Le 20 novembre 1856, à Saint-Gall, chef-lieu du canton helvétique portant le même nom, a lieu un concert en deux parties. Lors de la première, Franz Liszt dirige l'orchestre pour deux de ses propres poèmes symphoniques, Orphée et Les Préludes. Après l'entracte, les spectateurs pourront entendre la troisième symphonie de Beethoven, encore appelée Héroïque, donnée par Richard Wagner.
Sinon, le XXIe siècle peut vous proposer la troupe des Enfoirés exécutant des numéros en costumes au profit des gargotes coronariennes : c'est bien aussi.
Sinon, le XXIe siècle peut vous proposer la troupe des Enfoirés exécutant des numéros en costumes au profit des gargotes coronariennes : c'est bien aussi.
Sinon, le XXIe siècle peut vous proposer la troupe des Enfoirés exécutant des numéros en costumes au profit des gargotes coronariennes : c'est bien aussi.
RépondreSupprimerAh bon ?
Moi qui était persuadé que notre pays était loin devant les autres en matière de festivals...
Sans parler de tous ces concerts qui se donnent dans les églises de France.
RépondreSupprimeret le 22 décembre 1808 au théâtre an der Wien ? Création de la 5ème, de la 6ème, du 4ème concerto et la Fantaisie chorale...
RépondreSupprimerLes Enfoirés c'est de la merde non ?
RépondreSupprimerLiszt!!! Quelle daube! Quant à Wagner, 10% de qualité (et encore)!
RépondreSupprimerQuant aux enfoirés, tirez la chasse: je vous les laisse;
Gargottes coronariennes ! Alors là, chapeau bas, il fallait la trouver celle-là ! copyright ou domaine public ?
RépondreSupprimerPour le reste je vous trouve injuste ou bien moqueur avec ces enfoirés ! Une belle ouvrage marketing mais une utilité indiscutable
Tout n'est pas perdu, Didier ! On peut encore découvrir des perles, jeunes, belles, virtuoses : le quatuor Zaïde.
RépondreSupprimerK2R, vous êtes détaché !
RépondreSupprimerDidier,
RépondreSupprimerZ'êtes méchant avec les enfoirés alors que, ce soir, il y a pire : les victoires de la musique...
Triste époque que la nôtre !
RépondreSupprimerJe me console en me disant qu'il y a peu de chances qu'en 1856 mes arrière-grands-parents illettrés, au fond de leur Bretagne, aient eu écho de ce magnifique concert.
Ils se distrayaient en trimant comme des bêtes sur la terre des autres, probablement peu conscients de la chance qu'ils avaient de vivre une époque bénie.
...Elle vient de là, elle vient du blues.
RépondreSupprimerFredi : je sais bien qu'il y a encore de vrais concerts, tout de même !
RépondreSupprimerK2R : Oui, mais alors, que du Beethoven, c'est vach'ment discriminant pour les autres, j'trouve…
Willycat : à vous de voir, mon cher, à vous de voir.
Hermès : je vous trouve bien indulkgent, avec vos 10 % ! Un petit coup de sénilité précoce ? Personnellement, je n'aurais pas dépasser 8,75 % (hors assurances).
Corto : toutes les petites inventions langagières de ce blog sont libres de droit : on n'est pas chez les mendigots d'extrême-gauche façon Olivier Bonnet, ici !
France-Hélène : je vais aller voir ça. Ils jouent qui et quoi, ces jeunes gens ?
Pluton : petit coup de fatigue ?
Nicolas : il y a encore pire : la fête de la musique. Parce que c'est en plein air et partout.
Jacques Étienne : je viens de faire mon enquête : mes ancêtres n'y étaient pas non plus.
Marchenoir : depuis quand vous écoutez de la musique de nègres enchaînés, vous ?
C'est pas du jhoni?
RépondreSupprimerGeargies
En fait, Didier, je n'écoute plus de musique de nègres depuis qu'on leur a enlevé leur chaînes.
RépondreSupprimerComme quoi, la musique a beaucoup perdu avec l'anti-racisme.