mercredi 26 septembre 2012

Même le Nouvel Observateur a légèrement tiqué


« Hier matin, le quotidien suédois «Dagens Nyheter» publiait une interview du rappeur suédois Behrang Miri, qui occupe le poste de directeur artistique à la Maison de la Culture de Stockholm. Il y annonçait son intention de faire retirer les albums de Tintin des rayons jeunesse de la bibliothèque de l’institution. » 


Évidemment, le premier réflexe de tout homme normalement constitué, ou à peu près, est d'éclater d'un grand rire sardonique et de se resservir un pastis dosé comme pour un légionnaire ; ensuite de se dire qu'il a vraiment tout d'un asile pour déments et demeurés, ce monde où l'on peut sérieusement, non seulement envisager de nommer un rappeur directeur artistique d'une Maison de la Culture, mais en plus le faire.

20 commentaires:

  1. Je ne suis pas vraiment certain que cela me fasse rire…
    On devrait appeler ça, là-bas comme ici, Maison de la déculturation…
    En tous cas pour Tintin c'est rapé…

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  2. Va falloir être vigilants, les amis. L'obsession de politiquement correct-pas-de-vagues-ne-discriminons-pas gagne du terrain. Si un gugusse allumé, rappeur par dessus le marché se mêle d'interdire Tintin, on n'est pas loin de foutre au trou quiconque lira des bouquins.
    Parce qu'on rigole, on rigole, mais que ce genre d'ayatollah devienne directeur artistique d'une maison de la culture, ça montre tout de même qu'on nage en plein léchage de bottes à la gloire des" arts urbains", rap, tags et autres horreurs. Tout ça parce qu'il faut s'extasier sur la créativité débordantes des "jeunes de banlieue". Donc Tintin et son bon vieux côté petit blanc propret, forcément, c'est insupportable.
    Quant aux accusations de sale raciste, elles me font bien marrer: tout le monde ou presque était raciste dans les années 30. C'était dans l'ordre des choses, de même que tous les Français et les Belges de cette époque trouvaient normal qu'on s'en soient allés coloniser par-ci, par-là. Il faut être complètement ignard, ou très démago, pour ne pas comprendre ça.

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  3. Déjà, un directeur artistique dans une maison de la culture, y'a un problème.

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  4. Il a l'air très sympathique pourtant ce suédois.

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  5. N'importe comment, les Suédois, hein...

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    1. Et je vous dis pas les Suédoises...

      http://bit.ly/VKdfBM

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    2. Et pourtant elle devrait vous plaire, Robert, cette jeune Suédoise. Voici l'un de ses propos présentés sur la page de votre lien :

      "Pour moi, en tant que libérale, il est très important que (les gens) sachent qu’ici, ils ont des possibilités et des avantages, mais aussi des obligations et des exigences", explique cette mère de famille mariée à un Suédois.

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    3. Pétard! les suédoises ne sont plus ce qu'elles étaient...
      Peut-être devrais-je aller au Congo si je veux pouvoir admirer des blondes sculpturales.

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  6. Il manque aux Suédois quelques chose comme un, voire deux Breivik.

    Si le monde est fou, ce n'est hélas pas au sens que l'entendait Julio Iglesias. Mais le monde n'est pas beau de sa folie, il est d'un vert qui sent le putride à l’œil et au nez. Et les nauséabonds, paraît-il, c'est nous... N'est-ce pas G.-W. Goldnadel qui récemment mettait dans le même sac Millet, Breivik et les islamistes, les obsédés de pureté ? Fourrons-y la Suède, fermons le sac et jetons-le en Seine.

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  7. Eloge littéraire de Behrang Miri,par Christine Angot.
    Bientôt dans les Inrockuptibles.
    rocardo

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  8. On devrait le mettre dans une marmite et le faire cuire pour qu'il soit bouloter par quelques indigènes en manque de leur culture locale.

    Quel crétin , ce gugusse là!

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  9. Merci de nous faire partager cette info aussi noire que les bruits de barbes qui enflent un peu partout sur le continent. Les commentaires délicieux sont emplis d'humour, certes teinté de jaune ! Il n'empêche, ça fait froid dans le chaudron.

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  10. D'un autre côté, n'oublions pas que les Suédois ont créé les Volvo !

    (Alors que ces cons de Norvégiens roulent encore en fjord…)

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  11. Un rappeur occupant un poste de directeur artistique, soit.

    Mais le jour où on mettra des "agents d'ambiance" au poste de chirurgien-chef et des "coordinateurs petite-enfance" comme commandant de bord... là, et seulement là, ça commencera sérieusement à gueuler.

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    1. Et je vous raconte pas le jour ou l'on mettra un président normal à la place d'un autre…

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    2. Rassurez-vous.

      Vous auriez pu hériter d'une présidente norvégienne (et non pas suédoise, certes)... mais les urnes ont accouché d'un petit Batave dont la cote de popularité est encore plus basse qu'un polder.

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  12. Ce genre d'événement suédois n'est plus une exception ; c'est devenu très ordinaire. En fait, on se moque beaucoup d'eux parce qu'on les imagine encore grands, blonds, nus dans des peaux de bêtes avec un hareng mariné dans la main gauche et un roulement à billes dans la droite... Mais qu'on se le dise : les Suédois n'échappent pas – au contraire – à la batardisation raciale et à la corruption culturelle. Ils sont déjà aussi avilis que des Allemands, des Néerlandais ou des Français. Les fleurons suédois disparaissent les uns après les autres (Volvo, Saab, Ikea...), la sociale démocratie n'a retenu que le pire du libéralisme économique, tout en maintenant une pression fiscale formidable sur les contribuables, les aides aux parasites se portent bien et l'islam prospère, merci pour lui. Il faudrait un bataillon de Breivik pour sauver ce qui reste de bon en Suède (l'aquavit, les élans, les forêts, les trolls et les blondes). J'ai vu ce pays extraordinaire sombrer dans le grand n'importe quoi à la fin des années 70, époque contemporaine d'un débarquement massif d'immigrés hyper-assistés et déjà rebelles à l'identité indigène. De toute manière, la Suède a cessé d'exister quelque part entre la fin du XVIIe et le début du XVIIIe..

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  13. C'est plutôt le rap, ce vomi sonore, qu'on devrait interdire, et qui est d'ailleurs souvent chargé de haine anti-blancs.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.