jeudi 30 mai 2013

Velàzquez s'invite au printemps


Le tableau n'a rien à voir avec mon journal d'avril, mais beaucoup avec le roman de Pierre Veilletet dont je parlais ce matin ; donc…

5 commentaires:

  1. Un grand merci pour le téléfilm de voisinage et la séquence du boucher. J'ai bien ri.

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    1. Mince ! je me souviens très bien du téléfilm, mais pas du tout du boucher…

      Vous n'allez quand même pas m'obliger à tout relire ?

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  2. Bonsoir,

    Chaque fin de mois, je guette la mise en ligne du journal, 2 3 jours avant la fin du mois calendaire!

    En l'annonçant sur le blog premier, vous me privez du petit plaisir de savourer en avant-première!

    Je ne suis en rien d'accord avec vous , mais je partage avec vous ce délicat exercice intime du journal!

    J admire votre discipline quotidienne mais ne partage avec vous (en dehors de la early eighties vie soi-disant parisienne) qu'un goût prononcé pour apéro!

    Amitiés contemporaines (je suis de 1961)!

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  3. Le même jour : 29 avril. Vous étiez en verve !

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  4. Cher Didier : pour répondre à votre question du 4 avril de votre journal du même métal (question, qui j'en suis sûr, vous empêche de dormir) je confirme la présence du trait d'union entre Martin et Lothar. Il s'agit d'un pseudonyme, voire d'un nom de guerre.
    Je précise (même si tout le monde s'en fout, avec bonheur et raison) que Martin et Lothar sont les noms respectifs des deux ouragans ayant balayé la France et une bonne partie de l'Europe en décembre 1999, au seuil de l'an 2000, alors que l'on s'attendait peu ou prou à un drame numérique des familles ; qui n'eut pas lieu d'ailleurs. Ces deux tempêtes furent pour moi — personnellement — les sinistres portiers de temps bouleversants. Pour tout le monde, je pense qu'elles furent aussi un rappel à l'ordre : la vanité humaine versus les forces de la nature. (la loup face à l'homme pour en revenir à Rowlands ; etc.)
    Mais je ne vous embête pas plus.
    Bien à vous

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La boutique est rouverte… mais les anonymes continueront d'en être impitoyablement expulsés, sans sommation ni motif.