Pascal Barbier ne passera pas à l'histoire : pas assez important. Pascal Barbier dirige une petite entreprise, comme il doit y en avoir cent mille en France (chiffre lancé au hasard), à Pacy-sur-Eure : plomberie, couverture, chauffage – enfin vous voyez le genre.
Nous faisons affaire depuis dix ans ans avec ce petit héros des temps modernes. Parce que nous avons une maison, une chaudière, des fuites, etc. Quand on l'appelle, il dit qu'il viendra tel jour à telle heure – et il vient. Ensuite, devis fait et signé, son assistante nous appelle et nous demande si nous serions disponibles pour une visite tel jour à telle heure. En général, nous disons oui.
Parfois, le jour dit, un quart d'heure avant le moment fatidique, notre téléphone sonne. C'est l'assistante qui nous avertit que son ouvrier, ayant eu un petit problème chez le client précédent, aura probablement une ou deux dizaines de minutes de retard sur l'horaire prévu. Elle nous prie de l'en excuser et nous demande si l'ouvrier en question peut venir tout de même. Sciés par une question aussi peu en rapport avec la grossièreté de l'époque, nous répondons généralement oui, d'une voix que nous avons peine à reconnaître nous-mêmes.
Les différents artisans de l'entreprise Barbier, quand le hasard a fait que nous eussions à discuter avec eux, nous ont souvent dit que ouaf ! le patron, hein ! c'est pas ce qu'on a connu de plus commode ! C'est sans doute vrai, puisqu'ils le disent à peu près tous. Mais, dix ans après, ce sont les mêmes spécialistes que l'on voit arriver chez nous, dès lors que l'on fait appel à l'entreprise : ils doivent être masochistes pour supporter un tyran pareil depuis tout ce temps.
Il y a quelques mois, l'un des employés-piliers a perdu son permis de conduire. La patron-qui-ne-rigole-pas ne l'a pas viré : il lui a adjoint une très charmante jeune fille dont le travail consiste à conduire la camionnette à sa place et à attendre qu'il ait fini son intervention, ici ou là. Jusqu'au temps où il récupérera le précieux permis – ce qui ne devrait d'ailleurs plus tarder maintenant.
Les employés de l'entreprise Barbier (et de beaucoup d'autres, j'espère), quand on parle avec eux et qu'on se plaint de ce qu'il est de plus en plus difficile d'obtenir des interventions rapides, nous disent tous la même chose : ils ont les plus grandes difficultés à trouver des stagiaires à former, et quand ils en trouvent, ceux-ci fuient à toutes jambes au bout de quelques semaines, dès qu'ils se rendent compte qu'il va leur falloir se lever à six heures et demie du matin et travailler parfois jusqu'à des huit heures du soir.
Ces artisans, jeunes pour la plupart, ne sont pas racistes et se foutraient bien que leur aide soit berrichon ou marocain. Seulement, berrichon ou marocain, ils n'en trouvent pas. Et ces gens sont les premiers à nous expliquer, sans qu'on leur ait rien demandé, que les jeunes qu'ils aimeraient former préfèrent émarger aux aides sociales que venir travailler avec eux. « Vous comprenez, c'est fatigant, et on n'a pas beaucoup de temps libre. Pourtant ceux qui en veulent gagnent bien leur vie, vous savez ! » Oui, on se doute.
On sent bien bien que ces Franchouillards sont totalement intoxiqués par la propagande sarkozyste. Et puis, hein, des fois, pour changer un malheureux robinet, il faut se faire des dix à quinze bornes. Alors que, pour émarger, c'est à la Madeleine, chez nous, juste en bas de l'immeuble où on vit chez Maman-qui-fait-des-ménages.
Pour revenir à ce que je disais au début : Pascal Barbier semble être un homme qui a décidé de respecter sa parole. S'il ne le sait pas, il doit sentir que la préciosité de la parole donnée est la condition première de la prospérité d'un pays ; qu'on ne bâtit rien de solide ni durable sans parole et confiance en celle-ci. Peut-être même sait-il, mais ce n'est pas sûr que ça l'intéresse – il a autre chose à faire : votre robinet, ma douche, le mur du voisin… –, que les pays où la parole des hommes ne vaut rien ou peu de chose sont voués à s'enfoncer dans la misère et la crasse. En règle générale, ils y sont d'ailleurs déjà.
Pascal Barbier est une espèce de résistant.
C'est l'anti Christophe Barbier de l'Express que tu nous décris ! Ce qui est amusant, c'est que tous ceux qui font l'Histoire, sans bruit, discrètement mais sûrement et solidement, ne passent effectivement pas à l'Histoire... Mais quelle importance ? Ils ont la satisfaction du travail bien fait et de la conscience tranquille... Et ce sont bel et bien les hommes et les femmes de demain, car sans eux, rien ne se fera : ils construisent l'avenir pendant que d'autres tentent de ruiner...
RépondreSupprimerC'est exactement ça, en effet.
RépondreSupprimerVous avez eu raison d'écrire d'écrire ce billet à la gloire des artisans.
RépondreSupprimerCela nous change de tous ces guignols de la politique.
J'aime bien ce qu'a dit Antoine.
J'en ai connu un, moi, de "Pascal Barbier" , il s'appelait François Zapata, il était plâtrier-peintre.
Nous avions le même âge à deux ans près.
Il a débarqué chez moi, j'avais vingt-sept ans, et jusqu'à ce qu'il meure prématurément d'un infarctus il a travaillé chez moi au fil de mes déménagements.
Je n'ai pas encore trouvé à le remplacer, et d'ailleurs je n'ai pas cherché.
Oui, c'est le problème : on s'attache…
RépondreSupprimerHonneur et éternité à Pascal Barbier et à ses ouvriers, sans oublier la conductrice .
RépondreSupprimerIls ne trichent pas, eux.
Nous en avons connu un du même tonneau. Maçon de son état. Nous en avions fait un ami et il partageait souvent notre table. Car en plus de savoir assembler les vieilles pierres mieux que quiconque, il était d'une gentillesse admirable et la mémoire de sa région.
RépondreSupprimerIl est mort dans sa 63ème année épuisé de travail. Un ami apprenant la nouvelle et à qui nous l'avions présenté eut cette formule:
"c'est un peu de France qui s'en va".
Très beau billet.
RépondreSupprimer"S'il ne le sait pas, il doit sentir..."
Je me demande si ce n'est pas la clé. Quand on se met à savoir, à vouloir savoir... (voir le débat sur l'identité nationale)
Oui, ce Barbier est un homme extraordinaire, mais au sens strict. Déjà, un artisan qui est là quand il l'a dit, c'est hors du commun. Moi j'attends un couvreur depuis un an, ou plutôt trois couvreurs, contactés successivement, à mesure que j'en avais marre d'entendre le précédent me dire toutes les semaines "j'arrive demain". La vraie leçon, c'est que le monde des artisans (seulement ?) n'a plus aucune parole, et c'est pourquoi votre Barbier méritait ce billet.
RépondreSupprimerIl doit avoir quelque chose de spécial, être catho intégriste, fils de pasteur méthodiste ou un truc de ce genre.
Cette histoire d'artisan me fait penser à un restaurant où nous aimions bien aller. On y trouvait des plats du jour cuisinés aux légumes de saison, du gibier quand c'était la période de la chasse, le monsieur étant chasseur. Un jour il est parti, emporté par le crabe. Sa femme a bien tenté de faire vivre l'affaire mais, vieillissante, elle se trouva vite dépassée par la charge et dut abandonner.
RépondreSupprimerUne jeune et assez jolie femme prit la suite. Mais, entre son shopping matinal dans la ville voisine et la préparation du menu, la régularité et la fiabilité s'en trouvèrent fortement altérées. Celà se sut et si l'on venait encore s'accouder à son comptoir pour voir son joli postérieur, plus personne ne se risquait à y venir manger. Elle dut partir elle aussi.
Vinrent un couple de jeunes qui se mirent en tête de faire de l'endroit une adresse gastronomique, quelque chose de chic: il fallait dorénavant réservé. Revenant un jour de randonnée, et bien que n'ayant pas réservé, nous tentâmes notre chance. Ils ne firent aucune difficulté d'autant qu'il n'y avait personne. Et pour cause ! Après une entrée chichiteuse et un plat tout autant, nous repartimes exagérément soulagés du porte-monnaie et encore affamés.
Ils partirent un matin à la cloche de bois.
Aujourd'hui c'est encore un couple de jeune qui tient l'affaire. Le Monsieur porte anneaux à l'oreille, piercings abondants, jean tombant très bas laissant voir un sous-vêtement siglé d'une marque. Il doit avoir beaucoup d'amis sur le réseau social, car à chaque fois que nous passons devant la terrasse de son établissement il est là, attablé et pianotant sur son smartphone. Si des clients arrivent, il sort quelques frites du congélo ainsi qu'un steack à la provenance incertaine.
Et vous savez quoi ?
Miracle ! Ca marche !
Fredi Maque : si ça marche, c'est que les gens ont la bouffe qu'ils méritent : tant pis pour eux ! (Et tant pis pour vous qui devez aller ailleurs…)
RépondreSupprimerFormidable!
RépondreSupprimerJe suggère pour le prochain post, de nous détailler votre week-end si réussi à Romorantin.
Pensez donc, le train était à l'heure.
Mais pourquoi leur voulez-vous autant de mal , aux artisans ? Vous voulez qu'on leur montre de la reconnaissance ?!? Leur rendre hommage ?!?
RépondreSupprimerVous voulez en faire des profs , des infirmières , c'est ça ?!?
si ça marche, c'est que les gens ont la bouffe qu'ils méritent : tant pis pour eux !
RépondreSupprimerOui.
Sans doute.
Sinon on fera preuve d'indulgence pour les trop nombreuses fautes de mon commentaire: je tape comme je parle et ne me relis guère.
Vinrent un couple de jeunes qui se mirent
RépondreSupprimer.....Pfffff...impardonnable !
Et je pense à cette très astucieuse chanson de Gainsbourg:
En relisant ta lettre je m'aperçois que l'orthographe et toi, ça fait deux
C'est toi que j'aime
Ne prend qu'un M
Par-dessus tout
Ne me dis point
Il en manque un
Que tu t'en fous
Je t'en supplie
Point sur le i
Fais-moi confiance
Je suis l'esclave
Sans accent grave
Des apparences
C'est ridicule
C majuscule
C'était si bien
Tout ça m'affecte
Ça c'est correct
Au plus haut point
Si tu renonces
Comme ça s'prononce
À m'écouter
Avec la vie
Comme ça s'écrit
J'en finirai
Pour me garder
Ne prends qu'un D
Tant de rancune
T'as pas de cœur
Y a pas d'erreur
Là y'en a une
J'en nourrirai
N'est pas français
N'comprends-tu pas ?
Ça s'ra ta faute
Ça s'ra ta faute
Là y'en a pas
Moi j'te signale
Que gardénal
Ne prend pas d'E
Mais n'en prend qu'un
Cachet au moins
N'en prend pas deux
Ça t'calmera
Et tu verras
Tout r'tombe à l'eau
L'cafard, les pleurs
les peines de cœur
O E dans l'O
.... une espèce de résistant.
RépondreSupprimerExactement.
Eh bien, maintenant que la pluie aidant, tout le monde y a été de son petit commentaire nostalgique, je voudrais vous projeter dans un avenir plein d'allégresse en vous parlant d'un tout nouveau métier que j'ai découvert en lisant mon journal ce matin.
RépondreSupprimerIl s'agir du beau métier de capotier !
Si cela intéresse quelqu'un, je suis prête à donner des explications, mais je ne voudrais pas me galvauder non plus.
Chez moi, les artisans ne viennent que quand ils le veulent bien, histoire de montrer qu'ils ne sont pas à notre service et qu'en plus de leur facture (payable à la réception pour des travaux qu'on a attendus ... longtemps) il veulent des remerciements et des compliments et un coup à boire et qu'on admire leur bagnole et qu'on les plaigne de faire un boulot pénible et qu'on les félicite de bosser dans leur maison de vacances que vous pourriez pas vous payer avec ce qui reste une fois qu'ils ont encaissé votre chèque et ... et ... et ...
RépondreSupprimerAlors, si les artisans ne viennent pas à moi, j'irai aux artisans. Penche-toi à la fenêtre! Le nuage de poussière à l'horizon, c'est moi.
je voudrais vous projeter dans un avenir plein d'allégresse en vous parlant d'un tout nouveau métier que j'ai découvert en lisant mon journal ce matin.
RépondreSupprimerC'est déjà un vieux métier non ?
Aussi vieux que l'apparition du sida et qui s'adresse à celles exerçant un tout aussi vieux métier.
fredi maque,
RépondreSupprimerOui ! Mais tout est dans la manière de l'exercer !
Quoi !!!
RépondreSupprimerNe me dites pas qu'il se paye en nature !
Tout fout le camp.
RépondreSupprimerMême les tauliers ont changé.
Même si ya encore plein de clients, ils crient "on feeeeerme !"
et hop, ils baissent le rideau de fer et foutent les derniers dehors.
Tssss …
Je vous rappelle, Fraülein Karine, que vous êtes ici sur un blog nazi. Il ne faut donc pas vous étonner des méthodes gestapistes du feldtaulier…
RépondreSupprimer(Lequel en avait un peu marre de devoir purger sa boitamel six fois par jour…)
fredi maque,
RépondreSupprimerMais non ! Jérôme Bénozillo, c'est son nom, aurait trop peur de "tomber" !
Son coup de génie c'est de faire fabriquer ses capotes en Malaisie, et de les livrer directement "à domicile" dans les camionnettes de ces dames, sur leur lieu de travail. Elles n'ont plus besoin d'aller acheter en pharmacie ou sur internet.
Il a ajouté à la marchandise, rouleaux de papier médical, gels hydroalcooliques, et même sextoys.
Il a écoulé 800 000 articles par an, en augmentation de 35% par rapport à 2010 !
C'est pas beau ça ?
Goux, vous êtes un magnifique conteur.
RépondreSupprimerEn vous lisant, nous voici émus par la vie des petites gens de la France éternelle.
Votre immense talent rend compte de la dimension shakespearienne de l'Artisan français.
Dur à la tâche, le cœur sur la main, toujours prêt à se sacrifier pour la Patrie, l'Artisan tricolore œuvre pour le bien de son Pays sans rechigner, dans un anonymat qui l'honore, entouré par des hyènes assistées et pas toujours françaises qui ricanent en le voyant gagner son pain avec opiniâtreté.
Didier Goux, écrivain trop méconnu de la France profonde, blanche et travailleuse, je suis bien certain que Renaud Camus a été bouleversé par votre allégorie.
Moi-même, ignoble gauchiste devant l'Éternel, j'ai versé une larme.
Merci Monsieur Goux, merci à la France profonde de nous fournir de tels auteurs de génie...
Pacy-Sur-Eure ! Je connais un peu, un de mes très bon ami possède une maison à Ménilles... (ca vous intéresse non ?)
RépondreSupprimerSinon, au sujet des artisans, même dans la restaurations ça devient comme ce que vous décrivez. Certes, les patrons restaurateurs ne sont pas toujours les plus honnêtes mais compte tenu de la pénurie de main d'œuvre, les salaires grimpent presque aussi vite que les taux des obligations grecques...
Bon, on commence à y voir plus clair…
RépondreSupprimerCui-Cui : l'homme dont je parle ne se sacrifie nullement : il gagne sa vie en produisant des richesses. Et je trouve que votre commentaire suinte le mépris.
RépondreSupprimerSkandal : eh bien, le jour où vous êtes invité à Ménilles (à six ou sept kilomètres de mon bled…), faites-le-moi savoir !
Cui-cui : le mépris à son égard, voulais-je dire : pour ce qui est de moi, vous pouvez y aller : me vexer n'est pas dans vos moyens.
RépondreSupprimer"Et ces gens sont les premiers à nous expliquer, sans qu'on leur ait rien demandé, que les jeunes qu'ils aimeraient former préfèrent émarger aux aides sociales que venir travailler avec eux."
RépondreSupprimerJ'en connais un comme ça, juste à côté de chez moi. Appelons le Jordan par exemple.
Jordan a la vingtaine, il vit chez papa-maman, qui ne sont pas spécialement riches. Pourtant Jordan a un métier - il travaille dans la plomberie - mais il trouve que monter des WC et des robinets toute la journée c'est vraiment trop ennuyeux.
Alors il travaille quelques mois, juste histoire d'ouvrir le droit aux allocations. Puis il démissionne et avec les allocations il part en vacances - en Espagne ou ailleurs - avec des copains, pendant un mois ou deux.
Puis il revient à l'hôtel papa-maman et recommence à travailler. Ce qui est très facile puisqu'on embauche toujours dans son secteur.
Ce que Jordan ne sait pas c'est qu'il est en train de se bâtir tranquillement un CV qui le désignera comme un paresseux et un je-m’en-foutiste aux yeux de n'importe quel employeur avisé.
Et ce qui était un choix bien agréable au départ se transformera en dure nécessité l'âge venant : un petit travail, sans perspective de s'élever dans sa profession.
Mais pour le moment il s'en fiche Jordan, travailler c'est trop ennuyeux et puis il y a papa-maman et surtout les allocs.
Que demander de plus ?
Des plombiers pareils, il n'y a qu'en Normandie qu'ils peuvent exister, avec toute la flotte que vous recevez ! Même à Paris, il n'y en a pas des comme ça, et dans le midi…
RépondreSupprimerPffff : c 'était vraiment bien , le fil de coms sous l 'article de Robert Marchenoir.
RépondreSupprimerEt si vous ouvriez un nouveau blog juste pour leuliberalism...s'il vous plait, monsieur Didier. S'il vous plait, en plus je n'y dirai rien, promis.
Merci à dxdiag qui vient de me faire comprendre le coup de froid qui est passé sur ce blog cet après-midi.
RépondreSupprimermoi je connais un restaurateur qui a appris la cuisine en apprentissage, qui a appris son métier chez les anciens et qui a ouvert son restaurant depuis 15 ans, il est honnête, n'utilise pas les surgelés et son restaurant est toujours plein
RépondreSupprimerIl ne trouve pas d'apprentis pour passer le flambeau et ça le désole, mais il ne se prends pas pour un héros, il est content que ses clients soient heureux, voilà..ça existe, son seul mérite , c'est mon gars..
Le travail bien fait, la conscience tranquille, épuisé de travail...
RépondreSupprimerVotre génération n'est plus la notre, vos rêves non plus.
Et puis finalement qu'en savez-vous? Votre artisan peut-être qu'il tripatouille son bilan, truque ses factures, triche avec la TVA..?
On pourrait croire que vous voyez le monde ouvrier comme un artisan lozérien voit l'establishment parisien... De loin.
Aïe, aïe, aïe, ça sent la contestation, contestation anonyme qui plus est, mais basée sur des procès d'intention, en veux-tu, en voilà !
RépondreSupprimerNotre Pascal tripatouillerait, truquerait, tricherait, et allez-donc !
Pourtant le billet, lui, relate des faits avérés !
La parade serait peut-être de n'accepter aucune "récrimination" anonyme ?
Ma chère Mildred, faites donc comme moi : n'accordez aucune espèce d'attention aux commentaires anonymes.
RépondreSupprimerAh non, Fredi Maque : pour le coup je ne suis pour rien dans la fermeture des coms....j 'essayais juste de persuader le maitre des lieux d 'ouvrir un blog spécial Bob + interventions interminables et passionnantes .
RépondreSupprimerOn a réouvert ?
RépondreSupprimerBon alors, qu'est-ce que je disais sur leulibéralisme et l'école autrichienne ?...
RépondreSupprimerNon, je déconne^^
On dirait du Renaud Camus à l'envers, sur le mode optimiste !
RépondreSupprimerD'où la dédicace à l'endroit…
RépondreSupprimerOh, zut, pardon,je n'avais pas vu la dédicace.
RépondreSupprimerSinon, aucun problème pour un jeune de seize ans qui veut être boulanger, maçon, ou "pire" encore, boucher-charcutier ou poissonnier. (secteurs sinistrés en apprentis), que ce soit pour un CAP ou un Bac Pro en alternance.