jeudi 4 décembre 2008

Tu reviendras à l'air pur

Oublions un peu ces gamineries de droite et de gauche : fermons la porte, les fenêtres, les volets et revenons aux fondamentaux ; replions-nous sur nos minima.

12 commentaires:

  1. Tu reviendrais... à tes titres d'avant ? J'aimerais pouvoir revenir sur ton blog sans voir sans cesse revenir ce "reviendra" qui ne me revient pas... ;-)

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  2. Oh ! Vous aussi vous aimez ce blog ?

    (Moi j'aime bien votre petite série de "tu reviendras...")

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  3. Tu reviendras, ma tique...

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  4. Vous avez raison, ouvrons la fenêtre et laissons les volets clos, comme si l'on dormait.

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  5. Chevillard est un concentré de Vialatte.

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  6. Chevillard, j'y reviens tous les jours.
    Avez-vous lu ses romans ?

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  7. Zoridae : merci !

    Yanka : ça veut dire que la série vous gonfle un peu les joyeuses ?

    Mélina : mais on dort vraiment !

    Yibus : tiens, je n'avais jamais envisagé les choses sous cet angle !

    Mère Castor : j'en ai lu cinq ou six. Bizarrement, certains m'on réjoui (Du hérisson, L'Oeuvre posthume de Thomas Pilaster, entre autres, alors que d'autres m'ont ennuyé (Démolir Nisard).

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  8. Tu reviendras, Cula.

    Victor Hugo

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  9. J'ai beaucoup aimé Le vaillant petit tailleur.
    Oreille rouge aussi, moins La nébuleuse du crabe.

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  10. Mère Castor : d'accord pour le petit tailleur. J'ai moins aimé Oreille rouge et n'ai pas lu le troisième.

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  11. C'est étrange. Certes, je comprends que l'on préfère tel ou tel livre de Chevillard. Pour moi qui les ai tous lus(ou presque, sauf ceux publiés par Fata Morgana), ce seraient "Les absences du capitaine Cook", "Du hérisson" et "Sans l'orang-outan". Il n'en reste pas moins que son style est le même dans chaque livre, unique,me semble-t-il, même si l'on peut citer des noms, Michaux, Jules Renard, Vialatte (mais les différences entre ces trois-là sont telles que ces rapprochements soulignent plutôt la singularité de Chevillard). J'ai donc du mal à comprendre que l'on puisse ne pas aimer du tout l'un de ses livres si l'on a du goût pour la forme paradoxale de son esprit et les inventions de sa plume...
    Fanny

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  12. Fanny : il est possible aussi que j'ai lu TROP de romans de Chevillard, en un temps trop bref (syndrome d'indigestion). Néanmoins, je crois sentir de nettes différences entre celui-ci et celui-là. Pourquoi ? Ne sais...

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.