Mais où est Didier ? Quel est le sens de ce message ? Va-t-on lire dans une dépèche: "pendant que sa femme était partie faire des courses, un paisible quinquagénaire s'est fait dévorer par ses trois chiens" ?
Nicolas : saoul au réveil ? (Remarquez, maintenant que j'y songe, ça m'est déjà arrivé, en effet...)
Suzanne : ben, là, il est au boulot, le Didier...
Malavita : a priori non, mais il faut voir.
Audine : la phrase d'exergue d'avant, due à l'excellent Pélicastre jouisseur, était : « On ne dit pas que c'était mieux avant, mais que ce sera pire après. »
?????? Phrase mystère pour phrase mystère, que pensez vous de celle-ci, entendue dans la bouche de Luchini qui citait Cocteau: " Un des drames du monde moderne est que la bêtise s'est mise à penser ». ... Je la trouve à peine plus claire que la votre. Bonne journée.
"Graisser la patte" est une expression qui signifie "donner de l'argent" - à quelqu'un, en général en vue de le corrompre. Ce titre serait donc une sorte de pléonasme géant, à moins que ce soit un oxymore qui contienne un chiasme ? Ou alors une contrepéterie ? Essayons : Au lot du si "Graissâtes la paix par un corruptant violeur" Bof, pas terrible. Pas digne de la Comtesse en tous cas. Pas de quoi casser 3 pattes à un enchaîné canard.
Prions mes frères qu'en ce saint vendredi, le divinement inspiré Georges nous sorte de cet enfer sémantique. En matière de contrepet, je ne sais pas. mais si on enlève le contre, il y a matière à alimenter son inspiration et à croiser son centre d'intérêt si j'ose dire.
C'est ce qui arrive quand on fume son premier clope au saut du lit! La petite histoire raconte même qu'un vieil écrivain désabusé et tabacomane invétéré en fumait jusqu'à 4 ou cinq avant de pouvoir affronter la réalité. Las, un lendemain de beuverie, ayant perdu le compte, il en perdit à moitié la vue: il en avait fumé six!
Au saut du lit !!!
RépondreSupprimerLa paresseuse que je suis "tombe du lit"
En fait, monsieur Goux je n'ai joué que sur le titre... le reste pas trop compris parce que pas suivi
RépondreSupprimerMais où est Didier ? Quel est le sens de ce message ? Va-t-on lire dans une dépèche: "pendant que sa femme était partie faire des courses, un paisible quinquagénaire s'est fait dévorer par ses trois chiens" ?
RépondreSupprimerGraisser la patte = corrompre
RépondreSupprimerJ'ai bon ?
Y' a un truc à gagner ?
Malavita: oui mais "se faire agresser la pâte" c'est se faire dévorer.
RépondreSupprimerSe faire graisser la pâtée ...
RépondreSupprimerDécidément, entre Jacques Roubaud et ce billet, j'aime assez la tournure que ça prend, ce blog !
(mais la phrase de sous-titre d'avant - que j'ai déjà oublié, snif ! - j'aimais bien aussi, pour le coté auto-dérision)
Jeffanne : en fait, j'étais même encore au lit !
RépondreSupprimerNicolas : saoul au réveil ? (Remarquez, maintenant que j'y songe, ça m'est déjà arrivé, en effet...)
Suzanne : ben, là, il est au boulot, le Didier...
Malavita : a priori non, mais il faut voir.
Audine : la phrase d'exergue d'avant, due à l'excellent Pélicastre jouisseur, était : « On ne dit pas que c'était mieux avant, mais que ce sera pire après. »
??????
RépondreSupprimerPhrase mystère pour phrase mystère, que pensez vous de celle-ci, entendue dans la bouche de Luchini qui citait Cocteau:
" Un des drames du monde moderne est que la bêtise s'est mise à penser ». ...
Je la trouve à peine plus claire que la votre.
Bonne journée.
Moi aussi, à un détail près.
RépondreSupprimerIl m'est déjà arrivé de me faire agresser la patte par un interrupteur corrompu, mais pas au saut du lit.
Qu'est ce que Monsieur Biche a encore fait ?
RépondreSupprimerGeargies
"Graisser la patte" est une expression qui signifie "donner de l'argent" - à quelqu'un, en général en vue de le corrompre.
RépondreSupprimerCe titre serait donc une sorte de pléonasme géant, à moins que ce soit un oxymore qui contienne un chiasme ?
Ou alors une contrepéterie ?
Essayons :
Au lot du si
"Graissâtes la paix par un corruptant violeur"
Bof, pas terrible. Pas digne de la Comtesse en tous cas. Pas de quoi casser 3 pattes à un enchaîné canard.
Prions mes frères qu'en ce saint vendredi, le divinement inspiré Georges nous sorte de cet enfer sémantique. En matière de contrepet, je ne sais pas. mais si on enlève le contre, il y a matière à alimenter son inspiration et à croiser son centre d'intérêt si j'ose dire.
Duga.
Mon pauvre Dugaz, tu es tellement concon que tu en deviendrais presque charmant. Niveau rhétorique, tu es à peu aussi bon que moi en plomberie halale.
RépondreSupprimerPauvre chéri, je m'en bats les burnes de féminiser l'halal avec ta bénédiction.
RépondreSupprimerL'enfant faisait quoi de l'autre côté du mur ?!C'est de l'abattage moi j'dis ! Tout le répertoire, qu'il disait...
RépondreSupprimerC'est ce qui arrive quand on fume son premier clope au saut du lit!
RépondreSupprimerLa petite histoire raconte même qu'un vieil écrivain désabusé et tabacomane invétéré en fumait jusqu'à 4 ou cinq avant de pouvoir affronter la réalité.
Las, un lendemain de beuverie, ayant perdu le compte, il en perdit à moitié la vue: il en avait fumé six!