La France qu'on espère ou redoute, que l'on ne voit pas advenir ou que l'on sent dans son dos – mais qui de toute façon nous attendait au tournant du siècle avec des vacarmes prometteurs. Il y a déjà quelque temps que je n'arpente plus les rues des villes, vieil animal lucifuge et humanophobe que je me sens devenir. Je me dirige vers le même terminus que vous, mais j'essaie encore un peu de marcher moins vite. J'aimerais pouvoir m'égarer, mais il y a le repère immanquable de vos ballons multicolores.
Ce billet me fait penser à du Brassens dans l'esprit. Ne vous en déplaise.
RépondreSupprimerJ'aime bien même si c'est assez pessimiste ce texte l'apocalypse est pour bientôt donc
RépondreSupprimerDidier Goux, c'est dommage que tant de kilomètres nous séparent : j'adorerais prendre l'apéro avec vous !
RépondreSupprimerRéalisme quand tu nous tient...
RépondreSupprimerJ'ai mis chez moi une illustration qui devrait vous plaire a propos de multicolor !
Votre titre est une petite merveille : un genre de "pépite"!
RépondreSupprimerOui le titre est génial! J'adore!!
RépondreSupprimerDidier!! On vous aiiiiimmmmmeeeee!
RépondreSupprimerJ'adore le titre ...
Geargies
Le titre est un de ces petits joyaux, petit machin ciselé qui tombe comme une évidence (à en être jaloux !)
RépondreSupprimerEt le texte d’un pessimisme de bon aloi a quelque chose de poétique…
Joli, mais c'est déjà dit.
RépondreSupprimerMoi aussi, j'adore le titre.
RépondreSupprimerLa France était une idée. Elle le restera, probablement.
RépondreSupprimerLà vu le contexte, ç'aurait pu être Vaga Bond (le prénom Vaga est très fréquent sur les bords de mer et sur les bords de Seine)
RépondreSupprimerCe n'est pas tout à fait nouveau que cela ne sent pas Bond.
RépondreSupprimerLe mur se défait : chômage de masse depuis quarante ans, le liens social qui se barre, le liant culturel qui explose en un mosaïque d'ethnies juxtaposées, … bref le murs s'écroulent, sans compter que nos politiques ont du mal a caché qu'ils n'ont sur tout cela qu'un impact limité. Tout se décident à Bruxelles et à la bourse de New York…
Notre édifice n'a plus la forme, il n'a plus de forme, le pierres tombent une à une. C'est un Open Space, une Terra incognita, un espace sans limite,
Rien d'étonnant que dans ce vide immense tout se dilue.
Mais effectivement, la bête avant de mourir aura un dernier sursaut: Boum!
Excellent ! Quant au terminus, le plus tard possible, faut quand même pas déconner...
RépondreSupprimerPluton.
RépondreSupprimerJe sais Emma, j'ai eu la flemme...
Oh nooooooooooon, on va tous mouriiiiiiiiiir !
RépondreSupprimerVous la connaissez, celle de James Bond qui se retrouve avec un hélicoptère en panne au-dessus de la campagne normande ? Il se pose en catastrophe en plein champ et se dirige vers une petite ferme qu'il aperçoit non loin de là. Il cogne à la porte. Une grosse bonne femme à la barbe fournie ouvre. Il se présente comme il a l'habitude de le faire.
RépondreSupprimer- Bonjour, je m'appelle Bond, James Bond.
La fermière le regarde de haut en bas, s'essuie sa main droite graisseuse sur son tablier avant de la lui tendre.
- Et moi, c'est Monde, Ray-Monde !
(Bon...)
@Dorham, je la connais c'est une Connery :)
RépondreSupprimerJe serais allée jusqu'à Nausea Pond.
RépondreSupprimerAh, voilà ! on leur fait un titre façon almanach Vermot et ils sont contents ! Pfff…
RépondreSupprimerSinon, pour ce qui est de la mort, je pensais moins à celle qui nous sera personnelle (et qui relève en effet plus ou moins du lieu commun, surtout énoncée comme je l'ai fait) qu'à une disparition civilisationnelle. Ou, si l'on préfère à une fosse commune.
Oué bon, ce titre n'est pas mal.
RépondreSupprimerMais
"My name is Pond. Nausea Pond" , c'est mieux.
Vivre et laisser mourir ?
RépondreSupprimerDorham et Didier font des concours de jeux de mots abominables, j'ai envie de retourner parler à mes primevères, mais je vais faire une bonne action, et dire un p'tit mot gentil à Julie qui a travaillé à seize ans et n'a pas eu de vraie institutrice entre dix et seize ans, c'est la faute au système, vivement qu'on change de gouvernement, vite, vite, Marine.
RépondreSupprimerJulie: Le verbe s'accorde avec le sujet. l'enfant chante, les enfants chantent
tout se décide, c'est comme il ou elle décide
Le présent des verbes du premier groupe est ici.
Vous allez peut-être me trouver méchante, mais la réponse que vous avez faite à je ne sais plus qui, style "moi je suis allée à l'école jusqu'à seize ans et après je travaillais pour payer des impôts pour nourrir les bobos" est stupide. Encore, vous auriez dit "j'ai une orthographe dégueulasse et encore c'était pire avant, vu ma dyslexie", on aurait compati. Mais là, non. Le minimum orthographique ( singulier pluriel, masculin féminin, verbes aux temps simples de l'indicatif), ce n'est pas un truc de bobos, c'est le niveau CE2. Rien de plus ridicule que les harangues "c'est d'la faute aux étrangers" dans un français autant massacré.
Et si vous passiez un peu du temps que vous mettez à écrire tous vos commentaires à apprendre les conjugaisons, tout simplement ? Il n'est jamais trop tard.
Suzanne,
RépondreSupprimerVous venez d'inventer un prototype du futur presque passé : la bobobigoudaine !
Dorham: j'ai déjà de si beaux yeux de Breizh... (et elle se moque des vermotteries des autres, hahaha !)
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJe viens de lire les échanges d'hier entre Julie, Dorham et Fidel. Pardon d'en avoir rajouté une couche.
RépondreSupprimerSuzanne merci pour la leçon mais avec ou sans faute d'orthographe, je n'ai jamais écrit çà : "moi je suis allée à l'école jusqu'à seize ans et après je travaillais pour payer des impôts pour nourrir les bobos"
RépondreSupprimerC'est sans faute d'orthographe que vous me faites dire des choses que je ne dis pas. Chacun ses faiblesses.
C'est à cause du mépris qu'affichent les gens comme vous à l'égard de gens comme moi depuis fort longtemps que des gens comme vous et moi vont voter comme vous le faites. (mais pas moi…) (comprends qui peuxxx)
Comme quoi le fon prime sur la form
Grosses bise sans s
Julie : les bobos ne paient pas d'impots ? A moins qu'ils n'en paient plus que vous afin de vous permettre d'en payer moins...
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimerMaintenant on sait que vous avez un mauvais fond...
Dorham
RépondreSupprimerJe n'ai jamais écrit cela = "les bobos ne paient pas d'impots ? A moins qu'ils n'en paient plus que vous afin de vous permettre d'en payer moins.."
Ni avec ni sans fautes…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerNon, Julie, vous avez écrit que vous avez bossé pour payer des impôts pour nourrir les bobos. Je suppose que vous avez voulu écrire que vous avez bossé pour payer des impots ET pour nourrir les bobos, ce qui n'implique en l'espèce pas forcément de lien de cause à effet (bien que ce soit encore un peu flou comme cela). Le fond de vos commentaires est donc aussi affecté.
RépondreSupprimerDu reste, je doute que vous ayez réellement travaillé pour nourrir les bobos puisque cela impliquerait que les bobos occupent des emplois fictifs rémunérés par la sueur de leurs sous-fifres. Ce qui, comme à chaque fois que vous intervenez, témoigne d'une simplification absurde.
Comme je vous l'ai déjà écrit, vous n'avez rien à envier à n'importe quel militant de la LCR. J'ai manqué écrire "français" tant il semble dans la nature de certains de reprocher sans cesse sa condition à l'autre : le pété de thune, le bougnoule, le chinois qui bosse pour trois pierres, cette petite saloperie de plombier polonais...
(j'ai souffert, comme j'ai souffert à cause de TOI)
Non, Julie, vous n'avez pas écrit exactement cela. J'ai résumé à ma façon. (diffamatoire, of course). Je vais vous citer d'ailleurs:
RépondreSupprimerSi vous aviez fréquenté un peu les "prolétaires", vous sauriez qu'il se sont arrêter d'aller à l'école à seize ans parce qu'il fallait aller bosser pour gagner pas grand chose. Ne vous approchez pas trop de nous car en plus de mal parler on est assez sale.
Mais comme vous êtes des petits bourgeois, quand j'étais en train de bosser pour des bobos dans votre genre, (qui évidement me font la morale) vous étiez à la terrasses d'un bistrot (branché) avec vos potes révolutionnaire à refaire le monde derrière un demi de bière et à nous pondre des "théories" de gôche" pour notre bien à tous.
Alors le coup de l'orthographe, vous savez où vous pouvez vous le mettre!
Ce n'est pas la même chose, effectivement.
Et puis, merde. Je trouve tout ce que vous écrivez abominablement con, bas, et j'ai du mal à supporter les chouineurs et les "c'est pas d'mafaute si chuis pas été à l'école". J'en ai autant pour les parasites analphabètes comme les rappeurs adorés de Didier Goux, ceux qui veulent niquer tout le monde et qui se plaignent que la société les a mis en 4ème techno par pur racisme et que cépadleurfote si y zont cent mots de vocabulaire et encore, les jours fastes. Ne venez pas nous faire le coup de la pauvre petite prolétaire qui n'a pas pu apprendre le passé composé des verbes du premier groupe.
J'ai mauvais fond. Mais c'est vrai, quoi !
Au lieu de vous étriper, vous feriez mieux de m'aider à boucler le synopsis du prochain BM : j'en bave des ronds de casquette gestapiste, moi !
RépondreSupprimerAu lieu de vous étriper, vous feriez mieux de m'aider à boucler le synopsis du prochain BM : j'en bave des ronds de casquette gestapiste, moi !
RépondreSupprimerJ'veux bien vous écrire les scènes de cul.
Je prends pas cher.
Didier: Dorham et moi voulons bien vous écrire un un passage, porno de préférence (enfin, pas porno, cochon) (je n'ai pas consulté Dorham, mais c'est un bobo qui n'a rien à faire) Vous nous mettez trois phrases, on bouche les trous.
RépondreSupprimerah ha Fredi: Tout le monde veut offrir des scènes de cul !
RépondreSupprimerBen alors !
Oh, les scènes de cul elles s'écrivent toutes seules, depuis le temps !
RépondreSupprimerEt puis, je n'en suis qu'à faire tenir l'intrigue debout…
mettez un chien ! un type qui se venge parce qu'on a empoisonné son chien. Ou son cheval.
RépondreSupprimermettez un chien ! un type qui se venge parce qu'on a empoisonné son chien. Ou son cheval.
RépondreSupprimerFantasia chez les ploucs quoi....
Bon, finalement, retournez vous étriper : je préfère…
RépondreSupprimer"C'est à cause du mépris qu'affichent les gens comme vous à l'égard de gens comme moi depuis fort longtemps que des gens comme vous et moi vont voter comme vous le faites. (mais pas moi…) (comprends qui peuxxx)" (Julie)
RépondreSupprimerOuais, c'est ça. Le mépris.
Soignez votre orthographe, qu'on vous dit, et blablabla, vous êtes une pauvre prolétaire victime du mépris de classe...
On entend exactement la même chose des povs zexclus des cités.
Didier: mordelol!
RépondreSupprimerOui, Fredi ! Que pensez vous de "Elstiro chez les plouques"
Suzanne c'est vrai que pour ce qui concerne le niveau d'écriture vous mettez la barre très haute (je cite) :
RépondreSupprimer"Et puis, merde. Je trouve tout ce que vous écrivez abominablement con, bas, et j'ai du mal à supporter les chouineurs et les "c'est pas d'mafaute si chuis pas été à l'école"
Ca c'est de la littérature!
Donc je tire les conséquence de votre leçon et je vous dit en vous imitant Suzanne ; "Ta gueule la grosse" (pour parler dans votre style inimitable. J'ai bon? je suis assez douée comme élève, non?
Dorham : c'est bien la première fois qu'on me dit que je suis à la LCR, j'en suis toute retournée…
Grosses bises les filles
Oui, Julie... Je déchire en littérature et je méprise tout le monde grave sa race.
RépondreSupprimerBon, pouce,j'arrête de répondre à Julie, je ne voudrais pas dire du mal du Prolétaire Français aux grosses mains calleuses, humble et méritant ouvrier de chez nous (depuis cent générations de paysans et d'ouvriers mono ethniques et monovillageois même) et qui signe malhabilement, mais non sans grandeur éternellement chrétienne, avec une croix.
Didier,
RépondreSupprimerMettez dans votre intrigue, un rital de petite taille mais très bien membré, réac-refoulé, qui se fait trancher le pénis par une trotskyste refoulée qui a passé toute sa vie à travailler pour des bobos adorateurs de DSK qui ne faisaient rien de la journée, à part, jouer au baby foot et écouter du grangsta rap.
Et pourquoi pas une intrigue qui se passerait dans une centrale nucléaire ? C'est tendance ça ?
RépondreSupprimerSuzanne,
RépondreSupprimerLaissez les chrétiens en dehors des questions d'orthographe, ils ont déjà bien du mal à écrire et même à prononcer correctement transsubstantiation.
et ajoutez une demi Danoise bien roulée qui demande à Suzanne de la fermer…
RépondreSupprimer(du gRangsta rap : je viens d'inventer un courant...)
RépondreSupprimerUne demi-danoise ? C'est quoi ? Un salami de petite taille ?
RépondreSupprimernon, une amie sale et prolo
RépondreSupprimerJe compatis. Mais vous savez, je connais des prolos qui utilisent du savon.
RépondreSupprimerPar ailleurs, je recommande à Suzanne de continuer de l'ouvrir. Comme chacun sait, nous formons une caste à part entière, demi-sachant la veille, complètement puant le lendemain... Quand elle n'est pas là, je me sens seul...si en plus, c'est être seul avec des danois... (n'importe quoi l'immigration, hein...)
Ah ! demi-Danoise je sais ce que c'est : j'en ai une à la maison.
RépondreSupprimerDohram : pas con, la centrale, d'autant que j'ai déjà le reportage tout fait. Le numéro 8 de la série L'Empire des sectes, que j'ai tenté de lancer dans les années 1997-98 (j'en ai quand même écrit 10…) se passait à proximité et même dans la centrale nucléaire de Chooz, dans les Ardennes. J'étais allé la visiter pour l'occasion, je pourrais recycler : l'a pas dû beaucoup changer…
Ah, l'humanophobie de ceux qui se complaisent à être mal aimés, qui font tout pour l'être et qui s'ennivrent de leurs larmes! Ne reste qu' à vivre en parlant à ses chiens et à se prendre pour Houellebec.
RépondreSupprimerVous vous trompez, je ne me prends pas du tout pour Houellebecq.
RépondreSupprimerEn revanche je sais écrire son nom.
moi je veux bien être ton rewriter pour les BM.
RépondreSupprimer@Suzanne, soyez aimable avec Julie :)
C'est ici le nouveau comptoir ?
RépondreSupprimerje trouve ca assez classe, les disputes absconses sur l'orthographe à partir d'un titre Vermot... je n'ai pas trop de propositions pour le BM mais c'est sans doute que je sors de 5 h de cours... Tiens un gus qui ferait flamber un Pailleron, genre je me venge de tous mes profs ou bien je fais flamber 700 élèves pour purifier la race.. bon mon esprit gambade...Geargies
RépondreSupprimerAh Suzanne, ne mêlez pas mon chien à tout ça !
RépondreSupprimerTouver des idées pour les BM ? C'est pire que les écrire.
RépondreSupprimerSinon oui:
RépondreSupprimerCe court texte désabusé est à la fois beau et tragique et l'ironie de son titre nous fait pousser un sourire triste.
Je trouve Suzanne, que j'avais tendance à apprécier, particulièrement naze vis-à-vis de Julie.
RépondreSupprimerCe n'est, évidemment, sans importance.
Ah ça, c'est le drame de Suzanne (ou son grand bonheur), on l'apprécie souvent avant de se déclarer déçu. Mais c'est parce que Suzanne a une qualité que vous n'avez pas : elle est tout à fait libre.
RépondreSupprimerAllons bon, Fredi a des sourires qui lui poussent. J'espère que ce n'est pas trop douloureux et surtout j'espère qu'il ne lui en pousse pas à des endroits inconvenants.
RépondreSupprimerJacques Etienne: lu! Mis ce n'est sans importance, ou c'est sans importance ? Peu importe.
RépondreSupprimerJulie me demande de la fermer... J'aime bien les gens qui veulent faire taire les autres sur des blogs qui ne sont pas les leurs.
Dorham: libre, je ne sais pas... en dehors, oui; et puis Julie a raison sur un point: c'est facile d'enfoncer quelqu'un comme ça. Si elle était une étrangère qui s'excusait de ses fautes, je lui dirais qu'on comprend bien ce qu'elle écrit et que le français est une langue difficile. (et que moi-même, etc). Mais le coup de l'ouvrier sale et illettré, ça ne passe pas. Et quand on est dans un courant de pensée qui prétend que les immigrés font, entre autres, baisser le niveau scolaire, c'est un peu comique.
Suzanne, puisqu'il fut que l'on vous explique tout : 'le coup de l'ouvrier sale et illettré" était une plaisanterie… une galéjade, une provocation, certes un peu bébête, je veux bien admettre. Mais apparemment, vous n'êtes pas la seule à tout lire au premier degré. Ce qui a de bien ici c'est qu'on ne marche pas, on courre…
RépondreSupprimerEt voici, après le spectacle des clowns triste, le spectacle des contorsionnistes !!!
RépondreSupprimerDorham: mais puisque Julie dit qu'elle plaisantait !
RépondreSupprimerDidier: vous avez de la chance que les célestoïdes et autres ruminants n'aient pas le tiers du quart de votre talent polémiste pour épingler, comme vous le faites avec vos modernoeuds, les plus exaltés de vos reconquistadors.
Mais moi aussi, je plaisantais, nous plaisantons tous, quand les hordes crétiennes iront reconquérir Jérusalem, ce sera avec un immense sourire sur le visage (qui leur poussera je ne sais où) et quand on jettera les bobos à la baille, on n'oubliera pas de leur dire que tout ça, mais c'est bien sûr, c'est de la bonne blague et qu'il ne faut pas se formaliser pour si peu ; ce n'est qu'un peu d'eau n'est-ce pas, c'est encore plus drôle si tu ne sais pas nager. Du reste, nous n'en sommes qu'à l'ébauche des statuts mais nous mettons actuellement sur pied une Association Loi 1901 dont l'acronyme sera l'A.G.D.X. : l'Association des Gros Déconneurs Xénohpobes.
RépondreSupprimer@ tous: je crois, que dis-je! je pense qu'il y aurait lieu, à ce stade de la conversation, de se demander si Julie est bien ce que son joli pseudo de petite banlieusarde trentenaire laisse supposer... hummm? ou bien , heu, quelque chose comme son contraire? genre un parigot vieillissant jouant à la petasse décérébrée ?
RépondreSupprimerCar, s'il faut qu'on courre... c'est que le furet court, que le dialogue tourne court, à la sortie du cours de français, dans la cour du lycée, en allant vers les courts de tennis... Ah mais! Vous courûtes aux bords où vous fûtes laissée ... et cetera... Geargies.
Geargies,
RépondreSupprimerJe me suis en effet demandé si Julie n'était pas une sorte de "fake", comme on dit de nos jours.
Allons bon, Fredi a des sourires qui lui poussent. J'espère que ce n'est pas trop douloureux
RépondreSupprimerAh oui ! Je reconnais un choix malheureux.
Remplacez par "venir".
Eh oui tout ça c'est de la plaisanterie:
RépondreSupprimerun fake, défeque
Une gueule, dégueule
Une conne, déconne
Encore une demi-journée et il va y en avoir pour affirmer qu'en fait, Julie c'est Georges en travesti…
RépondreSupprimeren voila une idée qu' elle est bonne pour le BM de 4 heures
RépondreSupprimerEt bien c'est ma fête!
RépondreSupprimerL'autre j'étais une caniche naine, après une "furie", maintenant une "pétasse décérébrée de banlieue" (au passage me faire traiter de cela par des gens de gôche en dit long sur leur vision du social)
et maintenant me voilà "Virtuelle"…
ou "Fake"
J'admire également la haute tenue sémantique de mes profs d'orthographe…
Ne sommes nous pas tous "virtuel" dans le monde merveilleux de la blogosphère?
Didier : c'est quoi un BM?
BM = Brigade mondaine : collection de romans policier “de gare” qui, depuis un peu plus de vingt ans, me permet de ne pas mourir de faim…
RépondreSupprimerBon, j'ai lu le titre et j'ai ri.
RépondreSupprimerMerci.
ma pov'Julie... Si vous croyez que je suis de gauche ... haha ! Que dis je: hahaha! Je pense qu'en tout cas y'a une base de blonditude aiguë qui ne fait aucun doute...
RépondreSupprimerGeargies.