Ce matin, l'écrivain en bâtiment a passé sa robe de bure et s'est enfermé dans sa cellule monastique pour tenter de bâtir – et de faire tenir debout – un nouveau chef-d'œuvre immortel, sans espoir de défroquer avant deux semaines. Cela devrait raconter la terrifique et pitoyable histoire d'un parodontologue, maboule mais aux dents longues, et s'appeler Les Métamorphoses du vampire : titre baudelairien pour un livre qui, on peut d'ores et déjà l'affirmer, ne le sera en rien. Mais je m'en sortirai, ne vous faites pas de mauvais sang.
"Paradontologue maboule mais aux dents longues ?
RépondreSupprimerMiam, miam !
Mildred, à votre place, je ferai attention à ce que je dis… sous peine de vous retrouver dans des situations infernales !
RépondreSupprimerTiens, pas bête : on va y introduire (si je puis dire) une Mildred, dans ce bouquin…
RépondreSupprimerDevons-nous comprendre que pendant 15 jours il y aura vacance de blog ?
RépondreSupprimerChic ! Je vais être introduite dans un VRAI bouquin !
RépondreSupprimerCorto : non, pas à ce point !
RépondreSupprimerMildred : à vos risques et périls…
Arrêtez de me mettre ainsi sur le gril : je meurs d'impatience !
RépondreSupprimerAh ben, va falloir me laisser l'temps, tout d'même !
RépondreSupprimerOui ! Vous avez raison, il faut vous laisser le temps de peaufiner !
RépondreSupprimerbon, en parlant de bouquin dont le dentiste a les dents longues, je vous conseille Lashner Rage de dent, beaucoup d'humour et pas mal de saloperies....
RépondreSupprimerhttp://www.amazon.fr/Rage-dents-William-Lashner/dp/2268057445
A la lecture de ce poème rafraichissant et entrainant, bon courage!
RépondreSupprimerQuel dommage que vos idées soient poluées par le relan car votre écriture est autrement plus profonde que ne le sont vos points de vue malvoyant. Alors merci au "monde" de m'avoir présenter un ennemi admirable ! Julien@kat-in.fr
RépondreSupprimerAurions-nous l'honneur de cette pâle conversation, et livraison d'éprouvette à chaque pleine lune..Je n'en serai vous dire, à cet âge de Pierre où la gencive mûre du palais à la gorge, ce que le pieux meurtri par la dent aiguisée, quel était l'épisode où elles se confondaient...
RépondreSupprimerMais j'en aspire à vous, très cher parodontologue, de nous munir de vos lignes, dés lors le flux vous scie..
Ô petite Marie, ne vous semble t-il pas que ce Pierre vous noie mais que la joie vous comble bien au dessus des lois..
Bien à vous, Pierre-Marie.
Sand Z,
RépondreSupprimerQuoi, quoi : de quoi qu'on nous cause ?
Mildred vous m'étonnez !
RépondreSupprimerSand Z,
RépondreSupprimerEt vous n'êtes pas la seule !
"vos idées sont poluées par le relan"
RépondreSupprimerPas "un relent de ceci, de cela," ou même l'habituel "relent nauséabond", mais des idées polluées par le relan, écrit comme ça, comme le début du verbe relancer, c'est comme des idées portées, roulées par le ressac.
C'est presque beau.
En effet : " presque beau "... Mais tout aussi laid que l'est mon orthographe que je vous remercie de corriger. Bah, je me délecte de votre univers parallèle et fais fi de vos craintes pour mieux profiter de vos complaintes. Elles me divertissent au même titre qu'un Laurent Gerra ou d'un extrait choisi de rire et chansons. Le beauf a tout autre allure au sortir de son hlm. Un costume ou mieux un déguisement a 8,5 sous couvert du Littré. D'la balle et un régal !
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