Je n'aime pas Fellini. Fellini m'emmerde, profondément. Ses chefs-d'œuvre m'assoupissent de façon immanquable. Ses “délires” et ses “ambiances de fête” me plongent chaque fois dans des abîmes d'ennui, quand ce n'est pas de tristesse : ça s'agite sur l'écran et j'attends que ça se termine – toujours.
Pourtant, je me souviens être allé voir Amarcord à sa sortie, dans je ne sais plus quel cinéma d'Orléans – avec Denis, et peut-être Carlos, mais de Denis je suis sûr. Et j'avais ri, et j'avais aimé, mais j'avais 18 ans, alors...
Amarcord passe ce soir sur l'une des chaînes mises gentiment à ma disposition par je ne sais qui. Comme il commence à neuf heures moins vingt et tous les autres films (dont pas un vraiment désirable) à neuf heures, je vais accorder à Fellini une dernière chance de vingt minutes.
Être un artiste mort doit être bien pénible, si on s'en trouve réduit à cela : qu'un homuncule blogosphéreux daigne vous accorder vingt minutes de révision de procès – et pas une de plus.
Pourtant, je me souviens être allé voir Amarcord à sa sortie, dans je ne sais plus quel cinéma d'Orléans – avec Denis, et peut-être Carlos, mais de Denis je suis sûr. Et j'avais ri, et j'avais aimé, mais j'avais 18 ans, alors...
Amarcord passe ce soir sur l'une des chaînes mises gentiment à ma disposition par je ne sais qui. Comme il commence à neuf heures moins vingt et tous les autres films (dont pas un vraiment désirable) à neuf heures, je vais accorder à Fellini une dernière chance de vingt minutes.
Être un artiste mort doit être bien pénible, si on s'en trouve réduit à cela : qu'un homuncule blogosphéreux daigne vous accorder vingt minutes de révision de procès – et pas une de plus.
Ah non, moi j'aime bien les gros culs.
RépondreSupprimerComme il commence à neuf heures moins vingt et tous les autres films (dont pas un vraiment désirable) à neuf heures, je vais accorder à Fellini une dernière chance de vingt minutes.
RépondreSupprimerBouquins, films, décidemment vous ne finissez jamais rien vous!!
Sauf votre verre bien entendu.
Putain, Fredi, t'es un putain de comique, toi, hein !
RépondreSupprimerPutain, Fredi, t'es un putain de comique, toi, hein !
RépondreSupprimerUne sorte de Séraphin Lampion vous voulez dire?
Ou bien un Mister Bean en pire?
Choisissez!!
Qu'entendiez-vous par créature?
Allez-y je ne suis pas susceptible pour deux sous.
Ceci dit pour en revenir aux trucs que l'on ne finit pas j'ai exactement le même problème:
RépondreSupprimerMême préfacé par BHL je n'ai jamais pu terminer un roman de Botul.
(dont pas un vraiment désirable)
RépondreSupprimerCe cul enveloppé de laine vierge l'est assez.
Ca m'apprendra à tout prendre au premier degré...
RépondreSupprimerLe taulier s'est endormi sur Fellini.
Lâchez nous la basquette Fredo ...
RépondreSupprimerFellini ? Mio divo ! l'adoro...
RépondreSupprimerRien ne s'arrange, sur ce blog...
RépondreSupprimerGeargies a dit...
RépondreSupprimerLâchez nous la basquette Fredo ...
Didier Goux a dit...
Rien ne s'arrange, sur ce blog...
Soit...
Je vous épargnerai dorénavant mes commentaires à 12°5 .
Mon Basile (6 ans) qui voulait voir Elstir est plié de rire devant ces bonnes fesses.
RépondreSupprimerDans ma jeunesse, je m'étais sérieusement emmerdé en regardant "Huit et demi". Par contre, à l'autre bout de sa filmographie, j'ai pris beaucoup de plaisir avec "E la nave va"…
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