dimanche 1 novembre 2009

Le texte que j'aurais aimé écrire...

...C'est Hank qui l'a donné – tant pis pour moi, tant mieux pour tous.

13 commentaires:

  1. C'est un peu too much dans le lyrique, tout de même !
    :-))

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  2. Merci pour ce lien cher Didier !

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  3. Je ne trouve pas : oser le lyrisme est encore une façon, hautaine et belle, de prendre ses distances avec l'époque, qui l'est si peu.

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  4. Je ne comprends pas pourquoi ce sont les "reactions sur l'actu" qui priment toujours la reacosphere. Quel interet de faire des textes qui commentent l'acualité, elle meme représentée par des articles de journeaux qui eux-meme commentent les faits.
    Chacun se positionne, se dit "pour" ou bien "contre" dans l'exacte déplorable attitude du citoyen-journaliste qui a vocation à avoir un avis sur tout>
    Enfin merde... Le debat sur l'identité, Rama Yade, Frederic MItterand, le chikungunya, l'agressé du bus ON S'EN FOUT on sait tres bien justement, que ca doit arriver.
    En fait c'est comme si on etait des touristes japonais qui photographient la tour eiffel en pensant saisir la "l'esprit francais", alors que pour le saisir il faut aller dans le Doubs dans l'Arbois dans l'Anjou à 7h du matin. Comprenez?

    Lounès

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  5. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  6. (La première version avait trop de fautes pour avoir le droit de vivre...)

    "Je ne comprends pas pourquoi ce sont les "reactions sur l'actu" qui priment toujours la reacosphere. Quel interet de faire des textes qui commentent l'acualité, elle meme représentée par des articles de journeaux qui eux-meme commentent les faits."

    Il est vrai que cela peut sembler stérile une fois qu'on y est habitué. D'un autre côté, l'information brute a parfois moins d'intérêt que les commentaires judicieux faits à son sujet (et par judicieux, j'entends "pas ceux des journaux grands publics").

    Commenter l'actualité est un moyen plus efficace de "convertir" les gens que les grands discours (ceux là viennent après). Et ça permet parfois de créer les buzz, qui donnent plus de visibilité à ces idées...

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  7. Christine Boutin, ce matin, à France Culture, toute honte bue, fourbissait sa définition de l' "identité nationale", la réduisant à ces trois mots (tenez-vous bien) : l'hymne, le drapeau et la langue. Véridique. Le reste, l'essentiel : tenu soigneusement tenu immergé dans le marigot idéologique de la rhétorique "sociale-chrétienne".

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  8. Monsieur Vitus,

    Pour que Didier Goux ne se sente plus de joie, vous auriez dû préciser que Christine Boutin, dans cet entretien, émettait l'idée d'une grande consultation de lycéens afin que soient remplacées les paroles de la Marseillaise, un peu trop « qu'un sang-guimpur » à son goût, par de tout autres, bien plus « vivrensemble » (et, par là même, en langage gouxien, bisounursiennes en diable).

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  9. En effet ! On pourrait réduire l'hymne à un fredonnement. La-la-la-la... Et le tour est joué. Le quidam qui a un peu de coffre aurait le droit d'imiter la fanfare...
    Mais sur l'air des Bisounours ou des Barbes à Papa, ça pourrait bien le faire aussi.

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  10. "oser le lyrisme est encore une façon, hautaine et belle, de prendre ses distances avec l'époque, qui l'est si peu."
    Oui, c'est très beau et grand. Comme les Indiens Arawaks se précipitant du haut des falaises pour ne pas tomber sous la tutelle de l'envahisseur européen (à l'époque). Pardon!

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  11. Un texte merveilleux en effet, qui constitue, avec un recul spectaculaire, une synthèse remarquable des modestes combats que nous menons...

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  12. ...texte qui a éveillé les ardeurs d'un Tariq Ramadan en herbe, si ce n'est le vrai...

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  13. Marine : je pense que le vrai a autre chose à faire que de ratiociner sur les blogs... Enfin, j'espère pour lui !

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.