samedi 3 novembre 2007

Achevons Clausewitz

La facteuse m'a gâté, ce matin, m'apportant trois livres provenant de chez Mme Amazon : deux de Katherine Mansfield (journal et nouvelles) et le dernier de René Girard : Achever Clausewitz. Je meurs évidemment d'envie de me jeter sur le dernier cité, si bien que je termine à bride abattue les Cent-Jours, pressé d'expédier l'autre zouave à Sainte-Hélène - ce qui n'est pas très gentil pour ce pauvre Joseph Roth, qui s'est donné bien du mal sur ce roman, et qui va sûrement trouver là une excuse pour boire encore davantage.

Et tu verras que ce sera encore de ma faute...

2 commentaires:

  1. En parlant de livres, je n'ai toujours pas dépassé la page 40 de Mensonge romantique et vérité romanesque, que vous m'aviez conseillé, si vous vous en souvenez... Problème de temps, tout simplement, vous m'avez refilé un bébé empoisonné, c'est hachement intéressant, mais hachement contraignant, surtout : faut être concentré et pouvoir se poser plusieurs heures d'affilée (ce qui n'est pas compatible avec ma vie ici, visiblement...). Parce qu'entre Jacques Ier (qui en vrai s'appelait James, d'ailleurs) Michel Duchein, l'histoire d'Angleterre de Bernard Cottret, Elisabeth Ire de je sais plus qui, les Crudities de Coryate (que j'ai enfin terminées le dernier week-end)... Oui voilà, je suis sûre que vous voyez ce que je veux dire (surtout qu'il ne faut pas oublier de manger, boire et aller en cours).

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  2. Les études et la bière d'abord ! René Girard peut bien attendre encore un peu. D'autant que vous avez raison : il s'accommode assez mal d'une lecture trop fragmentaire.

    Gardez-le pour les vacances...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.