Il y a huit ans, souvenez-vous, c'était le No Jospinou Day. Lequel, contrairement à sa pâle copie d'il y a quelques semaines, avait remporté un incomparable succès populaire. Il était huit heures très précises lorsque l'orgasme électoral nous a brusquement ravagé les intérieurs. C'était clair et net : les Français refusaient le clystère qu'on avait essayé de leur refourguer. Et ces sales gros cons de beaufs nauséabonds d'électeurs n'avaient même pas eu la décence d'attendre le second tour pour prononcer leur verdict, refusant au triste frisotté, dans un grand éclat de rire sanguin, la consolation d'une défaite honorable, démocratique et citoyenne. Non, non : la déculottée publique, franche et massive ! Qu'il remballe fissa son petit programme-même-pas-socialiste et qu'il aille exercer en cuisine son droit d'inventaire de foireux majuscule !
Ah, ce qu'on a ri ! Par charité, je passerai sous silence les réflexions peu charitables que nous avaient alors inspirées les visages ravagés des madones sanglotantes, lorsque les caméras de TF1 avaient fouillé les entrailles de la rue de Solférino. Mais le rire n'en était qu'à ses balbutiements...
Car, dès le lendemain, les Bernadette Soubirous éplorées s'étaient muées en d'implacables Rosa Luxembourg – Louise Michel bien nourries offrant leur mamelles tentantes en barrage au mufle du fascisme. De fascistes, nous ne vîmes pas un seul, durant ces deux semaines de foire, mais nous ne manquâmes pas de Jean Moulin pour nous débiter leur petite farine. Ce fut la grande chaîne de la fraternité inutile, les militantes acnéiques du jour donnant la main aux vieillardes gauchistes, exténuées de combats rêvés puis perdus. Enfin, ayant assez arpenté les chaussées et les trottoirs, on se rangea sagement à l'avis des états-majors, lesquels s'égosillaient au sursaut contre la bête rampante qui relevait la tête (pas confortable comme position : essayez, rien qu'une minute).
Et c'est ainsi que l'on put voir, par un beau dimanche de mai, tous nos petits amis citoyens, de gauche comme de droite, s'aligner en silence et bon ordre à la porte des bureaux de vote, le rouge au front et le bulletin Chirac à la main, s'appliquant à être le suivant de celui qu'ils suivaient.
Au suivant !... Au suivant !...
Ah, ce qu'on a ri ! Par charité, je passerai sous silence les réflexions peu charitables que nous avaient alors inspirées les visages ravagés des madones sanglotantes, lorsque les caméras de TF1 avaient fouillé les entrailles de la rue de Solférino. Mais le rire n'en était qu'à ses balbutiements...
Car, dès le lendemain, les Bernadette Soubirous éplorées s'étaient muées en d'implacables Rosa Luxembourg – Louise Michel bien nourries offrant leur mamelles tentantes en barrage au mufle du fascisme. De fascistes, nous ne vîmes pas un seul, durant ces deux semaines de foire, mais nous ne manquâmes pas de Jean Moulin pour nous débiter leur petite farine. Ce fut la grande chaîne de la fraternité inutile, les militantes acnéiques du jour donnant la main aux vieillardes gauchistes, exténuées de combats rêvés puis perdus. Enfin, ayant assez arpenté les chaussées et les trottoirs, on se rangea sagement à l'avis des états-majors, lesquels s'égosillaient au sursaut contre la bête rampante qui relevait la tête (pas confortable comme position : essayez, rien qu'une minute).
Et c'est ainsi que l'on put voir, par un beau dimanche de mai, tous nos petits amis citoyens, de gauche comme de droite, s'aligner en silence et bon ordre à la porte des bureaux de vote, le rouge au front et le bulletin Chirac à la main, s'appliquant à être le suivant de celui qu'ils suivaient.
Au suivant !... Au suivant !...
C'était un jour faste et joyeux. J'en espère beaucoup d'autres comme ça. Je sais que je suis trop optimiste mais si je pouvais espérer pareille déculottée pour la grande salope du Poitou, je mourrais heureux.
RépondreSupprimerMon cul oui ! Je n'ai pas manifesté et quand on me l'a demandé, j'ai envoyé sur les roses qui de droit...
RépondreSupprimerPar ailleurs, j'ai aussi gribouillé mon vote Chirac ! Voter à droite, mes couilles ! Enfin, voter à droite... voter Chirac, on n'a pas encore déterminé ce que c'était... C'est voter Samsonite, voilà !
Votre analyse du vote est en tout cas foireuse. Il n'y a pas eu de rejet franc et massif, la France, ce 21 Avril-ci a préféré le beau temps à la politique, c'est tout. A préféré la glande au frisé...
Enfin, tout un tas de conneries additionnées les unes aux autres qui nous a quand même valu le plaisir indicible d'entendre foison de discours d'un certain JP Raffarin... Et celui, grandiloquent jusqu'au ridicule de villepin à l'ONU !!! (un big moment of entertainement)
La belle époque en somme !
Fra-ter-ni-té, Georges ! Fra-ter-ni-té !
RépondreSupprimerEt qui vous dit qu'elle sera aux élections de 2012, la déesse Chabichou ?
Didier, votre sens du devoir de mémoire vous honore, le MRAP devrait vous canoniser.
Mais je ne comprends pas cette phrase :
« Par charité, je passerai sous silence les réflexions peu charitables que nous avaient alors inspirées, les visages ravagés des madones sanglotantes, lorsque les caméras de TF1 avaient fouillé les entrailles de la rue de Solférino. »
Quel est le sujet du verbe inspirer ? N'y a-t-il pas une virgule en trop ? Et, quitte à me tromper, êtes-vous sûr de l'accord ?
Beuche, je n'en sais rien du tout, je l'espère seulement. Vous savez, moi et la politique, ça fait beaucoup…
RépondreSupprimer« Mon cul oui ! Je n'ai pas manifesté et quand on me l'a demandé, j'ai envoyé sur les roses qui de droit... »
RépondreSupprimerQuel héros, ce Dorham !
Et encore, Georges, tu m'as pas vu au concert de Nique-Ta-Mère !
RépondreSupprimer"Vous savez, moi et la politique, ça fait beaucoup…"
Comme quoi, Audiard visait juste : "c'est pas parce qu'on a rien à dire qu'y faut fermer sa gueule" !
Comme quoi oui.
RépondreSupprimerOui oui.
Oui oui oui.
« Par ailleurs, j'ai aussi gribouillé mon vote Chirac ! Voter à droite, mes couilles ! »
RépondreSupprimerPétard ! Mais c'est qu'on en tient un vrai de vrai, là ! Et sous la torture, vous avez tenu bon ?
Je suis tout ému d'écrire sur le même blog qu'un Résistant tel que vous. Pour votre entrée en Panthéon, vous auriez pas besoin d'un petit hymne, par hasard ? Je suis au chomedu, là, alors dès que vous avez l'info vous m'appelez, hein ? Allez on fait comme ça. Respect !
"Et sous la torture, vous avez tenu bon ?"
RépondreSupprimerOui.
"Je suis tout ému d'écrire sur le même blog qu'un Résistant tel que vous."
Tu peux.
Ce billet est excellent...
RépondreSupprimer"Pour votre entrée en Panthéon, vous auriez pas besoin d'un petit hymne, par hasard ?"
RépondreSupprimerTu es mal renseigné, Georges. Quand je serais canné, on tirera au fusil de chasse devant une église corse (en l'air, pas besoin de jouer les filles de l'air) et on bouffera du saucisson en buvant du vin de Figari?
Quant à tes mérites de compositeur à deux mains... permets-moi d'en douter.
RépondreSupprimerJ'ai par ailleurs - au cas où - de quoi faire dans mon carnet d'adresses.
Moi, ce qui me fait rire - encore aujourd'hui - , c'est la Gauche votant Chirac...!
RépondreSupprimerC'est m'imaginer le cheminement intellectuel de ces gens, leur gêne, leur répugnance et leur bonne conscience, les cabrioles sophistiques du genre "Plutôt escroc que facho" pour garder leurs mains propres et leurs têtes hautes, les raccourcis, les signes entendus, les battages de culpe, les justifications, les explications, les plaintes, les j'en passe et les meilleures...
Eh oui, les p'tits gars! Vous avez voté Chirac... Et ça, ça me fait rire - encore aujourd'hui!
Tout ça pour quoi? Pour éviter le fascisme... pour éviter la dictature!
Quel est le résultat?
Un score de République bananière, de démocratie populaire, un score de Premier Secrétaire du Parti-Maréchal-Grand Timonier des Peuples Eclairés, pour le pire Président de la V° République!
Il faut dire que la recette était éprouvée: Staline déjà - et tout au long de sa brillante carrière - s'est servi à plaisir du hochet du fascisme pour imposer le bonheur sur terre. Comme quoi, comme disent les marxistes - experts en matérialisme historique - , aux mêmes causes, les mêmes effets!
N'empêche qu'ils ont voté Chirac! hihihihi!
Laurent
Oui oui, je m'en doute, Dorham (je me ferais jamais à ce pseudo à la con), vous savez, moi je ne suis qu'un tâcheron du dimanche, je sais bien que vous connaissez de vrais compositeurs qui écrivent de la vraie musique, vous ! C'était juste que j'essayais de gagner ma croûte, vous voyez ? Si Carine ne veut pas m'épouser, je vais devenir quoi, hein ?
RépondreSupprimerPi alors si en plus vous êtes corse, là je me tais, quoi, on va dire.
"je mourrais heureux."
RépondreSupprimerLe plus tard possible Georges!
Vous nous manquerez. Enfin, à moi, en tout cas...
@Didier
RépondreSupprimerIls ne savent faire que ça, suivre!
Au suivant !... Au suivant !...
RépondreSupprimerJe m'honore de ne pas en avoir été.
Je trépigne tellement ce billet est bon ! du grand didier goux, enfin, retrouvé :)
RépondreSupprimerCes musiciens, tous des crève-la-dalle !
RépondreSupprimerGeorges : oui, bien sûr. Mais ça n'aurais plus la divine fraîcheur de la première fois...
RépondreSupprimerDorham : au lieu de gribouiller votre vote Chirac, vous auriez mieux fait de vous abstenir, non ?
(Et misère de moi : les deux Corses de ce blog en plein choc frontal !)
Beuche : vous avez raison ! dès que j'ai fini de répondre aux commentaires, j'y vais de ma petite correction...
Le Faucon : merci bien !
Laurent : oui, oui ! Toutes ces postures antifascistes et résistantes pour en arriver à voter Chirac, ni plus ni moins, il y avait vraiment de quoi se niquer un zygomatique ou deux !
Carine : c'est ce qu'on appelle la discipline révolutionnaire, je crois.
Fredi Maque : moi aussi, mais sans le moindre mérite puisque je ne vote jamais.
Corto : ah, c'est vous qui faites trembler le parquet comme ça ?
Beuche : à la relecture, j'ai en effet supprimé la virgule intempestive. Mais le reste est correct : "inspirées" s'accorde avec son C.O.D, qui est "réflexions".
RépondreSupprimer300 fois que vous sortez le gag de la bête nauséabonde au ventre fécond mais qui rampe quand même, et ça me fait toujours rire.
RépondreSupprimerEt sinon :
« Je trouve ridicule la manière dont l’ensemble de la gauche, extrême gauche comprise, se rallie bruyamment à Jacques Chirac, sous le prétexte d’une croisade antifasciste. Tout odieux que soit le Front national, il n’y avait pas en France de menace fasciste et la victoire du candidat de droite était absolument certaine, sans onction socialiste. »
Lionel Jospin
Vous avez très certainement raison, Didier, mais, allez savoir pourquoi, je ne m'y fais pas, à cet accord.
RépondreSupprimerEn revanche, « Ah, ce qu'on a rit ! »...
Je sais, je suis casse-couilles !
Paul : comme quoi on peut l'avoir dans le cul et conserver toute sa tête.
RépondreSupprimerQuant à "nauséabond", je cesserai de l'utiliser pour me moquer, le jour où plus personne ne l'emploiera sérieusement. Mais pas avant.
Beuche : je confirme, vous êtes casse-couille ! Mais comme je le suis autant sinon plus que vous sur ce chapitre...
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerC'est que je votais à l'époque en cambrousse. J'aimais bien aller au bureau de vote avec mon père.
(dans ma famille, les morts ne votent pas, je me sens obligé de le préciser)
D'ailleurs, mon vieux est en excellente santé. Je le dis, même si tout le monde s'en savonne la raie...
RépondreSupprimerLe mien aussi : ça fait deux excellentes nouvelles dans une même journée, c'est presque trop, on devrait se méfier...
RépondreSupprimerCe qu'on a riz ^^
RépondreSupprimerDidier, si vous ne votez point, ou plus, vous vous moquez bien de l'effondrement de ce monde , non?
RépondreSupprimerJe connais tellement de gens comme vous que je me dis que si tout ce monde là reprenait le chemin des urnes, pour dire quelque chose de concret, en attendant mieux, ptet que les choses tourneraient autrement...Allez savoir.
Mais bon, il faut bien des spectateurs pour que le spectacle ait lieu. Il y aura des morts et vous ferez de beaux articles, et nous commenterons.
Ainsi ira le monde.
Carine : durant la plus grande partie de l'histoire de l'humanité, personne n'a voté : cela n'empêchait nullement de se soucier de l'avenir du monde, si ?
RépondreSupprimerOn pourrait d'ailleurs très bien soutenir, à l'inverse, que voter c'est se désintéresser de l'avenir du monde. (« J'ai mis mon bulletin dans l'urne, maintenant qu'ils se démerdent ! »)
RépondreSupprimer@Paul:
RépondreSupprimerCe n'est pas le ventre de la bête immonde qui est fécond, je crois, mais le nôtre.
mais "le ventre est encore fécond d'où la bête immonde (voire nauséabonde, mais c'est nous qui l'ajoutons^^) a surgi". Quelque chose comme ça, chez Brecht.
« Ce n'est pas le ventre de la bête immonde qui est fécond, je crois, mais le nôtre. »
RépondreSupprimerNe me dites pas que vous allez en plus nous pondre des petites Carines comme s'il en pleuvait !
Didier, s'en "soucier" est une chose!
RépondreSupprimerMais pour faire quoi?
En bref, on va quoi faire?
Je vous pose sérieusement la question.
Couché, Georges!
RépondreSupprimerHum, je ne sais pas si je reste correcte là...
Ah mais c'est qu'elle veut du vrai dialogue, la Carine, de la discussion politique cent pour cent citoyenne ! Elle pose des questions, et elle attend des réponses, hein ! Faut arrêter de tourner autour du pot qu'elle ne casse pas, merde, faut se remonter les manches et débattre, quoi !
RépondreSupprimerRespect !
Bon, je préfère aller me balader.
RépondreSupprimerA plus.
Je suis assez dégoûtée des blogs.
RépondreSupprimerOn ne peut pas parler. Juste se faire rabrouer par des parasites. Alors atchao.
Putain, y'a vachement de commentaires en peu de temps, ici ! Comme quoi, Jospin fait encore recette.
RépondreSupprimer"durant la plus grande partie de l'histoire de l'humanité, personne n'a voté : cela n'empêchait nullement de se soucier de l'avenir du monde, si ?"
RépondreSupprimerOh punaise, vous allez nous ressortir du tiroir les despotes éclairés ? Cathinou de Russie et Frédo de Prusse ? ça va faire plaisir aux adorateurs de Voltaire, ça ?
(En fait, vous êtes comme les alters avec ce bon vieux Chavezzzzz)
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Ceci dit, c'est vrai quoi, fuck la démocratie ! No future, Anarchy in the Plessis !
"Je connais tellement de gens comme vous que je me dis que si tout ce monde là reprenait le chemin des urnes, pour dire quelque chose de concret, en attendant mieux, ptet que les choses tourneraient autrement...Allez savoir."
RépondreSupprimerN'empêche, ça fait flipper quand on y pense... Sincèrement ! Quand on sait ce que Carine pense être "quelque chose de concret"...
ça donne presque envie de se refiler aux gênois... (Sampieru me chuchote tout un tas de conneries à l'oreille)
La démocratie, elle a tout juste deux siècles et effectivement, je vous confirme, après de nombreuses recherches, que le monde tournait sans elle et que l'intérêt général était déjà en mire des préoccupations... en tous cas pas moins qu'aujourd'hui... et probablement pas plus non plus!
RépondreSupprimerPlaton, par contre, a toujours pensé que c'était le pire des régimes politiques, parce qu'il donnait le pouvoir à ceux qui n'y entendaient rien et permettait, sous le couvert de la démagogie, de faire arriver le plus performant des flatteurs à la fonction convoitée du tyran.
Il est bien entendu que tout cela est très marqué par l'époque - l'Antiquité, dont on sait, après de nombreuses recherches, que tous les hommes avaient 2 de QI, étaient habillés de peaux de bêtes nouées à la taille, sacrifiaient des enfants innocents les nuits de pleine lune et ne se lavaient même pas les dents - et qu'il est impensable que cela arrive aujourd'hui, où le Progrès inéluctable a fait son oeuvre.
Laurent
Comment va Monsieur Biche? Je n'ose pas intervenir chez l'Irrempe , mais je suis totalement pro coupecouille mais que je n'ai pas envie de me justifier?
RépondreSupprimerAh j'aime beaucoup le délire mirbaldien! ( neol pour " inspiré à la Mirbeau ;-))
Bien que très peu surpris (j'avais mes sources sur les sondages de la veille), ce dimanche soir provoqua le rire le plus éclatant de toute ma vie. Après, une seule fois : le jour où ma fille se mit à crier à tue-tête dans la maison et dans la jardin, hilare car découvrant une arme fatale, les mots suivants CACA BOUDIN (sic) !
RépondreSupprimerOsez Geargie, osez !
RépondreSupprimerSoubirouS, pas Soubirou.
RépondreSupprimer(Didier Goux pensait-il à "son" Jospinou ?)
Saoul, Bayrou ?
RépondreSupprimerDidier, vous tenez décidément une forme épatante !!
RépondreSupprimerDepuis qu'on a rendu hommage, il y a deux ou trois billets, à son talent musical, Georges est devenu tonitruant.Comme quoi il suffit de peu.
RépondreSupprimerIl commence à se prendre pour Wagner, de là qu'il se mette à rêver d'envahir la Pologne!
"talent musical"...
RépondreSupprimerCher (ou chère) Anonyme, vous devriez faire des piges pour "Télé Loisirs".
Moi je préfère la scie musicale. De là comme quoi.
RépondreSupprimerEncore une rumeur, Georges préfère le cornet de pôche.
RépondreSupprimerNonon, Dorham, Georges clame partout qu'il préfère le corned beef.
RépondreSupprimerJ'arrive bien tard pour célébrer cette journée et me joindre à vos évocations musicales.
RépondreSupprimerDorham a dit...
"D'ailleurs, mon vieux est en excellente santé. Je le dis, même si tout le monde s'en savonne la raie..."
Ah "Mon vieux" de Daniel Guichard, quel interprétation hein.. ! Mais la version de Gérard Lenorman est certes moins réaliste mais c'est au profit de la musicalité de l'oeuvre.
Pancake
Daniel Guichard, Gérard Lenormand, Octave Agobert, Poulou Basta y Gomez, Jessica Troude, Mamoud Berlingaud, Paulin Durci-Danglaise, Dorham de Figari et Jacques Bertin, ça fait du beau monde, ici !
RépondreSupprimerVous devriez ouvrir un coin musique, que tous ces artistes puissent débattre avec Carine !
Ah mais on a aussi Georges...de ici et là...l'homme orchestre, en somme... C'est Monsieur Pallem qui va être content...
RépondreSupprimer