dimanche 14 décembre 2008

Tu éteindras les polémiques

Alors, au final, comme disent les ralentis de la pensarde, peut-on être fan de Bach ou pas ? Qui a raison, qui a tort ? Les sympas ont-ils écrasé les réacs ? En commentaire du billet concerné, ma soeur, Isabelle, qui apprend depuis quelques années à jouer du violoncelle, vient de clore le débat en déclarant que, pour sa part, elle était cello-fan.

32 commentaires:

  1. tout le plaisir fut de suivre la conversation.

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  2. Encore sous le coup du jeu de mots.
    Sais pas quoi dire.

    Ah si, moi je suis fâne de carottes.

    Bon, montrez-moi la niche.
    Là?
    Ok.
    Couché.

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  3. Et vous êtes tous aussi drôles dans la famille ?
    Quelle aubaine..
    Et ta soeur elle pose aussi pour toi sur ses chiottes en photo comme le frangin ? Putain c'te classe quand même, pour un gus qui reprend les gens qui osent dire "FAN DE BACH" !
    Tu aurais la même intransigeance pour la frange inculte de tes commentateurs, ça aurait une cohérence, mais là... NON.
    C'est juste pister ton pédéblogueur favori qui t'excite. Et passer au crible tout ce qu'il écrit. Pauvre imbécile. Quel dommage que ta clique ne voie pas à quel jeu tu joues, toi qui méprises tout le monde, et qui ne brosses dans le sens du poil que dans le but de maintenir un semblant de lectorat complaisant à tes aigreurs, tes prétentions et tes spasmes de FAN de R.Camus.
    Mais c'est bien, continue à jouer Didier.
    Tu n'es pas plus leur caution culturelle qu'ils ne sont ta caution morale.
    On verra bien si tu as la carte maitresse ;)

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  4. Bénédicte, vous avez deux choses extraordinaires, vos lunettes et votre prénom. Surtout, ne changez rien !

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  5. Didier, est-il indispensable de nous infliger les propos scatologiques d'une fliquette aigrie?

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  6. Je ne sais pas si ce commentaire de Benedicte va sauter, mais sinon, je lui demanderais bien ce qu'elle a trouvé de bon à ce blog au point d'y participer, ce qu'elle aurait pu ne pas y voir ce qu'elle voit maintenant. Qu'est-ce qu'on gagne à déballer des histoires de photos débiles en famille? Qui n'a pas de côté hautement moquable ?
    Peut-être n'avez vous pas tort dans ce que vous dévoilez, pointez, révélez, Bénédicte. Les béni oui oui qui vitupèrent sur commande et emboitent le pas à leur maître à bloguer me font ricaner autant que vous. Les phrases (enfin, phrases, c'est vite dit) débiles qui se traînent avec le smiley hollywood pour annoner qu'on est toujours le con de quelqu'un, le beauf de quelqu'un, le facho de quelqu'un aussi. On peut se moquer de ce qui est écrit quand on trouve ça ridicule, non ? Même quand c'est ridicule à répétition ! Vous même n'avez pas la plume tendre avec les blogueurs que vous avez dans le nez. Sinon, à quoi bon bloguer ? Mais sur votre blog (que je lis), vous aussi traitez avec tendresse et mansuétude certains de vos commentateurs qui n'ont pas l'air de faire beaucoup d'étincelles sous le képi, si on en juge par leurs interventions !

    Alors ?

    Suzanne

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  7. L'est pas éteinte, la polémique, il reste encore des braises.

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  8. Le petit bonhomme en mousse
    Qui s'élance et rate le plongeoir
    C'est comme la chanson douce
    Que chantait ta maman le soir
    La petite, petite marionnette
    Qui s'étale et qui s'entête
    C'est l'enfance qui revient
    Le soir où tu as du chagrin

    Quand ta vie se traîne
    Quand t'as de la peine
    Quand personne t'aime
    Que t'as des problèmes
    Quand la vie est dure
    Plus d'une aventure
    Rien que des blessures
    Vilaine figure
    Ne pleure pas
    Ne t'en fais pas
    Regarde-moi
    Et n'oublie pas

    {au Refrain}
    la la la la la .........

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  9. Y a deux enfants qui sont assis

    Sur le bord d'un trottoir

    Il est cinq heures et l'école est finie

    Ils se racontent des histoires

    Pour toi la vie dis-moi, c'est quoi dit le petit

    Manger des glaces et caetera répond le grand

    Moi j'aime les glaces mais j'aime pas trop les caetara

    J'préfère cent fois le chocolat

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout



    Moi c'est mon père qu'est pas commode

    Un verre de trop et c'est parti

    J'passe la nuit derrière la commode

    Les voisins appellent la police, à cause du bruit



    Chez moi peut-être c'est plus sympa

    Répond le p'tit évidemment

    Mon vieux il est parti d'chez moi

    Maman dit qu'il ne me manque pas

    Moi j'aimerais qu'il soit encore

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout



    Tu sais ma mère elle a toujours

    Les larmes aux yeux

    Y a des jours où j'voudrais comprendre

    Tu sais les vieux ça les rend

    Dingue d'être des vieux

    J'vais t'expliquer tu vas comprendre



    Plus on est grand et plus c'est pire

    Moins c'est marrant

    Moins on est gai et moins

    Qu'on s'marre évidemment

    Moins qu'on est p'tit et plus c'est moins

    Qu'on est pas grand

    Et c'est pour ça qu'elle est si triste et puis voilà

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout



    Salut petit il faut que j'rentre dit le plus grand

    Reste avec moi encore un peu dit le petit

    + de parolesLes Corons 20 Ans Ne Me Quittes Pas En l'an 2001 Emmanuelle Quand On A Que L'amour Sans Toi 2001 Le Pied Sur La Lune C'est pour elle La Chanson Des Vieux Amants

    Il faut qu'j'attende encore dehors un bon moment

    Ma mère ne rentre que vers les huit heures et demi



    Y a deux enfants qui sont assis

    Sur le bord d'un trottoir

    Il y a un grand et un petit à côté d'lui

    Adieu p'tit mec

    A demain si t'es encore

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout

    La la la pleure pas boulou

    La la la on changera tout

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  10. Alors, voilà : il suffit que j'aille me coucher pour que tout le monde s'énerve ! Y compris les chanteurs morts...

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  11. Olivier P :
    Tes arguments me retournent. C'est très fort.

    Orage :
    Tu es vraiment très conne.

    Suzanne :
    La photo en question était sur le blog, aucun déballage privé là.
    Pour le déballage privé, demandez à Didier qu'il vous dise ça par mail, ça vous éclairera.
    Quant aux attaques de Didier sur certains blogueurs, j'en ai aussi parlé de visu avec lui à plusieurs reprises. Je trouve ça indigne, injustifié et facile. Mais ce que je trouve le pire, est la mollesse de jugement de ceux qui suivent quoiqu'il dise, quelque soit la vacherie proférée, et cette espèce de manipulation qui consiste à embarquer là-dedans des gens qui ne savent ni les tenants ni les aboutissants de ces petits accès d'aigreur, toujours très précisément dirigés. Et qui se retrouvent pour certains à taper sans le savoir sur des amis à eux. C'est vicelard, voilà tout.
    Didier a un double langage. En OFF il est très méprisant, en ON il a la flatterie facile. C'est le jeu des blogs aussi me direz-vous, si vous n'êtes pas plein de complaisance, si vous êtes dans la contradiction du discours ambiant, vous êtes un "troll" parait-il.
    Quant à mes commentateurs qui ne font pas d'étincelles sous le képi, que voulez-vous que je vous dise ? Que là aussi le jugement est facile ? Vous ne voyez que des gens étincellants par ici ? Mes collègues ne sont pas des blogueurs et ne règlent pas de comptes, c'est la différence. Ils ne bossent pas en Weston, et j'ai en effet de la tendresse corporatiste à revendre. Mais franchement, on ne parle pas du tout de la même chose.
    Je parle d'une façon de faire minable et méchante, qui ne va qu'en empirant. Sous les applaudissements désolants d'un lectorat conquis envers et contre tout bon sens.

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  12. Bénédicte:
    Je te renvoie le compliment. En plus, tu écris un français de raclure de trottoir et tu n'es qu'une grande gueule sans le moindre intérêt.

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  13. @Bénédicte
    Il t'en faut décidemment bien peu

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  14. Orage !
    Franchement...
    Admettre que Bénédicte écrit bien, ça vous défrise ?
    Ne pas jeter de l'huile sur le feu, SVP.
    Anna R.

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  15. Anna,
    Ne vous prenez pas le chou, orage n'a de foudroyant que le pseudo.
    C'est une suiveuse qui a besoin d'un gourou, et d'espace de parole publique.
    On reprend les mails ? :o)

    Olivier,
    Merci trésor. J'en ai encore la larme à l'oeil.

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  16. Emma, Bénédicte écrit bien? Où ça? Dans son 1° commentaire? Ha, le niveau.....
    Elle, bien sûr, n'a pas besoin "d'espace de parole publique", non, elle se borne à venir polluer les sites qu'elle visite par des commentaires qui lui donnent la satisfaction d'exister. Lamentable!

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  17. Bénédicte: merci pour votre réponse. Nous sommes d'accord au sujet des suivistes. Je ne voulais pas me moquer des commentateurs de votre blog. D'abord, je n'ai pas de blog, alors, la critique serait aisée. Mais il me semble que c'est inévitable de ne pas avoir dans un blog la liberté de ton et de critique qu'on a avec un seul interlocuteur au comptoir d'un bar. Un blog, c'est un réseau, et quand votre copain qui prend toujours votre parti avec une fidélité de fantassin écrit une belle bêtise, on ne va pas le pourfendre ni s'associer aux voix des pourfendeurs. Et c'est ainsi qu'on perd sa liberté de ton, mais si on dit toujours ce qu'on pense, on se retrouve tout seul. Enfin, je regrette le temps où vos participations parfois musclées nourrissaient de bons échanges.

    Suzanne.

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  18. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  19. orage,
    une citation pour toi.
    "Il faut mieux ne rien dire et passer pour un con, que de l'ouvrir et ne laisser aucun doute à ce sujet"
    J'existe en 60 000 exemplaires, t'inquiète. Et je t'épargne le détail sur les kilomètres d'espace de parole que j'ai eus dans la presse, radio, télé.
    (oui je sais, ça agace)
    Les blogs, c'est pour le fun.

    Suzanne,
    Une forme de solidarité de copinage ne doit pas aveugler non plus. Ni amener à renier ses principes, vous êtes d'accord ? Il y a des moqueries tout à fait supportables, c'est un fait. Mais l'acharnement ou l'obsession, ce n'est plus du même registre.
    Didier a trouvé sur qlq blogs des archétypes de ce qu'il n'aime pas, le dérange, le trouble. Et il a la prétention d'ériger ses répugnances en soi-disant études sociologiques, auxquelles la plupart adhère spontanément puisqu'une des caractéristiques de la communication internaute est l'immédiateté. Donc, pas de temps de recul et de réflexion si on veut participer.. Et pour corser l'exercice, il joue avec les affinités existant entre blogueurs. A croire qu'il fait un test sur sa propre emprise. Et sur la capacité des autres à faire le grand écart. Bouffer à tous les rateliers, c'est un truc de blogueurs en quête d'audience. Mais bouffer à tous les rateliers idéologiques, c'est déjà plus dérangeant...

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  20. bénédicte:
    As-tu pensé que cette citation pouvait s'appliquer à toi?
    Quant aux "kilomètres d'espace de paroles que j'ai eus...", eh oui, c'est du passé et là c'est toi que ça agace! Et tu compenses comme tu peux...

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  21. Didier, tu devrais remettre la modération. Trop de gens nourrissent le Troll, alors forcément, il revient.
    Ça va finir comme tant d'autres blogs ou ce Troll a sévi. Par la fermeture ou la suppression définitive. Ce serait dommage.

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  22. Orage : bravo, continuez comme ça, dans le style bête,concierge et à côté de la plaque.
    Bénédicte: je ne sais pas trop quoi vous répondre, sinon une banalité: si vous n'aimez pas de ce plat, pourquoi toujours se resservir ?

    Catherine: ce serait dommage. La modération, ça vous neuroleptise un blog en moins de deux.

    Suzanne

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  23. Bon, je vous laisse entre filles, on va dire...

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  24. orage,
    Oui c'est un passé qui date, hélas.
    Vendredi dernier dans Le Parisien, c'est si loin déjà.

    Catherine,
    Arrêtez votre délire ridicule, je n'ai rien à voir avec des fermetures de blogs ! Et je ne suis pas un troll.
    Je suis juste "pas d'accord", capito ?

    Suzanne,
    Vous n'avez pas tort.
    J'ai ce point commun avec Didier d'entretenir une sorte de fascination-répulsion pour certains blogs, et de ne pouvoir m'empêcher d'y revenir.
    Je lis le billet, les commentaires, et je me marre de lire les révérences, et l'assentiment général et quasi systématique à tout et n'importe quoi, sans quoi avec des petits cris terrifiés on vous qualifie de troll.

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  25. Un jeu de mot dont le timbre est parfait...

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  26. Bénédicte

    Il me semble que ce qui nous différencie vous et moi, c'est que nous appliquons deux filtres de lecture différents. Quand je lis un blog, je suis d'abord sensible à la forme, à l'écriture, l'humour, la culture qui le façonnent. Puis j'élimine les vociférateurs haineux qui se balancent des injures scatologiques (il s'en trouve à foison chez les aspirants écrivains d'extrème droite) et les imprécateurs humanistes chiants comme la mort. J'aime bien les gens qui hésitent, qui réfléchissent, qui partagent, qui cherchent, qui changent d'avis, qui ne quémandent pas à tout bout de champ l'assentiment. Il n'y en a pas tant que ça ! J'ai comme vous horreur de ceux qui se la pètent en parlant de leurs diplômes, de leurs références, de leurs fréquentations, de leur parterre d'étudiants ou de lecteurs fans et je méprise autant que vous les imbéciles qui aboient ou flattent par imitation ou solidarité.
    Euh, qu'est-ce que je voulais dire, déjà... Ah, oui. Vous, vous défendez untel ou untel parce que vous le trouvez ou le savez humainement intéressant, gentil, généreux, parce que vous pensez qu'il a raison même s'il s'exprime comme un cochon. Et je me demande si, quand on attaque quelqu'un sur son écriture, sur la forme de son discours, ça n'équivaut pas à se moquer de son gros nez ou de ses fringues minables, si ce n'est pas mal, perçu comme absolument mal

    Suzanne

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  27. "Catherine: ce serait dommage. La modération, ça vous neuroleptise un blog en moins de deux.

    Suzanne "

    Il n'en tient qu'à vous.

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  28. Catherine : je vais faire une petite pause, alors, sinon, je suis toujours encline à polémiquer (avec insistance et souvent lourdement).

    Suzanne

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  29. "Suzanne, il n'en tient qu'à vous..."

    DON'T FEED THE TROOOOOOOOOLL !!!

    L'art et la manière de la faire fermer avec tact et autorité.

    Et c'est dommage, Suzanne est quasi la seule à argumenter posément et intelligemment depuis la mystérieuse désertion des commentateurs institutionnels de ce blog.

    Mais M'âme Goux préfère probablement s'épanouir à la lecture de jeux de mots foireux, ou de phrases courtes et limpides comme celles de orage.
    Plus simple à comprendre.

    Et R.Camus, il ne vient pas commenter ?

    Alors Suzanne, taisez-vous, ne me répondez plus, vous apportez ici un bon sens vertigineux, et ça va pas le faire.
    Bien à vous.

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  30. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  31. Suzanne, il va de soi, que VOS commentaires restent les bienvenus.

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  32. Bonsoir tout le monde !
    Suzanne j'aime décidément beaucoup votre manière d'écrire.
    Bénedicte, chic alors, oh oui, je ne demande pas mieux : on reprend les mails.
    Excusez-moi Didier et Catherine, mais comme on n'est pas si mal ici, du coup on bavarde, on fait des apartés...

    Il y avait sur le forum de l'In-nocence une répétition (enfin j'ai eu cette impression) d'un orchestre avec un
    soliste (piano) qui jouait à une folle vitesse,
    Je crois bien que c'était du Bach, un Bach romantique. Il faudrait demander à Georges (c'était beau, et le battement du métronome ajoutait encore du relief à cette explosion).
    Anna R.

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