ? Vous attendez quoi, ici ? Toute cette merde commune, ce marigot comme vous disiez, n'est-ce pas rassurant de s’y croire surnager, délicat nénuphar à l’étrave redoutable ? Bien-sûr que le Polo reviendra, comme Carine, comme vous, comme moi mettre sa petite pièce dans le bastringue et baisser la manette. C'est carnaval tous les jours ici, ailleurs aussi, comme chez vous avant. Masques et plumes. Faux-nez, faux-culs, vrais pseudonymes, faux-semblants, bobos mélancoliques, babas alcooliques… Ici ce n'est pas la fin du Logos, Georges, c'est son triomphe ! Sur l'apparence à quoi le réel prétend nous recroqueviller, sur la viande qui se dérobe mais dont nous pouvons encore choisir les mouches. Georges tant qu’on peut écrire, MEME DES CONNERIES, on n’est pas mort, on vit encore un peu de cette vie restreinte, par procuration qu’on appelle le commentaire. Sauf Monsieur Polo (par définition) qui ne commente pas, lui il édifie. Hors de quelques créateurs – dont vous êtes encore un peu ?-, TOUS les autres commentent, ne font que commenter ! Jusqu’à la mort ! Laissez-nous ça ! Le reste des « actes de la vie » ne mérite même pas d’être mentionné. Voyez le journal de Didier Goux. R.A.S
SupprimerHé bin ! Pas mal !
SupprimerC'est pas du Léon, ça.
Ca y ressemble en tout cas, le même style, et le mêm que chez Rosaelle…
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
SupprimerVous avez l'oeil monsieurY. Et sur trois générations sûrement. Le grand-père était un aigle, le père un faucon...
Supprimerle père un faucon...
SupprimerOu un vrai… allez savoir…
C'est dans le journal de Didier que j'ai appris l'existence du verbe "alentir".
RépondreSupprimerMoi, simple mortel, je ne connaissais que "ralentir".
Ben, rien que pour ça, mais pour bien d'autres choses aussi, je trouve ce journal "savoureux".
L'écriture est thérapeutique mais sa lecture fait du bien, aussi.
Quant à ceux qui ne veulent pas se soigner, personne ne les force, qu'ils aient voir ailleurs !
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
SupprimerAaaaaaaaaaaaaaaah !!
RépondreSupprimerN'est-il pas formidable notre Georges ?
Comment disiez-vous déjà Didier ? Il critique la bloge et ses commentateurs mais s'y vautre à longueur de journée ou quelque chose comme ça.
Pour le pathétique il est plutôt bien servi notre ami.
Quant à l'humour, Georges en serait plutôt carencé.
Bof...on s'en fout non ?
Puissions nous, JE et moi-même ainsi que ceux qui se sentiront visés par ses diatribes, lui servir de miroir.
SupprimerDésolé, mais ce n'est pas moi qui ai dit cela.
SupprimerSi.
SupprimerDans un billet que vous avez ensuite supprimé et dans lequel vous regliez quelques comptes avec lui.
Quoiqu'il en soit ça n'a aucune importance.
Nous doutons désormais du fait que Didier Goux lise nos coms...mais il est absolument certain que Georges lui, le fait ( enfin, ici , et en tout cas hier ^^).
RépondreSupprimerJe précise que je ne dis pas cela pour me ramasser une châtaigne, voire un marron.
Très drôle le clin d'oeil au beurre noir!
Supprimer