À Pluton...
Ce matin, l'Irremplaçable était fâchée après moi. Elle avait d'ailleurs d'excellentes raisons pour cela. En effet, cette nuit, saisi par je ne sais quelle maladie (le rêve irrempien ne le précisait pas), je me suis rendu par mes propres moyens à l'hôpital d'Évreux, laissant donc Catherine à la maison. Or, aux urgences, m'attendaient tous mes habituels commentateurs : Nicolas, Suzanne et tous les autres. Et on s'est mis à faire une bringue d'enfer, à vider force flacons (et pas des flacons d'eau oxygénée, je vous le dis !). Donc, Catherine était furieuse après moi, qui l'avais lâchement confinée à la maison. « Je n'étais pas là mais je voyais tout quand même ! », m'a-t-elle précisé pour finir.
Je me suis retenu de lui dire que c'était précisément à cette faculté que l'on reconnaissait une vraie épouse...
Je me suis retenu de lui dire que c'était précisément à cette faculté que l'on reconnaissait une vraie épouse...
Il n'y avait pas Pluton en anesthésiste?
RépondreSupprimer(pssst, Catherine, ya des fois où je compatis, mais chuuuut)
irrempien ?
RépondreSupprimerCatherine est mon Irremplaçable Épouse, devenue l'Irremplaçable au fil de ce blog, avant d'être rebaptisée Irrempe par Renaud Camus. S'où l'adjectif irrempien.
RépondreSupprimerSuzanne, Pluton est bien anesthésiste-réanimateur mais exerce exclusivement en réanimation. Cela dit, j'étais de garde la nuit dernière (Marseille) , Didier s'est tout simplement trompé d'hôpital dans son envie de me retrouver en vue de quelques très probables libations...!! Ce n'est évidemment que partie remise, isn't it Didier ?
RépondreSupprimerCa va encore est de ma faute !
RépondreSupprimerDidier vous venez de me féliciter pour le billet chez criticus.
RépondreSupprimerDidier, je ne vous connais pas, je ne sais pas quelle tête vous avez le matin ou le soir. je sais que vous aimez la bière. Vos écrits et vos lectures je les imagine. Vous avez une épouse irremplaçable. Mais à part ça vous m'êtes un parfait inconnu. Alors pourquoi vos compliments me touchent ?
Encore une question de civilisation ?
Soyons clair, ce n'est pas Didier que s'est trompé d'hôpital, mais Catherine qui s'est trompée dans son rêve
RépondreSupprimerOlivier P en sait quelque chose. Il est entré dans le rêve à 3h27mn. Moi, j'étais dans le couloir, je cherchais les toilettes et j'ai ouvert par mégarde la porte du chenil.
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimerje en vous ai pas mordu, au moins ?
Pluton : on part demain matin !
RépondreSupprimerNicolas : vous faites le bouquet missaire ?
PRR le blogueur aime les compliments, c'est connu ! Mais les miens était sincère : je trouve ce texte remarquable. Tiens, je le mets en lien, pour les autres.
Olivier & Suzanne : vos turpitudes onirico-hospitalières ne regardent personne !
Le bouquet missaire de police ?
RépondreSupprimerIl y avait Nef aussi. Et je pense que ce devait être Pluton qui lui mettait du vin blanc en intraveineuse...
RépondreSupprimerNE JAMAIS confier une jeune femme à un anesthésiste !
RépondreSupprimerOlivier, on va être obligés d'aller s'aimer ailleurs, le taulier ne veut pas entendre la suite du rêve !
RépondreSupprimerSi, si, continuez... jusqu'à ce soir, où les commentaires seront fermés pour huit jours !
RépondreSupprimerSuzanne et Olivier, venez donc à Marseille, je vous garde une petite place au frais dans la réa. Pour le reste, on fermera les yeux...
RépondreSupprimerDidier, si d'aventure vous me confiez une jeune femme, j'utiliserai la voie orale et non intra-veineuse... pour le vin blanc évidemment ! smiley smiley
RépondreSupprimerJe ne vois pas en quoi ce rêve serait teinté d'inhabituel…
RépondreSupprimer;-)))))
La réa, pas le frigo, ça me rappellerait cette vieille chanson de Ramon Pipin/
RépondreSupprimer"Astrid est à l'amour ce que la chambre froide
est dû à sa nature sentimentale
et si elle préfère Charcot au Marquis de Sade
c'est dû à sa nature sentimentale..."
Si Suzanne est d'accord, je le suis également... faites péter le pastaga et les glaçons!
Ah, Olivier, ce serait plus original que de s'aimer sous les palétuviers roses !
RépondreSupprimer@ Pluton, on veut des palétuviers roses
RépondreSupprimer@ Suzanne,
Tout ça grâce à Didier, c'est un peu notre Macha Berenger...
@Didier, pas frapper, j'ai pas dit François Beranger...
Olivier, on se fera le petit défibrillateur, la brouette hypertendue, l'électrode pulsatille?
RépondreSupprimerLa dernière phrase de ce billet, GouX, semble venir des tréfonds de la sagesse du plus chenu des sages, ou du plus civilisé des lettrés encore vivants.
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