samedi 5 octobre 2013

Que crèvent les libraires et que retombe leur sang sur la tête de leur descendance !

La librairie telle qu'on l'aime
Cet après-midi, parce que je refusais de me transporter jusqu'à l'un de ces vide-grenier idéologiques que, par une sorte de passéisme touchant, on s'obstine à appeler encore des librairies, j'ai commandé quatre livres chez Amazon. Tout ce que je cherchais se trouvait en rayon, c'était merveille ; j'ai pu flâner dans les allées sans qu'un semi-clodo barbichu ne me poursuive de ses assiduités pseudo-littéraires afin de me fourguer le “coup de cœur des libraires”, savoir le premier roman d'une jeune militante associative racontant dans une langue volontairement simple et proche des gens la rédemption d'un brigadier de la P.A.F. jusque-là tenté par le vote F-Haine et tombant amoureux d'un transsexuel tamoul, arrivé de la veille au centre de détention pour sans-papiers dont lui et ses camarades assurent la porosité (titre de l'œuvre : La Chaude Lumière de l'Autre.  En lettres blanches sur le rouge du bandeau : L'Amour plus fort que les tabous) ; arrivé à la caisse dénuée de file d'attente, j'ai eu la bonne surprise de constater que l'hôtesse en était muette, ce qui ne l'a nullement empêchée de m'accorder avec un gracieux sourire une remise spontanée de 5 % ; j'allais prendre mes livres sous mon bras droit (de la main gauche je cherchais ma clé de bagnole) lorsqu'un hologramme de jeune homme issu de la majorité invisible m'a fort courtoisement signalé que je n'avais pas à me donner cette peine, puisque la maison se ferait un plaisir de les livrer gratuitement à ma porte dans les meilleurs délais – et tout cela sans la moindre “musique” de fond, ni de ces conversations claironnantes entre simili-lettrés, qui sont parfois drôles dans les films de M. Allen mais toujours éprouvantes dans les vide-grenier idéologiques. 

Très content de moi-même et du monde, je me suis fait le serment de ne retourner dans une librairie ou une autre que le jour où l'on contraindrait – par la force si nécessaire – leurs tauliers à revêtir de ces charmants petits pulls sans manches orange fluo qui me semblent être l'avenir de leur profession. Sinon, qu'ils crèvent.

46 commentaires:

  1. tiens, si je prends ce billet au second degré, ce qu'il me semble être, je pense que nous sommes d'accord.

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    1. Il l'est en partie, en partie seulement. Je suis un inconditionnel d'Amazon et de plus en plus de libraires "nouvelle génération" m'horripilent, qui se prennent pour des critiques, des penseurs, des prescripteurs, etc. Donc, il n'est pas sûr que nous soyons d'accord. Mais on a déjà vu des choses plus surprenantes…

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    2. Putain ! Si vous êtes d'accord, je vais vous dénoncer aux conseils de l'ordre.

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  2. S'il n'y avait que des gens comme vous, il y a beau temps qu'on ne voyagerait plus en diligence. J'espère pour le salut de votre âme que vous en avez honte.

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    1. Vous me désignez sciemment à la vindicte des cochers ?

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  3. Comment ça, il y a des gens (avec des bras, des nez, des sourires et pis tout ) et en plus même pas gauchiste, ni sensible ?
    C'était un cauchemar mon ami, réveillez-vous !

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  4. Et quand il y aura en librairie un livre de M. D*** G*** , n'irez-vous voir ?

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    1. J'espère résister à cette gaminerie ! De toute façon, il n'y a aucune librairie digne de ce nom à Évreux ni à Vernon ; à ma connaissance en tout cas.

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  5. On voit que vous ne connaissez pas la librairie Mollat à Bordeaux ou l'Ombre Blanche à Toulouse.
    On peut aussi y passer des heures sans ressentir ce que vous décrivez, ce qui n'empêche pas que ce soit possible ailleurs.
    Et il y a une chose que l'on ne ressent pas, ou plutôt l'on ne sent pas chez Amazon, c'est l'irremplaçable odeur du papier. Car acheter un livre chez un libraire, c'est aussi un acte sensuel. Le toucher, le feuilleter, le retourner, consommer quelques phrases, le remettre en rayon et faire demi-tour cinq minutes après pour finalement le choisir, et même parfois pouvoir suivre discrètement Michel Onfray pour voir en loucedé quelles thématiques il consulte, c'est un bonheur rare.

    Duga

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    1. Imaginer que je pourrais surprendre Michel Onfray consultant des thématiques suffit à me faire froid dans le dos !

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    2. Il y a une chose que l'on ne ressent pas, ou plutôt l'on ne sent pas plus chez Amazon que chez les libraires, c'est l'irremplaçable odeur des tablettes de cire sur lesquelles les Sumériens gravaient les premiers textes écrits (ah, toute ma jeunesse...).

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    3. Votre réponse me confirme que vous êtes bien un attardé.

      Duga

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  6. Si je peux me permettre, Monsieur Goux :

    http://divanfauteuilgargoulettepsychanalyse.blogspot.fr/

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  7. En cherchant sur un meta moteur de recherche de livres, (http://www.vialibri.net/ ) je découvre des descriptifs qui font passer libraires d’anciens et bouquinistes pour des arsouilles ignorants, et certes cela arrive, mais ces « perles » ont toutes été cueillies sur Amazon.
    Le tir groupé Amazonephile (Didier Goux – Jacques Etienne – Lady Waterloo) me pousse à rappeler que la concurrence des prix se trouve tout autant sur les sites de libraires professionnels d'ancien et d'occasion et que ceux-ci sauvent de la décharge des livres qui ne seront plus édités.
    Pour les émotions bibliophiliques – envois – photos – dessins – notes – tirages limités et beaux papiers – lettres trouvées entre les pages, ces obscurs, ainsi que les plastronnant, méritent qu’on ne leur tourne pas le dos.
    http://www.marelibri.com/
    http://www.abebooks.com/

    P.S: Oui, à Dugas des Olé.

    Majeur




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    1. Bon, je vous publie celui-là, mais si vous pouviez éviter ce type de commentaire, à l'avenir…

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    2. Robert Marchenoir6 octobre 2013 à 16:39

      Abebooks, un très bon site, portail de libraires d'ancien, appartient désormais à... Amazon.

      Les annonces que vous citez viennent de la "marketplace" d'Amazon. Ces livres ne sont pas vendus par Amazon, mais par des vendeurs qui utilisent ses services. Ils appartiennent à des catégories très différentes : particuliers qui vendent leurs propres livres, libraires qui vendent des livres neufs, soldeurs, marchands de livres d'occasion au kilo, entreprises du monde entier qui vendent au monde entier (d'où les traductions approximatives), et, pour une partie seulement, ce qu'on appelle en France libraires d'ancien ou bouquinistes, dont l'habitat naturel est plutôt Abebooks.

      Il est exact qu'on trouve sur Amazon (ainsi que sur d'autres sites) des livres d'occasion à des prix extraordinairement élevés, non justifiés par l'intérêt ou la rareté de l'objet, très au-dessus des prix du marché. Je n'ai jamais compris d'où ça venait : erreur suite à un prix établi par logiciel ? stratégie délibérée consistant à se dire qu'il se trouvera bien, au bout d'un certain temps, un connard pour acheter un livre à un prix qu'il pourrait trouver bien moins cher ailleurs, la marge ahurissante compensant le délai de vente ?

      Notez qu'on trouve aussi des livres à des prix extraordinairement bas, du genre 0,01 dollar. En pratique, vous ne payez que les frais de port, eux aussi très modérés. Ces offres viennent souvent des Etats-Unis ou d'Angleterre. Notez bien que je parle de frais de port internationaux, pour se faire livrer en France. J'ai ainsi acheté des livres très lourds, expédiés d'Amérique, pour une bouchée de pain livraison comprise.

      Ce phénomène existe aussi pour d'autres produits. On peut acheter, sur Amazon, des câbles USB à 1 € en Angleterre (soit 5 à 10 fois moins cher que le prix habituel), et se les faire expédier en France pour 1 euro de plus. Je parle de produits neufs, bien entendu.

      L'opération est impossible en sens inverse, et même de France vers la France.

      Cela montre bien à quel point le "service public" de la poste françouése se gave outrageusement. Ces affaires ne sont possibles que parce que les postes britannique et américaine (l'une comme l'autre peuplées de fonctionnaires -- ce sont des services publics tout comme nos glorieux PTT) proposent des tarifs très avantageux aux commerçants sur Internet. Il n'y a pas d'autre explication possible.

      Rien que pour ça, il est souvent plus intéressant d'acheter, sur Internet, à l'étranger qu'en France. Et je ne parle même pas du prix des produits hors frais de port, qui bénéficient d'impôts, de taxes et de cotisations sociales moins élevées.

      J'achète mes sacs d'aspirateur en Angleterre. Ils me coûtent deux fois moins cher qu'en France. Et ce sont des sacs de luxe, sur lesquels le fabricant s'est déjà gavé...

      C'est ainsi que le sévice public de la Poste, non content de nous casser les couilles avec ses tarifs, son mépris du client et ses voleurs-fonctionnaires incrustés dans les centres de tri, sabote le e-commerce français en rendant plus avantageux, pour des consommateurs français, le fait d'acheter à des entreprises étrangères, plutôt que de transporter de la marchandise de Clermont-Ferrand à Trifouillis-les-Arpouètes.

      Il y a queqlues jours, un postier s'est fait à nouveau choper dans la région parisienne, après avoir volé pour 16 000 euros de marchandises en une seule année. Il a expliqué aux flics qu'il avait été stupéfait de constater l'absence de toute surveillance ou mesure de sécurité dans le centre de tri où il travaillait. C'était open bar, il s'est servi.

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    3. Merci Majeur

      Enchanté
      Duga

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    4. Marchenoir,

      Il y a de moins en moins de fonctionnaire dans l' entreprise La Poste réveillez mon vieux, il y a belle lurette que les Postes Télégraphe et Télécommunication ne sont plus.

      Il y a des brebis galeuses partout, je viens d'en être victime,une lettre suivie qui ne m'est jamais arrivée,quand la dame du service des réclamations a commencé à ma la jouer un peu trop professionnelle, je lui rabattu son caquet en lu démontrant comment fonctionné notre glorieuse entreprise.en 2012 il y a eu plus de 200 renvois et révocations d'employés de La Poste.

      Nul n'est parfait.

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    5. Pourquoi ne proposeraient-ils pas les livres classés par ordre de prix, en commençant par les livres à 0,01 dollar ?

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    6. Vous avez bien compris que mon intervention concerne les vendeurs de livres ancien et d’occasion sur Amazon qui vous vantent leur qualité d’emballeur professionnel en étant infoutu de décrire correctement le livre qu’il vous propose à un prix insensé. Alors que quelques clics, même sur Amazon, permettent de situer une fourchette de prix pour une « 134° édition » loin de cette escroquerie et que l’on trouve un exemplaire à 6 euros en parfait état sur un étal de foire aux livres.
      Ce type de comportement est exceptionnel sur les sites de libraires professionnels et ne dure pas longtemps. La démesure y est trop flagrante, à moins que cela ne soit dû à la honte.
      Me chagrine l’ouverture sur Amazon à n’importe quel amateur, qui ayant récupéré un carton de livres s’affuble du nom de libraire et fait passer cette profession pour un rassemblement d’aigrefins. C’est tout aussi crispant que ces professionnels qui n’ont pas pris le temps d’apprendre leur métier.
      Des livres à 0.01 dollar, c’est mieux que les livres à 1 euros dont nous nous sommes entretenus il y a plusieurs mois ici même !

      Majeur

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    7. Robert Marchenoir7 octobre 2013 à 13:32

      @Mildred
      Pourquoi ne proposeraient-ils pas les livres classés par ordre de prix, en commençant par les livres à 0,01 dollar ?

      C'est bien ce qu'ils font ! Allez donc voir...

      @Majeur

      Mais tout l'intérêt d'Amazon est précisément d'admettre n'importe qui. C'est bien ce qui permet l'ampleur du choix, qui est fondamentale pour les clients comme chacun sait, ainsi que les économies d'échelle, qui permettent à Amazon de proposer le port gratuit et d'offrir un service exceptionnel.

      Quand je dis n'importe qui, ça veut dire qu'il n'est pas nécessaire de présenter un diplôme de libraire françoué, écrit sur parchemin, prouvant qu'on a une échoppe à Saint-Germain-des-Prés depuis le XVIème siècle, qu'on est spécialiste en poussière et en odeur de livres, et qu'on est champion pour faire la gueule au client en lui faisant comprendre qu'il n'est pas digne d'acheter chez vous.

      Et c'est une excellente chose.

      En revanche, Amazon fait très attention au respect, par les vendeurs, de leur contrat, de la rapidité d'exécution des commandes, de la satisfaction des clients, etc. Si vous êtes malhonnête, si vous êtes bordélique, vous vous faites lourder assez vite.

      Evidemment, ce sont des critères qui font tout bizarre pour un marchand français.

      Mais je vous jure que, pour un client (enfin pour un client normal, pas pollué par l'idéologie française), c'est fondamental.

      Pour le reste, c'est au client de bosser. C'est pas un service public, la librairie. A vous de choisir les marchands qui vous conviennent.

      Je me souviens d'un "libraire d'ancien" chez lequel j'allais régulièrement, et auquel j'ai demandé, une fois, s'il avait un livre particulier. Il était en train de déplacer un étal. Il m'a répondu : "Un moment, on n'est pas chez Franprix, ici !". J'ai failli lui répondre que c'était bien dommage. Comme je suis un garçon poli, j'ai préféré ne plus mettre les pieds chez lui.

      Je suppose que si ses affaires battent de l'aile, il doit être encore en train, à l'heure qu'il est, de hurler contre l'ultra-libéralisme et l'appât du gain des gros capitalistes.

      Vous avez bien tort de vous gausser des emballeurs. La qualité de l'emballage est un critère fondamental dans le e-commerce. Et en particulier pour les livres, qui peuvent être facilement cornés, égratignés, bugnés, etc.

      Le gros capitaliste américain ultra-libéral Amazon qui fraude le fisc et qui écrase la belle librairie française (et son prix unique) a un service après-vente absolument exceptionnel. Aucun marchand français, gros ou petit, de luxe ou populaire, en dur ou sur Internet, ne lui arrive à la cheville pour le respect du client, l'empressement à le satisfaire et les efforts développés pour le garder.

      Mais c'est précisément ça qui défrise les Français : le commerce, c'est péché. Satisfaire le consommateur, c'est mal. Ce qui est bien, c'est de rendre le shopping le plus désagréable possible. Pour acheter, il faut souffrir.

      Et après, ce sont les franchouillards qui accusent les Américains de puritanisme...

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    8. Mais c'est ce qu'ils font Mildred. Sur Amazon les offres sont classées par ordre de prix, à l'intérieur d'une même catégorie (neuf/occasion).
      J'ai acheté beaucoup de bouquins (et de CD) d'occasions de cette manière. Presque jamais de mauvaise surprise.
      Sans compter bien d'autres choses difficilement trouvables en France, et pour beaucoup plus cher.

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    9. @Grandpas. Il y a peut être de moins en moins de fonctionnaires à la poste (idem à Air France) mais l'esprit (mauvais esprit diront certains) subsiste... C'est ça le pire...

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    10. @Robert Marchenoir

      Je ne me gausse pas des emballeurs que j'estime sincèrement, mais des "libraires" qui croyant exercer un métier étalent les compétences d'un autre domaine.
      Il n'est pas besoin de diplôme même sur parchemin, bien que voici quelques années l'Université, de Montbéliard il me semble, avait sondé la profession sur un diplôme Universitaire de libraire d'ancien. J'espère que le projet a été oublié. Sinon d'ici peu apparaitront des gentils savants, peut- être en gilet orange, aux connaissances identiques bien rangées qui remplaceront les caractériels formés par leur goût personnel, leur expérience et leur curiosité instinctive.
      Je ne suis pas contre le commerce, je crois qu’il doit être pratiqué avec probité, clarté, sans dissimulation habile ou incompétente.
      C’est aussi une bonne manière de garder une clientèle et de la développer.


      Majeur

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    11. Skandal, vous pouvez m'expliquer cette histoire d'esprit ? Je ne peux malheureusement pas trop en dire mais je suis salarié d'une de ces entreprises publiques qui emploient des fonctionnaires à la base mais de plus en plus de non fonctionnaires (dont moi), comme le dit Grandpas, et précisément dans une filiale commune entre une boite privée du même secteur et "nous". Je peux vous dire que l'esprit est particulièrement bon... Et que les dirigeants de "l'autre actionnaire" aiment beaucoup plus travailler avec nous qu'avec leurs propres salariés.

      En français, ça veut dire qu'on mène des projets informatiques pour beaucoup moins cher car nous n'avons pas besoin d'augmenter les budgets du service pour notre plan de carrière. L'esprit du privé est là : le cadre pense essentiellement au budget de son service et pas à l'intérêt de l'entreprise.

      Mais nous sommes hors sujet.

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    12. "Vous" n'êtes pas fonctionnaire donc...

      L'esprit fonctionnaire c'est ce qui fait qu'AirFrance est au bord de la ruine, que Orange (anciennement France Telecom) se fait tailler des croupières par tous ses concurrents, c'est ce qui fait que la SNCF est plus chère, moins confortable et moins fiable que la Deutsch Bahn, c'est le fait que j'ai du attendre 1h45 une infirmière à l'hôpital alors que 4 de ces fonctionnaires discutaient vacances aux DOM-TOM dans la salle à coté de moi, c'est le fait que le "service public" n'a rien d'un service et qu'on essaye de nous faire croire que nous sommes usagés alors que nous sommes clients mais surtout, l'esprit fonctionnaire c'est ça : http://newskandal.wordpress.com/2013/08/17/de-linexistence-du-service-public/

      Cela ne veut pas dire que certains fonctionnaires font particulièrement bien leur travail (bisous à ma maman !) mais simplement que la majorité ne bosse pas très bien. Notre administration est une des plus mal notée et des plus corrompue des pays de l'OCDE…

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    13. Robert Marchenoir7 octobre 2013 à 19:18

      Mais justement, Majeur. Si vous voulez être libraire sur Internet (ou marchand de lessive, ou vendeur de diamants), l'emballage est au coeur des compétences qui vous sont nécessaires.

      Si des professionnels du commerce sur Internet mettent en avant la qualité de leurs emballages, c'est que c'est un critère important pour les acheteurs...

      Et puis libraire, ça ne veut rien dire. Il y a cinquante sortes de libraires, et cinquante sortes de clients de libraires. Tout le monde ne cherche pas la même chose chez un libraire, et pas au même moment.

      Le type qui est capable de vous tenir la jambe pendant deux heures en vous parlant de telle micro-discipline du savoir, c'est un genre de libraire. J'en connais. Notez que c'est aussi le genre de type qui vous vend des bouquins à mille euros le bout, donc ça n'intéresse pas tout le monde.

      D'autres libraires se spécialisent dans le rachat au kilo des livres dont les bibilothèques ne veulent plus, et ceux-là, effectivement, faut pas leur demander de vous tartiner des kilomètres sur l'élevage des grenouilles au XVIIème siècle dans les steppes du Kamchatka. Ils satisfont d'autres besoins.

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    14. Skandal, ne mettez pas tous les maux de la société sur le dos des fonctionnaires. Laissez ça à Bob. L'Etat d'Orange et des autres vient surtout du management. Je ne suis pas fonctionnaire mais je bosse avec des fonctionnaires. Ils font leur boulot très correctement et beaucoup mieux que les civils, surtout ceux des concurrents.

      Je bosse dans l'informatique. J'ai en charge de monter les nouveaux projets. Je peux vous garantir que les projets coûtent environ deux fois moins cher pour la simple raison que les salariés font ce qu'on leur demande...

      Tout les problèmes viennent de cadres qui ont été embauchés depuis la fin des années 90.

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    15. Mais nous sommes d'accord, il y a plusieurs sortes de vendeurs de livres.

      Majeur

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    16. @Nicolas.

      Je ne mets pas tous les maux sur le dos des fonctionnaires. Effectivement, les fonctionnaire de "base", hormis leur improductivité et leur inutilité patente, ne sont pas vraiment responsables. Comme vous le dites très justement, le management est fortement en cause.

      Le pire du pire reste le fonctionnaire "petit chef" devenu manager du privé. Cela donne ce que l'on peut trouver chez Orange…

      Je critique essentiellement le fonctionnaire administratif et je ne doute pas qu'il y des fonctionnaires qui font particulièrement bien leur travail (bisous maman !!)

      Cela confirme un peu ce que je disais plus haut : http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/10/08/20002-20131008ARTFIG00285-corruption-la-france-mal-notee.php

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  8. Chaude Lumière de l'Autre6 octobre 2013 à 14:07

    Pour les sans-papiers, on parlera plutôt de centres de rétention.

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    1. Centre de rétention : se dit aussi de la vessie lorsqu'elle décide de se mettre en grève.

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  9. L'année dernière , l'allais encore dans une librairie mais depuis elle a changé de propriétaire, il est beaucoup moins ouvert à la diversité notamment celle de mes lectures, tant pis pour lui.

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  10. Laissons le second degré cinq minutes.
    La profession de libraire pourrait s'orienter vers le nouveau marché et revenir en même temps à celui de l'ancien.
    D'un côté de la boutique, un guichet d'accès en ligne aux grands diffuseurs (Amazon, Fnac, Decitre...) pour toutes les personnes qui ne sont pas connectées ou maladroites sur un clavier ou qui préfèrent discuter avec une jolie vendeuse.
    En vitrine, une offre étendue de liseuses électroniques (neuves et d'occasion), avec prise en main.
    De l'autre côté, les rayonnages de livres anciens et les bouquins.
    Evidemment le libraire cessera d'accepter l'office, voire clôturera son compte au CRDL.

    La démarche est entreprise dans une librairie parisienne que je connais (qui fut fondée il y a 60 ans) ; il est trop tôt pour valider le concept, mais au moins certains cherchent à percer le mur d'anachronisme au lieu de pleurnicher ou d'attendre les secours des commissaires politiques du pouvoir.

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    1. Le terme "livres anciens" désigne les publications avant 1800. Après on les qualifie de "livres modernes", avec des variantes au XIXème siècle. Par facilité pour les non-pratiquants ils sont parfois appelés livres anciens.
      On ne peut nommer ainsi des livres depuis le XXème siècle au risque de confusion.

      La proposition de votre libraire est séduisante pour les livres contemporains...

      Majeur

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    2. Robert Marchenoir7 octobre 2013 à 13:44

      Une adresse, Catoneo ?

      Cela dit, l'idée d'offrir un accès à Amazon dans une librairie me paraît insensée. Quel commerçant incite les gens à aller chez ses concurrents ? A moins de détenir un monopole sur le marché, et de prendre une commission, comme le fait Amazon, justement ?

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    3. Robert Marchenoir7 octobre 2013 à 13:55

      grandpas7 octobre 2013 07:40
      Marchenoir,
      Il y a de moins en moins de fonctionnaire dans l' entreprise.


      Justement. C'est une tendance lourde dans le sévice public françoué : les fonctionnaires en sont arrivés au stade où ils font faire leur travail par les autres. Arrivés au bout de l'empilement des zavantajaquis et des zakisossio, il ne leur reste plus qu'un moyen d'augmenter le "progrès social" : se rouler les pouces en embauchant des précaires qu'ils vont exploiter jusqu'au trognon.

      Mais c'est la faute du capitalisme, hein...

      Si les fonctionnaires faisaient normalement leur travail, il n'y aurait pas besoin de faire venir des CDD.

      Factoïde amusant : l'un des Français qui s'est fait brûler vif à Madagascar récemment était chauffeur de bus RATP. La presse nous apprend qu'il séjournait très régulièrement à Nosy Be. Un chauffeur de bus RATP est capable de se payer des vacances "très régulièrement" à l'autre bout du monde, sur une plage paradisiaque, à Madagascar ? Et la gauche nous ramone encore le conduit auditif avec la "casse du service public" et le "travail précaire" dans la fonction publique ?

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    4. Comme bien souvent dès que Marchenoir lit me mot fonctionnaire des pustule slui sortent des de la peau.

      Marchenoir , l'entreprise La Poste n' a pas pris des agents contractuels pour faire le travail des fonctionnaires surpayés mais elles les remplace pour se mettre au niveau des postes européennes, point barre.

      Ne vous étonnez pas si certains de ces nouveaux employés dont le salaire est inférieur au SMIG se servent sur la bête et cela aussi grâce à des gens tel que vous qui vomissaient leur quatre heures en prononçant le mot fonctionnaire.

      Mais rassurez vous dans quelques années, il n' y auar plus de fonctionnaires mécréants pour hurler votre haine, il vous restera l'homme noir et là vous allez avoir du boulot, il en débarque tous les jours.

      Une seule chose m'ennuie dans cet arrivage, si seulement il n' y avait que de frêles jeunes demoiselles aux yeux de biches, à la couleur chocolat et aux jambes interminables , il y a aussi des vieilles et des hommes même pas eunuques.

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    5. Robert Marchenoir8 octobre 2013 à 12:46

      Donc, si je vous suis bien, Grandpas, les focntionnaires sont le rempart à l'invasion de l'homme noir ? Faites-nous rire cinq minutes. Comme si les immigrés n'avaient pas découvert le filon de l'emploi fonctionnarial, bien souvent le seul qu'ils puissent occuper...

      La poste américaine (service public à 100 %) est blindée de Noirs.

      Le Pentagone est blindé de Noirs. Je dis bien le Pentagone : là où le plus gros risque qu'on court est de se faire mal au cul en posant les fesses sur un fauteuil. Pas les forces spéciales qui se font trouer la peau, lesquelles sont quasi-exclusivement blanches...

      Pour la Frônce, on n'a pas les chiffres. La Frônce n'est pas raciste, donc on ne sait pas combien il y a de Noirs et d'Arabes dans l'armée.

      Donc allez-y Grandpas, expliquez-nous le merveilleux monde de la Poste : expliquez-nous combien de postiers titulaires se sont vu révoquer leur statut, supprimer leur poste et obligés de chercher un vrai travail dans la vraie économie. Allez-y. Amusez-nous.

      Expliquez-nous en combien d'années les fonctionnaires auront disparu en France, si on prolonge la courbe actuelle qui va... vers le haut.

      Donnez-nous une bonne raison, une seule, d'aimer les fonctionnaires.

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    6. Robert Marchenoir vous êtes un clown mais pas un Auguste et encore moins un Clown Blanc non simplement un pauvre type de clown méprisable. Quan vous serez hospitalisé dans une unité ou travaillent des fonctionnaires hospitaliers ou des noirs(es) di^tes leurs bien que vous détestez les fonctionnaires et les négres mais vous n'en n'aurez pas le courage car vous n'avez aucun courage sauf derrière un clavier..

      Désolez monsieur Goux mais de temps en temps le Marchenoir doit être remis là où il doit être dans la cave.

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    7. Robert Marchenoir9 octobre 2013 à 12:12

      Vous êtes un malhonnête et un troll, Grandpas.

      Premièrement, vous êtes un raciste, au sens donné habituellement à ce mot. Vous passez votre temps à fustiger l'immigration, en particulier africaine. Vous passez votre temps à proclamer votre détestation des Noirs, sauf quand ils sont de sexe féminin et qu'ils excitent votre lubricité.

      Cela ne vous empêche nullement d'accuser les autres d'être racistes, quand ça vous prend et quand ça vous chante.

      Il faudrait vous décider. Vous ne pouvez pas, à la fois, vous revendiquer du racisme et de l'anti-racisme.

      Vous revendiquez bien haut votre droit de "haïr" les autres races quand ça vous arrange, au sens que la gauche donne à ce mot. Vous êtes un bon gros d'extrême-droite, bien xénophobe et bien nationaliste. Si vous aviez la moindre once de sens commun et la moindre dose de dignité, vous récuseriez cette escroquerie intellectuelle de la gauche qui consiste à discréditer toute opposition politique, au motif que s'opposer aux intérêts de ses adversaires c'est les haïr, et que haïr c'est mal.

      Mais pas du tout. Vous êtes malhonnête. Vous n'avez pas le courage de vos idées, mais ce sont les autres que vous accusez d'en manquer. Vous n'avez aucune dignité. Vous ne respectez pas vous-même les règles que vous prétendez imposer aux autres. Vous êtes un militant du 2P2M. Vous êtes un gauchiste sous une défroque de facho. C'est quand ça vous arrange.

      Si vous aviez la moindre once d'honnêteté, de dignité, de droiture, vous ne prétendriez pas que vouloir réduire le nombre et le rôle des fonctionnaires en France consiste à haïr les fonctionnaires, calomnie gauchiste éculée. Ou alors, il vous faudrait admettre que vous haïssez les Noirs parce que vous vous opposez à leur immigration de masse en France. De surcroît, cela rentrerait en contradiction avec votre attirance sexuelle pour cette race, que vous avez maintes fois proclamée dans ces pages.

      C'est un énorme bordel dans votre tête, et comme vous n'arrivez pas à le gérer, vous vous en prenez à autrui. Vous n'avez pas honte, à votre âge ?

      Vous n'avez pas honte, de menacer de futurs vieillards alors que vous avez vous-même un pied dans la tombe ? Vous n'avez pas honte, de souhaiter la persécution de vieillards malades à l'hôpital ? C'est ainsi que vous pensez faire aimer les fonctionnaires ?

      Ce genre de menaces, dont vous-même et les gauchistes sont familiers, montre bien à quel vitesse tombe le masque de "l'intérêt général", de la "solidarité" et de "l'humanisme" porté par les fonctionnaires franchouilles, dès lors qu'on démasque leur jeu -- ce qui n'est que trop facile.

      Vous ne dégoulinez pas d'amour envers l'humanité, Monsieur Grandpas, contrairement à ce que vos proclamations veulent nous faire croire. Tout ce qui vous intéresse, c'est la défense inconditionnelle et à tout prix de vos petits intérêts égoïstes, les autres dussent-ils en crever.

      Ca vous fait jouir d'imaginer vos adversaires malades, impotents, persécutés à l'hôpital par des infirmiers pour des raisons politiques et de haine raciale.

      Voilà le vrai visage du fonctionnaire franchouille, tel que vous ne le présentez, Monsieur Grandpas : et c'est ce visage que vous prétendez nous faire aimer ?

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    8. Marchenoir, je suis un anarchiste de droite mais anarchiste quand même, je suis un iconoclaste au sens littérale du terme te vous ne pouvez savoir à quel point les types droits dans leurs bottes comme m' ennuient, je suis fonctionnaire pas accident, c'est le seul endroit où je peux exploser la gueule d'un trou du cul de petit chef avec une certaine délectation, je me demande même comment un sophiste tel que vous n'y est pas fait carrière car des misérables tel que vous, j'en ai rencontré des centaines.

      Je moque bien de la couleur de la, peau d'un homme comme de sa couleur de cheveux, je préfére un homme noir humain et travailleur qu' un miteux comme vous toujours la haine à fleur de peau .

      Vous êtes ce que j' exècre le plus un misérable sans intelligence qui réagit comme un animal sans intelligence.

      Je suis fonctionnaire de l'entreprise La Poste et je vous emmerde à un point que vous ne pouvez imaginer et si je pouvais avoir des millions de métis simplement parce que cela emmerde un béotien te lque vous, je ferais des donc de sperme.

      Le simple fait de partager la même idée que vous me donne la nausée,

      Cette citation de "Samuel Johnson ;" presque toute l'absurdité du comportement émane du désir d'imiter ceux à qui l'on ne peut ressembler"; vous convient parfaitement votre désir est d'être noir et fonctionnaire.

      Monsieur, ce sera la dernière où je répondrais au sieur Marchenoir.

      Être traité de raciste par vous me comble de bonheur.

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  11. @Marchenoir
    Sauf les grosses enseignes (et pas toutes, l'énorme Privat Toulouse racheté par la petite MDL de Rodez ??? ouvaton !) les librairies de quartier ne peuvent plus vivre sur l'office, à l'exception de celles qui ont la chalandise des parents d'écoliers... jusqu'à ce que les programmes scolaires passent sur liseuse pour alléger les cartables et la gestion du tonnage papier.
    L'avenir de la profession traditionnelle est plus que bouché, inexistant.
    Le service de base est rendu par des réseaux d'excellence comme Amazon (il y en a d'autres), mais ce nouveau mode de consommation est encore bridé par l'incapacité de certains clients à être connectés. Le libraire (qui de toute façon aura rarement le livre en rayon (d'où commande, téléphones et retour du client pour enlèvement) serait plus inspiré de puiser du stock virtuel chez les grands réseaux universels moyennant une faible commission puisqu'il n'engage ni trésorerie, ni manipulation/stockage, ni frais de livraison. Devenir un guichet de réseau et un diffuseur de liseuse, est-ce trahir l'édition ?
    Oui ! Elle le vaut bien ! Mais à la fin du mois, on mange.
    L'autre intérêt est de réduire fortement les superficies commerciales, diminuant les loyers qui ne cessent d'augmenter.
    Le rayon "livres anciens"est un plus de qualité, mais il faut beaucoup démarcher la clientèle potentielle. C'est un métier dérivé, presque une reconversion.

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    1. Robert Marchenoir7 octobre 2013 à 20:51

      Je ne comprends pas, Catoneo. C'est une idée en l'air, ou quelque chose qui a été mis en application ? A priori, il me paraît absolument impossible de générer un flux financier significatif en comptant sur les commissions Amazon issues d'un terminal placé dans une librairie physique.

      Ces commissions sont déjà dérisoires quand vous les générez à partir d'un site Web, qui ne paye pas de loyer. Or, le trafic physique dans un magasin ne peut se comparer au trafic possible sur Internet.

      D'autre part, l'avantage principal de l'achat en ligne, c'est qu'il se fait de chez soi. Aller dans un magasin pour faire un achat Internet, ça ne tient pas debout. En revanche, prendre le temps de faire un achat Internet chez soi, puis aller chercher la marchandise dans un point de livraison à proximité (voire dans un magasin physique), ça correspond à un besoin.

      Mais une librairie ne peut pas vivre en faisant point-relais pour Amazon ! Le système des points-relais rémunère les commerçants de façon dérisoire et marginale. C'est une espèce de parasitage de commerces qui ne marchent déjà pas très bien, auxquels on dit que tout euro supplémentaire est le bienvenu, et auxquels on fait miroiter, surtout, le trafic supplémentaire de prospects que cela leur apporterait ; mais c'est évidemment l'activité principale du magasin qui fait tenir les comptes.

      Si les gens ne faisaient pas déjà épicier, pressing, retoucherie ou marchand de journaux, s'ils ne payaient pas déjà leur loyer et leurs charges avec leur activité, ce n'est pas la rémunération dérisoire de Kiala ou de Relais-Colis qui justifierait l'ouverture de ces magasins. Sinon, Kiala aurait ouvert ses propres points de livraison...

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    2. Je crois avoir compris l'idée de Catoneo. Bien sûr elle ne fonctionnera que pendant 10 ou 20 ans au mieux, mais d'ici là on peut raisonnablement penser qu'il en aura eu une nouvelle.

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.