Une fois de plus, vous parlez de choses qui me concernent. Etonnant non ? Je n'ai pas lu le journal, dites-moi où ça se trouve parce que je craque devant l'ampleur de la tâche. J'attends d'avoir lu pour me prononcer sur le terme de "loustic" employé par Homo Aegyptus.
Je n'ai pas encore fini de lire La Recherche non plus ! Et même, pour tout vous dire, j'en suis encore loin ! Alors pas de quoi vous vexer. Il faut me pardonner : sans doute suis-je aussi une "lectrice séquentielle" !
Le Réfugié Matrimonial apparaît tour à tour comme l'engin de votre torture ou comme un signe vous indiquant le chemin du salut ! Curieuse dualité. Je serais Ygor, je me poserais, à la lecture de cette livraison du journal, bien des questions sur l'opportunité d'une présence prolongée. A moins que, charitable, il ne se fixe pour but de ne vous quitter qu'après vous avoir totalement guéri de votre tendance naturelle autant qu'ancienne à l'"ursification".
Mildred : oh mais cela ne me dérange nullement ! Au contraire, ce qui m'étonne parfois, souvent même, c'est que des gens prennent le temps de lire ce pauvre journal qui n'a guère d'intérêt.
Jacques Étienne : mais c'est l'intérêt du journal, du “genre journal” : comme il est tenu presque en temps réel, on voit la pensée (tout de suit les grands mots !) et les sensations osciller selon l'humeur, le temps qu'il fait, etc. Rien n'est jamais fixé définitivement.
Mildred : Vendredi 6 mai : – Sinon, Ygor Yanka sera de retour en Europe dans un peu plus d'une semaine : je dois aller le cueillir à Roissy dimanche 15 à midi dix. Dans un premier temps il devrait s'installer chez nous, dans la Case… à la place de Ludovic.
Allez, on met ses petites lunettes et on lit lentement pour tout bien comprendre…
Catherine, Houla, houla ! Vous m'auriez adressée à un membre du Collège de Pataphysique, que je ne serais pas plus désarçonnée ! Alors, c'est lui le loustic ?
Mildred, mais ce n'est pas un loustic ! C'est Homo Aegyptus qui le traite de ce nom (on se demande de quels droits ?) Pour nous c'est Ygor Yanka, réfugié matrimonial.
Catherine, Bon ! Je commence à entrevoir que peut-être un jour je serai capable de comprendre. Mais quel rapport avec les juifs de Shanghaï des années trente ?
M'ame Catherine, je connaissais l'origine du mot loustic ("Bruder lustig", ou Frère la Joie). En Egypte aussi nous apprenons parfois l'allemand et autres langues subsidiaires, comme le danois qui, me suis-je laissé dire, vous est cher. Il me semble me souvenir de quelques textes joyeux et de haute tenue littéraire signé Yanka. Je me suis toujours dit : "Curieux pistolet !" D'un autre côté, je doute un peu de la réalité de son séjour chez vous : pourquoi n'intervient-il pas ici ? Vous le séquestrez ? Il jardine ? Il dort ?
Il me reste à me faire injurier par Renaud Camus. Il parlera de moi dans son journal. Et j'aurai réussi ma vie. Mais c'est vrai que Didier Goux, c'est déjà pas mal.
Par ailleurs, vous vous doutez bien que vos lecteurs sont victimes d'une immense frustration. Mais qu'est-ce-qu'il a fait, Yanka, à sa femme? (ou vice-versa). Bon, je sais c'est pas nos oignons, mais puisqu'on nous dit que Yanka a quitté le Québec à cause de sa femme, vous comprendrez que, forcément...
Mais pourquoi est-ce que je n'arrive pas à coller une photo en tête de ce billet, bordel ?
RépondreSupprimerAh, ça y est !
RépondreSupprimerVotre réfugié matrimonial semble un bien curieux bonhomme. Une sorte de loustic, non ?
RépondreSupprimerUne fois de plus, vous parlez de choses qui me concernent.
RépondreSupprimerEtonnant non ?
Je n'ai pas lu le journal, dites-moi où ça se trouve parce que je craque devant l'ampleur de la tâche.
J'attends d'avoir lu pour me prononcer sur le terme de "loustic" employé par Homo Aegyptus.
Homo Aegyptus : curieux bonhomme ? Peut-être. Mais on n'est pas fâché de l'avoir eu.
RépondreSupprimerMildred : c'est toujours amusant, de dire à un auteur : je ne vous ai pas lu, mais dites-moi donc ce que vous racontez…
Je n'ai pas encore fini de lire La Recherche non plus !
RépondreSupprimerEt même, pour tout vous dire, j'en suis encore loin !
Alors pas de quoi vous vexer.
Il faut me pardonner : sans doute suis-je aussi une "lectrice séquentielle" !
Le Réfugié Matrimonial apparaît tour à tour comme l'engin de votre torture ou comme un signe vous indiquant le chemin du salut ! Curieuse dualité. Je serais Ygor, je me poserais, à la lecture de cette livraison du journal, bien des questions sur l'opportunité d'une présence prolongée. A moins que, charitable, il ne se fixe pour but de ne vous quitter qu'après vous avoir totalement guéri de votre tendance naturelle autant qu'ancienne à l'"ursification".
RépondreSupprimerMildred : oh mais cela ne me dérange nullement ! Au contraire, ce qui m'étonne parfois, souvent même, c'est que des gens prennent le temps de lire ce pauvre journal qui n'a guère d'intérêt.
RépondreSupprimerJacques Étienne : mais c'est l'intérêt du journal, du “genre journal” : comme il est tenu presque en temps réel, on voit la pensée (tout de suit les grands mots !) et les sensations osciller selon l'humeur, le temps qu'il fait, etc. Rien n'est jamais fixé définitivement.
Bon ! j'ai lu jusqu'au 13 mai inclus, et à part vous, toujours pas l'ombre d'un "loustic" !
RépondreSupprimerJe continuerai plus tard.
Homo Aegyptus, d'après wictionnaire :
RépondreSupprimerde l’allemand lustig (« drôle, amusant, content, gai, joyeux »).
C'est tout à fait ça !
Mildred :
RépondreSupprimerVendredi 6 mai :
– Sinon, Ygor Yanka sera de retour en Europe dans un peu plus d'une semaine : je dois aller le cueillir à Roissy dimanche 15 à midi dix. Dans un premier temps il devrait s'installer chez nous, dans la Case… à la place de Ludovic.
Allez, on met ses petites lunettes et on lit lentement pour tout bien comprendre…
Catherine,
RépondreSupprimerJ'ai bien lu, mais c'est qui ce Ygor Yanka ?
Je suis censée le savoir ?
Mildred, Ygor est un bloggeur belge rapatrié "matrimonial" du Québec.
RépondreSupprimerhttp://opusxvii.hautetfort.com/
Catherine,
RépondreSupprimerHoula, houla ! Vous m'auriez adressée à un membre du Collège de Pataphysique, que je ne serais pas plus désarçonnée !
Alors, c'est lui le loustic ?
Mildred, mais ce n'est pas un loustic ! C'est Homo Aegyptus qui le traite de ce nom (on se demande de quels droits ?) Pour nous c'est Ygor Yanka, réfugié matrimonial.
RépondreSupprimerCatherine,
RépondreSupprimerBon ! Je commence à entrevoir que peut-être un jour je serai capable de comprendre.
Mais quel rapport avec les juifs de Shanghaï des années trente ?
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerM'ame Catherine, je connaissais l'origine du mot loustic ("Bruder lustig", ou Frère la Joie). En Egypte aussi nous apprenons parfois l'allemand et autres langues subsidiaires, comme le danois qui, me suis-je laissé dire, vous est cher. Il me semble me souvenir de quelques textes joyeux et de haute tenue littéraire signé Yanka. Je me suis toujours dit : "Curieux pistolet !" D'un autre côté, je doute un peu de la réalité de son séjour chez vous : pourquoi n'intervient-il pas ici ? Vous le séquestrez ? Il jardine ? Il dort ?
RépondreSupprimerJe vous laisse, j'ai une momie à rafistoler.
Homo Aegyptus, doutez si vous voulez ! J'ai des photos !
RépondreSupprimerIl me reste à me faire injurier par Renaud Camus. Il parlera de moi dans son journal. Et j'aurai réussi ma vie. Mais c'est vrai que Didier Goux, c'est déjà pas mal.
RépondreSupprimerPar ailleurs, vous vous doutez bien que vos lecteurs sont victimes d'une immense frustration. Mais qu'est-ce-qu'il a fait, Yanka, à sa femme? (ou vice-versa). Bon, je sais c'est pas nos oignons, mais puisqu'on nous dit que Yanka a quitté le Québec à cause de sa femme, vous comprendrez que, forcément...
Bon, un petit bonjour à Yanka s'il passe par là .. et cetera, vu qu'on a le même âge à la louche, il saura ce que je veux dire.. Geargies.
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